Bienvenue : Au québec, le mot bienvenue peut prendre un signification supplémentaire. En plus d'être une expression d'accueil, comme en France, ce mot "bienvenue" peut être utilisé pour dire "de rien" suite à un remerciement. Exactement comme "welcome" en anglais.
Bienvenue : traduction littéraire de « you're welcome » qui veut dire « je t'en prie » ou « de rien ». On pourra aussi vous répondre Y'a rien là, comme pour dire « pas besoin de me remercier ».
Familier. Au Canada, petit ami, amoureux ou conjoint.
Exclamation d'étonnement, de surprise ou aussi de mécontentement.
Allo : La définition de "allo" au Québec n'est pas la même qu'en France. Il s'agit d'une interjection voulant "bonjour" ou "réveille-toi". C'est une déformation du mot anglais "hello". Bref, ne vous étonnez pas si vous entendez ce mot partout sauf au téléphone.
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
1. Familier Au Québec, bonbon (dans le langage enfantin, particulièrement). 2. Au Québec, ensemble de choses destinées à séduire quelqu'un, à le flatter, à le tromper : Distribuer du nanane en période électorale.
Ostie. Peut aussi s'écrire « osti », « esti », « asti », « sti ». Pour la majorité des Québécois, c'est le juron qu'on utilise le plus, surtout la version coupée, « sti ». C'est aussi le premier que les Européens établis au Québec apprennent généralement à maîtriser.
Comme les sacres appartiennent d'abord à la langue parlée, leur orthographe n'est pas fixée. Ainsi, on trouvera, par exemple, hostie, osti ou ostie, ou encore christ, criss ou crisse.
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien).
Blonde : Utilisé pour désigner une "petite amie" ou une "femme" selon les contextes. Désigne la femme dans un couple.
Un beau gros bec. L'expression donner un bec est synonyme de faire la bise, donner un bisou, donner un bécot.
Nom commun. (Canada) (Centre-Ouest et Nord de la France) Hasard heureux, coïncidence heureuse. C'est un adon que je vous rencontre, je devais justement vous parler.
Au Québec, pour bien “cruiser” (draguer), un Français doit impérativement comprendre qu'il aura plus de chance de séduire une Québécoise s'il lui laisse de l'espace, s'il accepte qu'elle soit indépendante et qu'elle paie sa part à chaque fois qu'ils sortent.
Avoir la chienne est une expression québécoise qui peut avoir différents sens : 1 - Synonyme d'avoir peur, cette expression désigne un état d'angoisse ou de crainte. Ex : Il a pas sauté en parachute car il a eu la chienne. 2 - Synonyme d'avoir la flemme, cette expression désigne une non motivation.
Ne pas casser trois pattes à un canard
« Ne pas casser trois pattes à un canard », c'est ne pas réussir à faire quelque chose d'extraordinaire. On part donc du principe que, si canard à trois pattes il y a, lui casser les pattes serait la chose la plus extraordinaire au monde.
En référence au mouvement de balancier inconscient que fait la tête lorsque l'on est trop fatigué, l'expression utilise une comparaison avec le mouvement d'un marteau qui plante des clous. Il s'agit donc de résister au sommeil, quitte à avoir la tête qui faiblit et tombe involontairement.
Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
Mais savez-vous que tabarnak est plus qu'un juron qui fait partie de notre jargon? Avant de devenir qu'un vulgaire gros mot, c'était un mot qui voulait en dire gros. Si aujourd'hui tabarnak n'est qu'un sacre, autrefois c'était un lieu sacré : le tabernacle.
Donc même si tabarnak vient du mot tabernacle , il est incorrect d'utiliser ce dernier comme interjection. Par contre, on rencontre aussi les variantes tabarnac et tabarnaque , ainsi que plusieurs variantes adoucies : tabarnane , tabarnouche , tabarouette , tabern' , taboire , etc.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Nom commun. (Québec) (Argot) Sexe des femmes, vulve. → voir chatte et con, etc. J'y ai mangé a plotte, c'tait tout un lunch !