Faire part de sa gratitude, exprimer son affection, complimenter ou encourager : cela génère de la joie et contribue à booster l'estime de soi de nos proches. Nous sommes occasionnellement victimes d'incivilités.
La joie est bien particulière, car elle peut se manifester de manières très différentes: le sourire, le rire ou même les larmes! Souvent, pour exprimer sa joie, on peut avoir envie de crier, de parler très vite… ou de chanter!
Savoir maîtriser sa joie
Dans d'autres, vous aurez envie de l'intensifier pour la vivre de façon totale et entière, et profiter de l'instant. Vous pouvez accentuer votre joie en en prenant pleinement conscience, mais aussi en l'exprimant par des gestes du corps et des expressions du visage, en souriant par exemple.
la dopamine(hormone du plaisir) la sérotonine(hormone de la bonne humeur) l'adrénaline(hormone de l'excitation) l'ocytocine(hormone du lien social).
Elle nous apporte une sensation de plaisir intense et, par là, permet la mémorisation des réseaux de neurones impliqués dans l'action amenant à ce plaisir. La dopamine nous motive à agir quand elle anticipe des perspectives intéressantes en lien avec ces expériences de plaisir passées et mémorisées.
Dans la joie, le cœur bat fort, mais le rythme est normal. La respiration est ample et une sensation de chaleur rayonne agréablement dans la poitrine. La joie est énergie et vitalité. Elle indique la route, le chemin à suivre dans un projet, un engagement, un travail.
Pratiquer une activité physique
La sensation de perte de joie de vivre ce n'est pas que dans la tête, c'est aussi physique et hormonal. Pour remédier à ça, faire une activité physique régulière est aussi une solution efficace.
La joie chrétienne est une participation spirituelle dans la joie infime de Dieu et des hommes qui se trouve dans le Coeur de Jésus Christ glorifié». Avec la joie de l'espérance est liée la joie de la penitence. La penitence est une sorte de «douleur de l'àme» qui est manifestée par une grande amertume.
La joie est puissante, et la polarisation sur la joie apporte le pouvoir de Dieu dans notre vie. Comme en toutes choses, Jésus-Christ est notre exemple suprême qui, « en vue de la joie qui lui était réservée, a souffert la croix 17 ».
Joie, Joie, Joie, pleurs de joie.
Comment définir la joie de vivre ? C'est un état d'esprit qui nous fait regarder le quotidien et les événements de la vie sous un angle positif. C'est une victoire sur l'ennui et sur la morosité. Alors que la joie est une sensation brute, la joie de vivre est un choix d'existence.
Adopter un mode de vie sain : pratiquer un sport, une activité de relaxation (méditation, yoga…), respecter ses cycles de sommeil et manger de façon équilibrée peuvent être un premier rempart contre la dépression.
Pratiquer une activité physique régulière. La perte de la joie de vivre réside dans la tête, mais aussi dans le corps. On se sent épuisé, sans énergie et on n'a envie de ne rien faire. La solution la plus efficace à cet état est de pratiquer une activité physique régulière.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Pratiquer un sport régulièrement fait aussi partie de l'"arsenal" du bien-être. Comme le rire, cela favorise la sécrétion de l'hormone du plaisir. Des chercheurs américains ont même montré que la course à pied avait, chez les personnes déprimées, autant d'effet que les médicaments.
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.
La joie est liée à la satisfaction d'un désir, la réussite d'un projet important à nos yeux. C'est un état de satisfaction et de bien-être qui se manifeste par de la gaîté et de la bonne humeur. Elle accroît notre énergie, la motivation et la confiance en soi.
Qu'est-ce qui déclenche une émotion ? Les stimuli aptes à produire une émotion sont très variés. Ce peut être l'émotion d'autrui : la colère de quelqu'un peut déclencher la peur chez son interlocuteur ; la peur d'un individu peut susciter la peur chez un autre ou un groupe d'autre.
Un déclencheur émotionnel engendre une réponse automatique à la façon dont les autres expriment des émotions telles que la colère ou la tristesse. Par exemple, peut-être n'avez-vous aucune difficulté à interagir avec une personne en colère, mais avez du mal à faire face à une personne en pleurs.
Il est absolument nécessaire d'exprimer ce que l'on ressent, à partir d'un lieu, en nous, centré et responsable : c'est à dire qui ne nie pas les émotions et ressentis mais ne rend pas non plus les autres ou les situations responsables de ce qui nous arrive. »