Il n'est pas nécessaire que quelqu'un vous réveille pendant la nuit après une commotion. Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine.
Le patient devrait être surveillé de près pour au moins 3h suivant la blessure par un adulte responsable pour surveiller toute détérioration dans sa condition puisque cela pourrait indiquer un saignement ou une enflure sérieuse dans le cerveau. Ne pas permettre au patient blessé de dormir pour ces 3 heures initiales.
1 – Effectuer un repos complet
Après avoir fait une commotion cérébrale, il est recommandé d'effectuer une période de repos afin de diminuer les symptômes. Le repos est essentiel afin de permettre au cerveau de se reposer et de se remettre de la crise énergétique engendrée par la commotion cérébrale.
Et est-il permis de dormir après un coup à la tête ? Oui ! Si vous n'avez pas d'autres symptômes inquiétants, comme de la difficulté à marcher ou des vomissements répétitifs, il n'y a aucun souci à s'endormir, et vous en sentirez le besoin !
La majorité des commotions cérébrales évoluent favorablement dans un délai de 2 à 4 semaines.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
Le premier signe à surveiller est la perte de connaissance et la somnolence. La victime ne doit pas entrer dans le coma; c'est pourquoi, on recommande aux proches de le réveiller toutes les 2 à 4 heures, surtout si la victime a eu une perte de connaissance brève après l'accident.
Il n'est pas nécessaire que quelqu'un vous réveille pendant la nuit après une commotion. Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine.
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
Les troubles de l'attention, la migraine, les pupilles dilatées et des pertes de sang ou de liquide peuvent signaler un risque grave pour la santé. N'importe quelle personne ayant subi un choc au niveau de la tête, suite à un coup ou à un secouement vigoureux, devrait consulter un médecin.
Il est important de porter attention à tout symptôme pouvant indiquer une commotion cérébrale, afin qu'un professionnel de la santé puisse établir un diagnostic et définir un plan de rétablissement. La commotion cérébrale est une blessure grave et souvent mal comprise.
L'examen clinique : des maux de tête intenses ou persistants, une perte de connaissance, des vomissements répétés, l'apparition d'une paralysie, des convulsions, sont des signes de gravité.
S'endormir peu de temps après avoir vécu un traumatisme renforcerait les émotions négatives liées à cet événement. C'est du moins la conclusion d'une étude américaine qui contredit de précédents travaux sur le sujet.
Mais la plupart des personnes qui ont un TCC modéré ou sévère restent avec des troubles de l'attention, de la difficulté à se concentrer, des pertes de mémoire et souffrent de fatigabilité. Ce sont les séquelles les plus communes, qui parfois incommodent la personne et demeurent la vie durant.
Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
Les symptômes sont notamment un mal de tête persistant, de la somnolence, de la confusion, des troubles de la mémoire, une paralysie du côté opposé du corps, des troubles de la parole ou du langage et d'autres symptômes qui dépendent de la région cérébrale lésée.
Les vomissements : attention, ils peuvent être fréquents après un traumatisme crânien. Dans le cerveau, il existe une zone appelée « Trigger zone » ou « zone du vomissement ». Stimulée au moment du choc, cette zone peut faire vomir l'enfant. Un vomissement simple n'est donc pas exceptionnel.
Lorsqu'ils sont heurtés ou secoués, les tissus mous du cerveau peuvent se déplacer à l'intérieur du crâne et se cogner contre les os durs. Il peut s'ensuivre des ecchymoses, de même que la rupture de vaisseaux sanguins et certaines lésions aux cellules nerveuses.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Après un choc à la tête (ou après un processus d'accélération-décélération brutale type « coup du lapin ») on parle de traumatisme crânien léger (TCL) quand certains signes sont en faveur d' un ébranlement discret mais réel du cerveau.
"On se questionne autour du syndrome des traumatisés crâniens dans lequel il y a des causes et des facteurs psychologiques. Ce qui déclenche la fatigue, ce sont surtout les infections ou les traumatismes émotionnels, les états de stress très importants.
Le physiothérapeute est habileté, dans le cadre d'un programme de prise en charge des commotions cérébrales, à évaluer et dépister les signes et symptômes d'une commotion.
commotion cérébrale , aussi connue sous le nom de traumatisme crânien léger, résulte d'un coup à la tête, d'une chute ou d'un impact important, créant une collision entre le cerveau et les parois de la boîte crânienne.