– Argotique : bourre, roussin. – Familier : hirondelle, shérif. – Populaire : cogne, flic, keuf, perdreau, poulet, vache. – Vieux : sergent de ville.
(Verlan) Du mot flic (mot d'argot pour policier) via la forme non apocopée keufli (parfois utilisée mais non lexicalisée).
Poulets, keufs, flics, condés…
Les forces de l'ordre ont, depuis toujours, eu droit à de nombreux surnoms plus ou moins affectueux. Mais saviez-vous que le sobriquet « poulet » ne désignait, à l'origine, que les policiers parisiens ?
Nom commun
(Argot) Coup. (Argot) Bouton (sur la peau). (Argot) Prison ; cellule (de prison). (Argot) Policier.
Flic est un terme d'argot pour désigner un policier, un agent de Police et par extension tout membre des services de la Police et assimilés.
Keuf est un terme péjoratif désignant un homme ou une femme remplissant la fonction de policier. Le terme proviendrait d'une autre expression pour désigner une personne remplissant les missions de police, flic, dont la prononciation inversée donnerait keuf.
Le mot tiekson , attesté dès les années 2000, est formé à partir de tiékar , le verlan de quartier . Au mot argotique tiékar , qui est déjà un peu dépassé, on a coupé la fin et on a ajouté le suffixe argotique -son .
« Vingt-deux » signifie couteau dans l'argot français du XIX e siècle. L'expression signifierait donc « tous à vos armes ». L'arme favorite des voyous du temps était le « couteau d'arsouille » avec sa lame de 22 centimètres ; Un homme normalement constitué a deux jambes, qui forment le nombre 11.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
C'est lors des grands travaux du baron Haussmann que cette caserne est édifiée… sur un ancien marché aux volailles. Les parisiens ne tardent pas à assimiler les nouveaux occupants des lieux aux anciens. Les policiers parisiens deviennent des poulets et rapidement cette expression gagne l'ensemble du pays !
Étymologie. Nom 1 : Emprunt supposé au vocabulaire des colonies africaines, du portugais conde (gouverneur), du latin comes, comitis. Selon cette hypothèse, il s'agit d'un mot apparenté à comte. Désigne à l'origine (argot du XIX e siècle) une autorisation, puis celui qui la donne ou la reçoit, enfin un policier.
"L'origine du surnom 'poulets' remonte au XIXe siècle et donne un aspect quasi patrimonial, affectueux à l'appellation." En 1871, les policiers de Paris investissaient en effet les locaux de la caserne de la Cité, bâtie sur l'ancien marché aux volailles de la capitale.
Nom commun. (Argot) Humiliation publique, action méchante.
EXPRESSION POPULAIRE - Le terme s'emploie fréquemment en argot et dans les usages populaires pour qualifier les fonctionnaires de police.
Nom commun
(Argot) Vente de drogue.
indulgent, indulgente
Qui pardonne aisément les fautes, qui n'est pas sévère, dur : Être indulgent à l'égard des élèves. 2. Qui manifeste l'indulgence : Appréciation indulgente.
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.
Définitions : coureur, coureuse, coureurs - Dictionnaire de français Larousse.
Schmitt est un terme argotique employé pour désigner un policier, un gendarme. Il provient de l'allemand "Schmitt" qui signifie "forgeron".
Lorsque Gutenberg utilisait une police de 12 points, c'était le moule et non la lettre imprimée mesurable, qui avait une taille de 12 points. Cela signifie que la taille du moule est généralement toujours plus grande que la police de caractères réelle.
Le nombre de régions constituant la France métropolitaine entre 1956 et 2015. « 22, v'là les flics ! » expression française familière. Un numéro de téléphone à Asnières, à la base d'un célèbre sketch de Fernand Raynaud.
Faire crari. Quelqu'un qui fait crari, c'est quelqu'un qui fait semblant, qui se donne un genre. Employé seul, souvent en début de phrase, crari, mot aux origines obscures, signifie « soi-disant », « prétendument », à l'instar de son cousin arabe, « zarma » ou « zerma ».
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
GAVA. Exit l'anglais et place au javanais avec le mot « Gava » qui veut tout simplement dire « mon gars », « mec ».