s'apitoyer, geindre, se lamenter, larmoyer, se plaindre, récriminer, regretter. – Littéraire : gémir.
Définition de pleureur
➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
crier, hurler, brailler (familier), couiner (familier), tchouler (familier, Belgique), braire (familier, région.)
« Tu as choisi une vie… d'amour. Ton chemin ne sera pas celui de tout le monde mais tu seras entouré de personnes riches et généreuses de leur cœur qui seront là pour t'aider, pour t'aimer tel que tu es. Ta différence fera de toi un être exceptionnel, profondément humain et tu rayonneras d'amour.»« Et ma maman ?
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
regretter, déplorer. laisser couler la sève. quémander, réclamer.
pleutre n.m. et adj. Homme sans courage ni dignité.
On pleure parce qu'on prend conscience des choses merveilleuses que peut nous apporter notre corps. "Ces larmes viennent du plaisir et de l'orgasme qui donnent à penser qu'on est dans un corps qui s'exprime et jouit, du moins qui en a la possibilité", poursuit le sexologue.
Lorsque pleurer devient fréquent, engendre une souffrance morale, ou des difficultés relationnelles, il est essentiel de consulter un professionnel afin de rechercher une maladie mentale. Les pleurs peuvent montrer la souffrance émotionnelle, et alerter sur un mal-être plus profond.
« Pleurer n'est pas un mal en soi, même dans une dépression car les sentiments sont encore exprimés. A l'inverse, un patient atteint de dépression sèche, sans larmes, rend la communication plus difficile car il n'arrive plus à extérioriser ses sentiments », explique le Dr Lemoine.
"Il existe une petite preuve que des hormones du stress peuvent être sécrétées par les larmes lorsque l'on pleure en réaction au stress ou aux émotions négatives, en comparaison avec les larmes non émotionnelles", déclare Lauren Bylsma.
Pleurer sans raison. Synonyme : larmoyer, pleurer, sangloter. – Populaire : chialer.
suinter v.i. En parlant d'un liquide, sortir, s'écouler d'une manière presque imperceptible... suinter v.t. Laisser s'écouler un liquide imperceptiblement.
(Personne) avare, souvent avec mesquinerie. Synon. chiche, grigou, grippe-sou, ladre (vieilli ou littér.), radin (fam.), rapiat (fam.) Avec ça, ils auraient tondu un oeuf.
couard, faible, lâche, pleutre, timoré; anton. audacieux, courageux, décidé, entreprenant, hardi, résolu.
et n. Qui trompe avec une adresse perfide, sournoise. fourbe adj. Qui dénote l'hypocrisie, la perfidie, la fausseté.
Si on considère que le contraire de l'amour est la haine, aimer a pour contraires détester et haïr . Avec une intensité plus grande, on peut dire exécrer , abominer ou, moins courant, abhorrer .
se moquer, mépriser.
grincer, pour un objet.
La production de ces hormones par les glandes surrénales induit une demande accrue d'adénosine triphosphate (ATP), la molécule énergétique utilisée par les organes. Les réserves d'ATP diminuent donc comme après un effort physique. Le taux de cortisol baissant aussi, l'organisme ressent une faiblesse.
Lorsqu'on pleure, les vaisseaux sanguins autour des yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux. Car, comme toute glande de votre corps, la glande lacrymale est en lien direct avec le flux sanguin.
Autre source de fatigue, les muscles qui sont sollicités pendant que l'on pleure sont généralement très peu mobilisés. En effet, pleurer implique des muscles comme ceux de la poitrine, du menton ou encore de l'intérieur de la gorge. Le peu d'utilisation que l'on en fait en général facilite la sensation de fatigue.