Annoncer, en arrivant, l'heure de son départ, dire fermement que l'on ne viendra pas passer toutes les vacances dans la maison de famille..etc. On peut commencer par un «je ne peux pas» et aller jusqu'à «je ne veux pas» si la pression est trop forte.»
Apprenez à mettre les formes, mais tenez bon si votre interlocuteur insiste. Gardez en tête quelques formules faciles pour affirmer votre refus, comme « je suis désolée mais je ne peux vraiment pas t'aider », ou « non, je ne suis pas disponible », ou encore « non, je ne veux pas ».
Dire « non » peut nous mettre mal à l'aise, voire nous faire sentir coupable. La capacité à dire « non » est une composante de l'affirmation de soi. L'affirmation de soi ou l'assertivité est la capacité à exprimer ses émotions, envies et désirs tout en se respectant soi-même et les autres.
Quand cela n'est pas possible car nous sommes trop éloignés de la scène, nous pouvons gagner du temps en disant « STOP » (sans crier) et en levant la main pour signifier ce « Stop » pour stopper un geste en cours puis en s'approchant pour entamer le dialogue et proposer un soutien verbal et non verbal afin d'aider l' ...
Pour pouvoir être dispensée, la personne concernée doit prouver que le parent a gravement manqué à ses obligations à son égard. Elle doit effectuer une requête en obligation alimentaire auprès du Jaf (en utilisant le formulaire cerfa n°15454).
Dès que vous décidez de rompre la relation avec le parent qui vous a fait du mal, vous pouvez décider de lui parler pour l'informer. Faites-lui savoir que vous n'allez plus lui rendre visite et que vous ne répondrez plus à ses appels téléphoniques ou à ses tentatives de vous contacter.
Analysez la qualité de vos relations avec vos parents et demandez à des amis, à votre conjoint, ou à d'autres personnes de confiance ce qu'elles en pensent. Si elles disent toutes que vos parents sont trop dirigistes, admettez-le et prenez les mesures qui s'imposent pour couper le cordon.
Comme je l'ai mentionné plus haut, c'est justement autour de l'âge de deux ans que les enfants commencent à exprimer cette attitude d'opposition : dire « non » à une consigne, faire une crise lorsqu'on leur impose une limite...
A éviter… la violence physique
Bref, agitez-vous si vous voulez, mais ne le touchez pas. Redressez-vous et avec un regard appuyé, annoncez nettement que vous le convoquez dans un quart d'heure pour discuter sérieusement. Un silence bien posé vaut mieux qu'un long discours.
En revanche, à cet âge, on peut pratiquer une autre forme de punition : la gronderie. Il s'agit de lui signifier en prenant une grosse voix et en faisant les gros yeux que ce qu'il a fait n'était pas bien et qu'il ne doit pas recommencer.
Refuser sans explication reste compliqué pour vous? Dans ce cas, remerciez l'autre pour sa proposition. Une courtoisie qui vous évitera de vous justifier et qui empêchera votre interlocuteur de réclamer des explications. Exemple: “C'est vraiment gentil de ta part, mais je ne suis pas disponible”.
Oser dire non demande parfois du courage. C'est s'affirmer socialement et respecter notre entourage en exprimant une volonté en accord avec nous-même. C'est également exercer un droit au même titre que toute autre personne. Nos amis le font, nous l'acceptons et ils restent nos amis.
Il vaut mieux dire “hum, je ne peux pas” ou “hum, je suis désolé, mais je ne vais pas avoir le temps”. Il vaut mieux dire des phrases comme celle-là que de dire un “non” brut. Donc, si tu dis “je suis désolé, mais je ne vais pas avoir le temps”, ça veut dire “non”, c'est clair, la personne a compris.
#1 Remercie. Si quelqu'un t'adresse une demande à laquelle tu veux répondre par la négative, remercie-le de te faire confiance. Peut-être également pour le fait qu'il a pensé à toi et – si c'est vrai – dis-lui aussi qu'en général tu l'aiderais volontiers, mais que tu dois malheureusement refuser cette fois-ci.
# 1 : Dites-le de vive voix
Vous devez assumer votre non et pour cela, le dire en face à face. Bannissez le mail et répondez lorsque vous êtes seul(e) avec la personne et mettez-vous dans une posture d'égal(e) à égal(e). Pas question que l'un soit assis et l'autre debout. Regardez-le dans les yeux.
Le fait qu'un ado rejette ses parents est tout à fait normal. L'adolescence est une période où le jeune ressent le besoin de se distinguer de ses parents pour devenir un individu à part entière. Si le comportement de votre enfant vous agace, prenez du recul, et rappelez-vous que cela fait partie de son développement.
UNE DÉFINITION DE L'ADOLESCENCE
Cette période de développement correspond approximativement à la période entre 10 et 19 ans, ce qui est conforme à la définition de l'adolescence établie par l'Organisation mondiale de la santé.
Elle débute vers 11 ans chez la fille et 12 ans chez le garçon. Une évolution physique commence à se ressentir à ce stade. On assiste au développement des caractères sexuels secondaires : pilosité, appareil génital chez le garçon et seins chez la fille. C'est ainsi que s'annonce progressivement la puberté !
Cela peut débuter vers 18 ou 24 mois et durer jusqu'aux trois ans de l'enfant. En général, " l'âge du non " se développe avec la marche, la découverte de l'autonomie mais aussi parce que l'enfant est dans la toute puissance magique de l'enfance : il pense qu'il peut avoir le pouvoir.
L'art de savoir dire « non » induit la connaissance et l'estime de soi. En refusant la demande de son interlocuteur, le manager ou le collaborateur montre qu'il a conscience de la valeur d'un engagement.
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.