sach- : je sache. su- : je l'ai su.
C'est le fameux : « Si j'avais su que tu ne venais pas, j'aurais annulé ma visite. ». Avec un verbe conjugué à l'imparfait dans la proposition subordonnée, la principale est également à l'imparfait.
Indicatif présent : je peux, tu peux, il/elle/on peut, nous pouvons, vous pouvez, ils/elles/eux peuvent. Indicatif passé composé : j'ai pu, tu as pu, il/elle/on a pu, nous avons pu, vous avez pu, ils/elles/eux ont pu.
Un guide d'aide à l'entretien avec des femmes victimes de violences. Le Département de la Seine-Saint-Denis s'efforce d'être en première ligne dans la lutte contre toutes les formes d'inégalité et de violences qui s'exercent à l'encontre des femmes.
« Comment t'as su que j'habitais en Ardèche ? » « Comment t'as su que j'étais en fac de droit ? » Cette phrase, accompagnée de photos illustrant les plus gros clichés collés à l'objet de leur moquerie, se multiplie depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. L'objectif : rire des a priori.
Je ne sais rien est plus absolu, c'est pratiquement : j'ignore tout. Cela dit, je n'en sais rien peut être ressenti comme plus expéditif et aller dans le sens de votre avis.
J'ai demandé à Christian de venir, je lui ai demandé de venir. J'ai demandé la facture, je l'ai demandée.
"Cette chanson, on l'a voulue avec beaucoup de sincérité"
On voulait parler de l'amour qui nous tient et nous fait du bien, de l'humain : celui qui aime, qui vit la vie à deux et n'ose pas forcément dire les choses qu'il a sur le coeur. "Je t'aime", "j'ai besoin de toi", "tu me manques"...
Le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet, mais avec le complément d'objet direct (COD), uniquement si celui-ci est placé avant. Exemples : « Le chat a mangé les souris ! » Le COD « les souris » est placé après le participe passé, on n'accorde pas. « Les souris ?
il se peut que \il sə pø kə\ — Note : Le verbe qui suit est conjugué au subjonctif. Cette locution introduit une éventualité dans l'action qui est décrite ensuite.
Langue parlée. Dans sa réalisation courante dans la langue parlée, la négation se forme avec un seul mot (sans ne), qui se place après le verbe conjugué : Je sais pas.
Vous avez avec -ez
Lorsque c'est la personne désignée par vous qui fait une action, ce mot vous est le sujet du verbe avoir . Dans ce cas, la terminaison est -ez : vous avez . Le verbe est ici conjugué au présent, comme dans elle a , nous avons , ils ont .
Dans vous avez eu , le mot eu est le participe passé du verbe avoir . Quelques exemples : vous avez eu le temps d'y réfléchir , vous avez eu un retour suite à votre question ? , vous avez eu la gentillesse de m'aider .
Le participe passé employé avec l'auxiliaire avoir (PPA) s'accorde en genre et en nombre avec le pronom ou le nom noyau du groupe nominal (GN) qui occupe la fonction de complément direct (CD) si ce dernier est placé avant le verbe.
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas. Pourquoi ? Parce qu'on pose la question : La trottinette que j'ai reçue a plu à qui ?
Le participe passé des verbes conjugués avec l'auxiliaire avoir ne se s'accorde jamais avec le sujet : il est invariable si aucun complément d'objet direct (COD) ne le précède. Les enfants ont joué toute l'après-midi.