Faites reculer lentement votre remorque en ligne droite jusqu'à ce que les roues touchent tout juste le bord de l'eau. La poupe de votre bateau devrait flotter librement dans l'eau. Si ce n'est pas le cas, continuez à reculer lentement jusqu'à ce qu'elle flotte.
Mettez les freins de sécurité et bloquez les roues. Quelqu'un devrait monter à bord du bateau, ouvrir la ventilation, descendre le moteur, regarder s'il y a de l'eau qui entre dans le bateau, sentir le fond de la cale pour s'assurer qu'il n'y a pas de vapeur d'essence et partir le moteur.
Évidemment, mettre seul à l'eau son bateau ne peut pas se faire sur toutes les cales. Il vous faudra de préférence une cale de mise à l'eau large, facilement accessible, avec des anneaux d'amarrage le long du quai et un parking à remorque pas trop éloignée.
Idéalement lorsque le pêcheur reculera sur la cale, seul le treuil avant retiendra le bateau. Une mise à l'eau normale ne doit pas dépasser cinq minutes, de même pour sortir son bateau on le pose sur la remorque et on part se garer plus loin pour ranger ses affaires.
Pour reculer sans encombre, il vous faudra donc connaître le pas, et le mettre à profit, afin de faciliter votre marche arrière. Le pas de l'hélice est à droite lorsque celle-ci tourne dans le sens des aiguilles d'une montre pour faire avancer le bateau, et à gauche lorsqu'elle tourne dans le sens anti-horaire.
Vous avez deux options : si votre bateau est déjà à l'eau ou s'il est très grand, il peut être économique d'engager un skipper professionnel pour le convoyer ou de le faire voyager par mer à bord d'un cargo. Vous pouvez aussi choisir le transport de bateau sur une remorque ou sur camion avec un transporteur routier.
Le site Marine Traffic fournit, gratuitement et en temps réel, des informations sur les mouvements des navires dans le monde entier. Issu d'un projet universitaire, il permet aux terriens de localiser tous les bateaux qui émettent en AIS. L'AIS permet de suivre en temps réel les navires à portée VHF.
Pivoter barre bloquée
En solo, bloquer la barre est souvent la bonne solution. Par exemple pour faire demi-tour sur place : après avoir repéré le sens de rotation favorable (en fonction du pas de l'hélice), on bloque la barre à tribord à l'aide du frein on pourrait aussi l'amarrer, dans le cas d'une barre franche.
Noura : C'est qu'en réalité, l'eau exerce une poussée du bas vers le haut, qui est égale au poids du liquide déplacé. Cette force, c'est la poussée d'Archimède et c'est elle qui fait flotter le bateau !
Il faut retenir que le poids sur la boule doit être le suivant de 50 Kg pour un PTAC < 500 kg et 80 kg pour un PTAC > 500 kg. Vous pouvez utiliser un pèse personne pour mesures le poids sur la boule. Il conviendra donc soit d'avancer ou reculer le bateau soit de déplacer quelque peu l'essieu de la remorque.
Le port à sec est un lieu destiné à accueillir des bateaux en dehors de leur période de navigation (en général à l'hivernage). Toutefois, certains ports à sec vous permettent de stocker votre bateau toute l'année. Ils vous proposent aussi un service de mise à l'eau du bateau à la demande.
LES REMORQUES CASSANTES A TIMON BASCULANT
Nos Remorques à timon basculant aussi appelées « remorques cassantes » sont ce qui se fait de mieux pour le transport sur route de votre embarcation type semi rigide, coque en V, pêche-promenade/loisir, day cruiser, barque ou Bass Boat.
Sur un bateau dont l'hélice tourne à droite en marche avant, on tournera le volant à fond à droite et on n'y touchera plus. En marche arrière, on reculera ainsi à peu près droit tandis qu'on virera franchement à droite en marche avant.
Passez une sangle à cliquet dans les deux cadènes puis sous une traverse de la remorque. Le mieux est de faire revenir la sangle vers l'avant. Vous pouvez serrer en positionnant le cliquet sur la remorque et surtout pas sur votre coque, vous pourriez l'endommager et même abîmer le gel-coat.
L'emploi du terme arrimage est incorrect dans le sens d'amarrage dans le cas de navires à quai, ou d'attelage. En astronautique, l'arrimage est la fixation d'une charge utile à l'intérieur ou à l'extérieur d'un véhicule spatial. Ce terme est improprement utilisé pour amarrage dans le cas de véhicules spatiaux.
Il faut vérifier la ou les directions du vent et sa force, et pareil pour le courant. Ensuite, il faut observer les entrées et les sorties des bateaux de tout le port, et des pannes voisines. Les voiliers se repèrent facilement avec leur mât, les bateaux à moteur peuvent se cacher mais sont plus manoeuvrables.
Construit en 2005 à Saint Nazaire, ce navire de 107 mètres de long a été co-financé par la marine nationale, qui l'utilise en moyenne 130 jours par an, principalement au profit du SHOM.
Pour les voiliers, ce nom doit se trouver à l'avant et sur la poupe. Pour les bateaux à moteur, sur chaque côté de la coque doit apparaître le numéro d'immatriculation. Les lettres du nom doivent être claires sur une coque foncée ou sombres sur une coque claire. Il doit être parfaitement lisible.
Pour les petits navires, type voilier ou bateau de pêche, tournez-vous vers un radar radôme. Ils sont moins couteux que les autres modèles de radar, faciles à installer et à utiliser. Leur niveau de performances est suffisant pour les bateaux de plaisance.
Un voilier utilise le vent pour se déplacer. La coque glisse dans l'eau et la voile utilise la force du vent pour propulser le voilier vers l'avant. Le marin doit donc connaître la direction du vent et régler ses voiles pour en tirer le meilleur parti.
Changer de direction et passer les voiles d'un côté à l'autre en continuant d'aller vers le vent, c'est ce qu'on appelle un virement de bord. Il y a un changement de direction et on fait passer l'axe du bateau d'un côté à l'autre de l'axe du vent tout en restant face au vent.
L'idéal est de confectionner une patte d'oie sur le bateau remorqueur et d'attacher la remorque par un nœud coulissant sur cette dernière. Pour que le remorquage soit efficace, il faut que la remorque (cordage) soit suffisamment longue (minimum 50 m, l'idéal étant 100 m) et que le cordage utilisé soit souple.