Position de départ : en position allongée face au sol sur un tapis de mobilité antidérapant, placez une balle de massage ou un rouleau de massage au-dessus de l'os du genou. Les mouvements : faites bouger votre jambe de gauche à droite et de droite à gauche durant 30 secondes.
Placez-vous debout avec vos deux mains sur le mur. Éloignez les pieds d'environ un mètre du mur et placez une jambe derrière l'autre et inclinez votre corps vers l'avant sans plier le genou arrière jusqu'à ce que vous ressentez un étirement confortable dans votre mollet arrière. Maintenez l'étirement.
L'élément le plus important de votre échauffement sera la partie spécifique à la course à pied et au système cardio-vasculaire. Ainsi, vous devez au minimum pratiquer 10 minutes de footing, suivies par 3 à 5 accélérations progressives de 20 à 30 secondes. Allongez votre foulée et augmentez la fréquence.
Comment s'étirer avant de courir ? Il s'agit d'un exercice alternatif qui consiste à étirer les mollets. Posez votre pied au sol en commençant par les orteils. Ensuite, relâchez le poids de votre corps à travers le reste du pied, jusqu'à ce que votre talon soit posé par terre.
Travail de stabilisation : montez sur la pointe des pieds, fléchissez les genoux et tenez ainsi en équilibre 10 à 15 s. À répéter 10 fois pendant l'échauffement, 2 à 3 fois par semaine. Renforcement des quadriceps : placez-vous en haut d'un escalier.
Conseils pour protéger ses genoux en course à pied :
Emilie : Avoir une attaque par l'avant du pied ou en médio-pied protègera plus le genou qu'une attaque talon. Cela permet d'avoir un tibia plus vertical, plus aligné avec le centre de gravité et donc de limiter les contraintes sur le genou.
Allongez-vous sur le dos, jambes fléchies, pieds à plat, les bras croisés sur la poitrine. A partir de cette position, relevez le bassin puis, une fois en position haute, relevez les orteils afin d'être en appui uniquement sur les talons. Ensuite, tout en gardant les genoux collés, relevez une jambe et tendez la.
Avant un 5 ou 10 km
Puis faites 2 séries de 10 secondes de talons-fesses et terminez par 2 séries de 10 secondes en sautillant doucement sur place pieds joints. Juste avant le départ, accélérez progressivement 2 fois sur 20 secondes afin d'augmenter votre rythme respiratoire.
Car lors de séances ou de courses très intenses notre organisme pour faire face à l'intensité de l'effort va produire de l'acide lactique. Le petit footing de retour au calme va avoir pour effet en activant la circulation sanguine et le retour veineux de favoriser « l'élimination » de cette acidité.
L'échauffement musculaire
Pour faire un échauffement musculaire, vous pouvez par exemple faire des allers-retours sur quelques mètres, en effectuant des monter de genoux, des talons-fesses, des pas chassés, pas croisés ou encore des flexions-extensions.
L'un des exercices d'échauffement les plus connus est celui des rotations. Debout, faites des mouvements de rotation avec vos chevilles, vos poignets et vos épaules. Prévoyez dix répétitions pour votre cheville gauche, puis votre cheville droite, et ainsi de suite.
Nous vous conseillons donc, avant chaque séance, de réaliser 30 minutes d'échauffement à faible allure, et 2 à 3 fois par semaine de courir entre 45 minutes et 1 heure 15 toujours à allure modérée. Sans forcer, juste pour tourner les jambes et augmenter petit à petit votre endurance.
Sport “porté”, avec moins d'impact sur les articulations, la natation et l'aquajogging possèdent de nombreux bénéfices lorsqu'on a mal au genou. Choisissez de pratiquer le crawl plutôt que la brasse, cette dernière ayant tendance à solliciter plus que de rigueur l'articulation du genou.
Le vélo d'appartement :
Le vélo de rééducation est largement utilisé par les kinés ! Il est très bien si vous souffrez de problèmes de genoux, diverses pathologies ou encore une rupture des ligaments croisés. Le vélo d'appartement est la première étape avant de marcher et permet la flexion du genou.
S'il n'existe pas de causes connues au craquement du genou (lors de la flexion-extension, par exemple), il peut-être assimilable à une pathologie précise. La survenue d'une entorse du genou ou d'une rupture du ligament, comptent parmi les causes évidentes, puisqu'un bruit de craquement se fait distinctement entendre.
La durée de l'échauffement peut varier entre 5 et 45 minutes en fonction de la durée de la séance de pratique, de l'intensité de l'effort prévu et de votre condition physique du moment.
L'échauffement doit être systématiquement effectué avant chaque séance. Pour cela, il est important d'en faire un véritable rituel où les mêmes exercices sont répétés dans le même ordre, entraînement après entraînement.
Prendre un petit-déjeuner avant de courir vous permet de maintenir un taux de glycémie stable et de fournir à votre corps l'énergie nécessaire à votre course. Mangez par exemple : du porridge accompagné de baies et d'amandes. un smoothie aux myrtilles et à la banane avec un yaourt maigre.
ÉCHAUFFEMENT POUR 5 ET 10 KILOMÈTRES
Commencez par 15 min de footing puis faites entre 6 et 8 séries d'accélérations progressives sur 200 m, puis 50 m d'accélérations rapides.
L'échauffement avant une compétition telle qu'un 10 km doit comprendre plusieurs phases. La première, que nous appellerons échauffement général, consiste à réaliser 15 minutes de course lente et continue aux alentours de 60-65 % de VMA ou 65-70 % de FCM.
Car on ne muscle pas un genou mais les muscles qu'il y a autour pour le protéger. Parmi eux : les quadriceps, les ischio-jambiers et même les fessiers. Tout d'abord, il faut effectuer un travail équilibré entre ces groupes musculaires reliés aux genoux.
Causes du dérobement
Le dérobement est lié à l'absence de contraction du muscle quadriceps, ce qui entraîne une flexion du genou. Ce lâchage du genou peut-être "réflexe" suite à une douleur ou simplement lié à une faiblesse du quadriceps, à un déséquilibre entre quadriceps et ischios.
Cette douleur peut venir d'une lésion ligamentaire ou tendineuse ; en effet, lorsque vous pliez la jambe, les ligaments et les tendons du genou sont mis en tension. Elle peut aussi être le symptôme d'une pathologie nommée ostéochondrite du genou.