- Il m'a amusé (e) / Il m'a ennuyé (e) - C'est facile/ difficile à comprendre - Il m'a plu / ne m'a pas plu - Il m'a scandalisé (e) - Il m'a ému - Il m'a intéressé / Il m'a surpris - Il m'a fait penser à... - J'ai aimé le style de l'auteur - Je me suis identifié(e) au personnage...
2) L'avis personnel (entre 7 et 10 lignes)
a) L'intrigue : suspense, mystère, intrigue simple ou compliquée, bien ficelée, captivante … b) Les personnages : profonds, creux, attachants, héroïques, drôles, simples, bien dépeints… c) Les lieux et décors : réalistes, fantastiques, sobres, vagues …
☺ une étude du paratexte par écrit (titre de l'oeuvre, sous-titre, nom de l'auteur…) ☺ la possibilité de donner des éléments de biographie de l'auteur si elle apporte des éléments d'éclairage à l'analyse du texte. ☺ interpeller l'élève sur la forme et l'organisation du texte pour comprendre ce qu'elle induit.
Sous « premières impressions de l'œuvre », on attend de l'élève : ⎬ son ressenti ⎬ ses sensations ⎬ ses premières observations L'objectif est de susciter des horizons d'attente, de créer une curiosité chez l'élève qui l'incite à vouloir lire le texte et l'étudier.
Une impression. De lecture est une impression sur une oeuvre que l'on a lu ou regarde qui nous sert à aborder un texte mythologique ou littéraire.
Un lecteur peut ne pas aimer un livre à cause d'une traduction douteuse qui va jusqu'à rendre ambigu le sens et la limpidité du texte. 3. Un lecteur peut ne pas aimer les séries qui s'épuisent à force de ne plus finir par finir et de vouloir surfer sur son succès.
– Notez sur une fiche les passages les plus significatifs; vous pouvez noter vos commentaires sur une autre fiche. – Repérez les mots clés et assurez-vous de bien les comprendre. – Résumez le texte dans vos propres mots et notez les liens que vous nouez avec votre sujet.
► Amener l'élève à « se mettre dans la peau » de l'écrivain : lui faire se poser la question « comment aurais-je fait, moi pour exprimer telle ou telle chose ? » A partir de là, cela rendra plus sensible les effets de style et les choix particuliers des auteurs par rapport à ce qu'il ferait lui de son côté.
Il peut exprimer son ressenti de manière subjective, mais doit aussi formuler des arguments plus objectifs, à partir de l'analyse et de la contextualisation de l'œuvre. Un sentiment face à une œuvre d'art est fondé sur des goûts et des sentiments personnels.
Dégagez l'intérêt du livre :
Il a un intérêt documentaire Il fait rire ou il fait peur Il permet de s'évader Il m'a fait comprendre une époque Il procure des émotions Il fait réfléchir Il rappelle des choses vécues L'auteur cherche à émouvoir, effrayer, témoigner, démontrer, critiquer…
L'argument qui tue sur Les Fleurs du mal : "Le recueil fait preuve de modernité en exaltant la beauté liée au mal." Le titre même du recueil, par le rapprochement qu'il fait des termes « fleurs » et « mal », à connotation opposée, suggère l'idée que l'on peut faire du beau à partir de quelque chose de mal.
Préparer une argumentation orale de 3 minutes maximum pour convaincre/persuader de lire le livre : trouvez des arguments, présentez brièvement l'histoire, les personnages, les lieux, lisez un très bref extrait, expliquez ce qui fait l'intérêt de la lecture, créez un suspense…
Utiliser des expressions telles que : "personnellement", "en ce qui me concerne", "pour ma part", "d'après moi", "quant à moi", "selon moi". Utiliser un vocabulaire mélioratif ou péjoratif en fonction du point de vue défendu. Utiliser des types de phrases différents, comme des phrases interrogatives et exclamatives.
L'écriture finit par faire sens, sans qu'on l'ait anticipé, « comme si » notre main ne nous appartenait pas vraiment et savait mieux que nous. Une autre variante possible est d'écrire comme si nous nous adressions à quelqu'un en qui nous avons entièrement confiance.
Poser des mots sur leurs maux, écrire ce qu'ils ressentaient, raconter des événements traumatisants leur ont permis d'aller nettement mieux. Écrire permet également de prendre du recul face aux stress du quotidien, de se libérer de ses pensées négatives envahissantes et donc de l'anxiété.
Le jugement de gout comporte des marques de la subjectivité. On utilise le « je » et non le « nous » ou le « on ». On évite les formules générales comme « le lecteur ». L'auteur du jugement doit s'engager personnellement et cela doit se manifester par les mots employés.
Faire un petit résumé de l'oeuvre en mentionnant notamment ses thèmes principaux. Faire un résumé plus détaillé des thèmes que l'auteur traite dans son ouvrage. Vous pouvez y noter les idées principales, les principaux arguments et les informations principales présentes dans l'ouvrage (par chapitre).
Présentez les personnages principaux en énumérant pour chacun quelques caractéristiques : leur nom, leur âge, leur statut social, les liens qui les unissent. Ensuite, racontez la situation initiale et donnez quelques éléments de l'intrigue mais, bien sûr, sans dévoiler la fin.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
Se poser des questions est un point de départ pour comprendre le sens du texte lorsqu'un passage semble incompréhensible. En cours de lecture, on note les questions qui nous viennent en tête et les éléments de réponse trouvés dans les marges du document, puis on souligne les passages qui suscitent une interrogation.
La lecture de base
C'est ce que la plupart des gens nomment la lecture. Faire une lecture de base d'un texte consiste à le parcourir à un rythme normal. Ce type de lecture assure habituellement une compréhension minimale du texte.