Pour lui donner envie d'aller à l'école, il faut que vous soyez investi au maximum : le matin, soyez émotionnellement présent pour lui et le soir aussi à travers un temps d'échange et de partage. Intéressez-vous à sa journée, à ce qu'il a appris… Il sera d'autant plus fier de sa journée !
Félicitez votre enfant lorsqu'il réussit à affronter ses peurs. Dites-lui que vous êtes fier de lui. Pour l'encourager, vous pouvez aussi établir un système de renforcement positif en lui donnant, par exemple, une bille ou un collant chaque fois qu'il est prêt à aller à l'école à l'heure.
Être aimant et attentionné, parler souvent avec votre enfant et lui lire des histoires font partie des bons gestes à poser pour l'aider à réussir à l'école. Évitez d'avoir des attentes trop élevées envers votre enfant.
Adoptez une posture bienveillante et ouverte pour aider votre jeune à verbaliser ce qu'il ressent, sans jugement ni reproche. Proposez-lui de prendre des cours de soutien dans les matières de son choix. Essayez de comprendre ce qu'il a vraiment envie de faire pour l'aider à regagner de l'intérêt pour l'école.
“Ce comportement est normal et naturel. Les enfants ont besoin d'un temps d'adaptation, rassure la psychologue Lea Ifergan-Rey. Ce n'est pas parce que l'enfant pleure, qu'il est triste ou malheureux, c'est une manière pour lui d'exprimer sa surprise, son étonnement de se retrouver dans un nouvel environnement.”
« La motivation pour un enfant dépend de l'attrait de la nouveauté, du plaisir de la compétition, de la reconnaissance, du goût du dépassement de soi... Le parent peut l'aider à développer une motivation propre, comme pratiquer une activité ou un travail pour le plaisir et la satisfaction qu'il en retire.
Afin de garder l'élève concentré, il faut se montrer bienveillant en lui faisant des feedbacks positifs pour qu'il ait l'envie de continuer et de réussir. Cette forme de motivation extrinsèque passe également par la dédramatisation des erreurs afin d'éviter la démotivation de l'apprenant.
Encouragez les initiatives de votre enfant.
Par exemple, félicitez-le lorsqu'il réussit à boutonner quelques boutons, à mettre ses bottes du bon pied, à attraper un ballon ou à brosser ses dents. Vos encouragements lui donnent confiance. Simplifiez-lui la tâche en accomplissant une partie qu'il ne peut pas faire seul.
Offrez des choix! Encouragez-le à essayer de nouvelles choses: dites-lui que vous êtes fier de lui, que vous avez confiance en ses compétences, en ses capacités. Invitez-le à relever des défis (à la mesure de ses capacités et de son âge) tout en restant réaliste dans vos attentes envers votre enfant.
Commencez la conversation en disant : « As-tu déjà entendu parler d'un pays qui s'appelle Haïti? » ou « Que penses-tu de ce qui se passe en Haïti? » Si l'enfant ne semble pas vouloir en parler, n'insistez pas. Laissez l'enfant exprimer ses inquiétudes. Vos réponses doivent être factuelles, brèves et simples.
La première solution face à la phobie scolaire est de communiquer avec son enfant. Entretenir une relation de confiance avec votre enfant, l'écouter et lui poser des questions sur sa vie à l'école vous permet de détecter les failles, les blocages et les angoisses qui accompagnent ses journées scolaires.
L'école enseigne à tous les enfants ce dont ils ont besoin pour bien grandir et s'épanouir : lire, écrire, compter, comprendre comment est fait le monde, connaître l'histoire des hommes, maîtriser des techniques, la vie en société. L'école, c'est un peu une miniaturisation de notre monde, à l'échelle des enfants.
Enfin, pour stimuler l'envie d'apprendre chez les élèves de primaire, il est important de créer un environnement d'apprentissage adapté. Vous pouvez créer un environnement d'apprentissage positif. Par exemple, en encourageant les élèves, en les valorisant pour leur travail et en les félicitant pour leur progression.
La motivation extrinsèque provient d'une pression extérieure ou interne qui pousse à la réalisation de la tâche : celle de l'enseignant, des parents, avoir une bonne note, une récompense, le besoin de reconnaissance, la peur de la punition, le sentiment de culpabilité...
Un élève motivé sera disposé à s'engager et à consentir des efforts, ce qui lui permettra de faire des apprentissages plus durables, d'avoir de meilleurs résultats scolaires et de persévérer davantage.
Proposer des activités d'apprentissage qui favorisent l'ancrage des apprentissages dans un contexte professionnel ou pratique afin d'augmenter la motivation des étudiants (perception de la valeur de ce qu'ils apprennent). Aider les étudiants à voir et à comprendre pourquoi le contenu du cours est important.
Acceptez que l'enfant ait besoin de certaines périodes à rien faire. Aménagez un coin pour cet enfant où il pourra être seul sans être dérangé et sans déranger lui-même les autres. Faites attention de ne pas trop stimuler l'enfant pour ne pas qu'il ait besoin de la présence constante de l'adulte dans ses jeux.
Refus constant de se séparer et de s'éloigner de la personne qui lui est le plus proche. Scènes de séparation sans fin lorsque vous amenez votre enfant dans le groupe de jeux ou à la crèche. Comportement solitaire dans le groupe de jeux, au jardin d'enfants. Agressions contre d'autres enfants, souvent plus jeunes.
Lorsque votre enfant pleure, il essaie généralement de vous dire que quelque chose ne va pas, par exemple qu'il a peur, qu'il veut quelque chose, qu'il est fatigué ou qu'il a mal. Être près de votre tout-petit, l'écouter et l'aider à mettre des mots sur ce qu'il vit le réconforte et le sécurise.