Le téléfilm est, quant à lui, similaire à la série. Conçu uniquement pour la télévision, il est plus long qu'un épisode de série et moins long qu'un film. Pour autant, sa durée est suffisante pour y raconter une histoire entière.
téléfilm n.m. Film réalisé spécialement pour la télévision.
La série se distingue du feuilleton en ce que chaque épisode est fortement autonome et reproduit un même schéma. L'archétype en est la série policière avec une résolution de meurtre à chaque épisode. Le feuilleton n'est pas soumis à cette contrainte.
En cinématographie tous les acteurs ne jouent pas le même rôle. Certains tournent dans les séries et d'autres les films. Tous les deux font parties du cinéma mais n'ont pas la même durée.
Une scène post-crédits (également appelée tag, stinger, scène post-générique, cookie de crédit ou coda) est une courte séquence qui apparaît après la totalité de clôture d'un film. Cette séquence est généralement un trait d'humour ou introduit une suite possible.
Record de la série la plus longue. Haine et Passion (ou Guiding Light en version originale), c'est 15 762 épisodes et 56 saisons diffusées de 1952 à 2009 sur la chaine américaine CBS, soit 57 ans d'existence!
Pilote introductif
Le pilote constituera le premier épisode de la série, ou un téléfilm d'introduction (qui peut alors avoir une durée plus longue que les épisodes suivants).
«Guiding Light», soap opera américain lancé sur la chaîne CBS en 1952, s'achèvera en septembre prochain...
Binge watching et moins bonne mémoire
D'après une étude menée par les chercheurs de l'Institut Californien pour la Recherche et l'Éducation sur 3 200 femmes et hommes âgés de 18 à 30 ans, regarder plus de trois heures par jour la télévision altèrerait nos fonctions cognitives, rapporte le Times.
Une série B est à l'origine un long métrage tourné avec un petit budget de production, distribué sans campagne publicitaire, et projeté en première partie d'un double programme (deux films par séance au prix d'un seul) : ce type de films était très courant durant l'âge d'or d'Hollywood.
Un bon scénario, une bonne intrigue, des personnages attachants ou forts et des dialogues perspicaces : ce sont 3 éléments importants pour un bon scénario.
Critères de qualité du film : un bon film 1) a du succès, 2) est une réussite technique, 3) apprend quelque chose, 4) émeut, 5) est original et 6) cohérent.
L'analyse filmique consiste à présenter une œuvre audiovisuelle en explicitant le scénario, le découpage des séquences ou encore les enjeux socio-culturels et le message du film. Une bonne étude d'œuvre audiovisuelle doit aussi porter un regard critique et technique sur l'esthétisme de la production étudiée.
Lancé en juin 1952 à la télévision américaine, sur CBS, «Haine et passion» est de loin le feuilleton le plus interminable long que le petit écran n'est jamais vu avec ses 15.762 épisodes télévisés.
On trouve les mots suivants pour définir cette dépendance : series addict ou de sériephile en français (passionné de séries). On parle de consultation excessive de la télévision ou d'Internet, dans certains cas s'installe une addiction…
Game of Thrones
Avec plusieurs récompenses prestigieuses dont 47 Emmy Awards. Et si le final n'a pas été à la hauteur des espérances des fans, Game of Thrones aura au moins hérité du statut de série culte.
La première place est sans surprise occupée par la nouvelle série de la première chaîne, "HPI", avec Audrey Fleurot dans le rôle principal, celui d'une mère de famille dotée de hautes capacités intellectuelles qui aide la police de Lille dans ses enquêtes.
Birds of Prey, arrêté au bout de 13 épisodes, n'a pas non plus eu sa chance mais au moins ils ont essayé de finir la série et elle a été éditée en DVD.
Un film c'est d'abord une histoire, couchée sur du papier, dans un scénario. Mais ce n'est que la première phase, un ensemble de métiers et de techniques arrivent par la suite tout au long de la fabrication du film, pour permettre de se retrouver devant le petit ou le grand écran.
Il faut distinguer deux types de films inclus dans des films : les films réels et des films fictifs.
Selon le code de l'industrie cinématographique, le ministre de la Culture est chargé de délivrer un visa d'exploitation de l'œuvre cinématographique, valant autorisation de représentation publique sur tout le territoire de la République française, à l'exception des territoires d'outre-mer.