Résoudre algébriquement dans une équation ou une inéquation, c'est déterminer par le calcul les éventuelles solutions réelles de l'équation ou de l'inéquation. On peut additionner ou soustraire un même nombre de chaque membre d'une (in)égalité, l'(in)égalité reste vraie.
m et p sont deux nombres donnés. La fonction f qui associe à tout nombre x le nombre mx + p est une fonction affine. Son expression algébrique s'écrit : f(x) = mx + p. m est le coefficient directeur de la fonction et on ajoute p au résultat.
Fiches méthodes. Si on a une fonction et qu'on cherche les coordonnées d'un point de sa courbe représentative : on choisit une valeur de x et on calcule y = f(x) en remplaçant x dans l'expression f(x) donnée. On obtient ainsi les coordonnées ( x ; y = f(x) ) d'un point de la représentation graphique de la fonction f.
Considérons la fonction carré qui à tout nombre associe son carré. ( − 2 ) 2 = 2 2 = 4 donc 4 a deux antécédents : 2 et -2. Un carré est toujours positif donc -4 n'admet aucun antécédent par f.
Méthode : On multiplie les équations par les coefficients adéquats de manière à éliminer une inconnue par somme ou différence. En remplaçant la valeur de l'inconnue ainsi découverte dans l'une des deux équations de départ (ou en recombinant les équations selon les situations), on déduit la seconde inconnue.
1) Si x=2 dans l'expression algébrique 2x+3 2 x + 3 . On remplace la variable par sa valeur respective: 2x+3=2(2)+3=4+3=7 2 x + 3 = 2 ( 2 ) + 3 = 4 + 3 = 7 Dans ce cas, la valeur de l'expression algébrique serait de 7 .
Les équations algébriques les plus simples sont les équations linéaires à une variable ax = b, où a et b sont des nombres donnés ; elles ont été introduites et étudiées depuis la haute antiquité. Les systèmes de deux équations linéaires à deux variables x et y : x + y = a, x – y = b, sont tout aussi anciens.
Une formule générale
Soit une fonction f affine et prenons 2 nombres différents x1 et x2. f étant affine, son expression algébrique est de la forme f(x) = ax+b d'après la définition des fonctions affines. donc h(−1) = 5 et h(2) = −1. On a donc a = −2 qui est bien la valeur que l'on avait obtenu graphiquement.
On va déterminer à l'aide du graphique une expression algébrique f ( x ) f(x) f(x) de la fonction polynôme du 2nd degré représentée par cette courbe. L'écriture canonique est de la forme f ( x ) = a ( x − α ) 2 + β f(x)=a(x-\alpha)^2+\beta f(x)=a(x−α)2+β avec α=2 et β=1 .
Pour résoudre l'équation f\left(x\right) = \alpha, si l'on connaît plusieurs expressions f\left(x\right), il peut être utile de sélectionner l'expression la plus appropriée (celle qui rend la résolution de l'équation f\left(x\right) = \alpha la plus simple possible). Le seul antécédent de 4 par f est -2.
Pour déterminer le (ou les) antécédent(s) éventuel(s) de a, on trace la droite (d):y=a, on lit les abscisses des points d'intersection de (Cf) et de (d), ce sont les antécédents ! Moralité : les antécédents se lisent en ABSCISSES!
Dans un plan cartésien, on peut trouver les coordonnées du point d'intersection de deux courbes (comme par exemple deux droites) en résolvant le système d'équations. Soit les droites dont les équations sont y = x – 4 et y = –2x + 5, alors : x – 4 = –2x + 5. On représente ces droites dans un plan cartésien.
Résoudre l'équation f(x) = g(x) consiste à déterminer tous les réels x de D qui ont la même image par f et par g. Propriété Graphiquement, les solutions de f(x) = g(x) sont les abscisses des points d'intersection des courbes représentatives de f et de g.
On rappelle qu'une fonction affine f est représentée par une droite et admet une expression de la forme f\left(x\right)=ax+b. f est une fonction affine, elle a une expression de la forme f\left(x\right) = ax+b, avec : a le coefficient directeur de la droite. b l'ordonnée à l'origine.
Une fonction polynôme de degré 2 est une fonction définie sur R dont l'expression algébrique peut être mise sous la forme : f ( x ) = a x 2 + b x + c f(x)=ax^2+bx+c f(x)=ax2+bx+c, avec a ≠ 0 a\neq0 a=0. Les réels a, b et c sont appelés coefficients de la fonction polynôme.
Une astuce assez courante consiste à multiplier numérateur et dénominateur par a − i b : 1 z = ( a − i b ) ( a + i b ) ( a − i b ) . Or ( a + i b ) ( a − i b ) = a 2 − i 2 b 2 = a 2 + b 2 ce qui donne le résultat.
Une fonction linéaire est une fonction qui, à tout nombre x, associe le nombre ax , où a étant un nombre quelconque donné. a est appelé le coefficient de la fonction linéaire. On notera cette fonction de manière équivalente : ou f : x → ax ou f(x) = ax.
Propriétés : 1) Une fonction affine est représentée par une droite. 2) Une fonction linéaire est représentée par une droite passant par l'origine. 3) Une fonction constante est représentée par une droite parallèle à l'axe des abscisses. Une fonction affine est représentée par une droite.
Tout élément z de s'écrit de manière unique : z = a + ib (a et b réels), donc si z = a + ib et z' = a' + ib', z = z' ⇔ a = a' et b = b'. a + ib (a et b réels) s'appelle la forme algébrique du nombre complexe z. Le réel a s'appelle la partie réelle de z, notée Re(z).
Quand rien n'est précisé, on donne le résultat sous forme algébrique. Autrement dit: 2 nombres complexes sont égaux signifie qu'ils ont la même partie réelle et la même partie imaginaire. Définition Soit z=a+ib avec a et b réels.
Pour trouver a et b, il faut résoudre le système. Par addition membre à membre, on obtient 2b = 4, soit b = 2. a + 2 = -3, soit a = -5. f est une fonction affine dont la représentation graphique est une droite d qui passe par les points A(0 ; 6) et B(1 ; 2).