Depuis le XIXe siècle, le terme debout se range, selon le Trésor de la langue française, dans la catégorie des adverbes et adjectifs invariables. Il ne peut donc pas s'accorder au pluriel. Pour être correct, on écrit ainsi: «Ils sont debout.»
« Debout », comme tout adverbe, est toujours invariable : il ne peut prendre de « s ».
L'orthographe correcte est donc « debout » en toutes circonstances. On écrit « ils sont debout » ; de même on écrit « ils se mettent debout ». Lorsqu'il est question d'un être vivant, « debout » équivaut à « en se tenant sur ses pieds » et s'oppose à « assis, couché ou à genoux ».
Debout est un adverbe, mot invariable qui complète ou modifie le sens d'un verbe, d'un adjectif, d'un autre adverbe, ou même d'une phrase. Il reste invariable même lorsqu'il est utilisé dans le nom composé mange-debout (table haute qu'on trouve dans les lieux de restauration rapide).
C'est un nom (substantif) masculin singulier. Il donne au pluriel : des ensembles. Il signifie : Une collection d'éléments, la totalité, un ensemble orchestral, un costume féminin composé de deux pièces ou plus, un ensemble immobilier, un ensemble vestimentaire...
On écrira « tous les lundis|mardis|mercredis|jeudis|vendredis|samedis|dimanches » et nous veillerons à bien écrire le jour de la semaine en minuscule. Par ailleurs, une erreur courante est d'accorder les termes qui suivent le jour de la semaine. Il est erroné d'écrire « les jeudis soirs ».
Même lorsqu'il est employé avec une valeur d' adjectif, il reste invariable. Ils sont ensemble depuis de longues années. Quand on voit les deux jumelles ensemble, on ne saurait les distinguer. On veillera à ne pas confondre ensemble adverbe et ensemble nom, qui lui s'écrit avec s s'il est au pluriel.
Pour écrire un nom ou un adjectif au pluriel, on ajoute souvent "s" à la fin du mot. Les mots en -eu se terminent par -eux au pluriel sauf : des bleus, ils sont bleus, des émeus, je les ai eus, des lieus (poissons), des pneus, ... . Les noms en -au se terminent plus souvent par -aux au pluriel.
On prononce la consonne finale des mots bœuf, œuf et os lorsqu'on les emploie au singulier. Bœuf et œuf se prononcent donc [bef] et [ef] comme le chiffre neuf, et os se prononce [os] comme dans le mot brosse. Au pluriel, toutefois, on ne prononce pas la consonne finale.
En général, on forme le pluriel d'un nom en ajoutant « s » au nom singulier. Pour certains noms, « x » est la marque du pluriel. En général, «s» est la marque du pluriel à l'écrit.
Voici 4 ou 5 millions d'années, peut-être 6, nos ancêtres accomplissaient les premiers pas de leur histoire, passant de la marche à 4 pattes à la station verticale. Cette évolution décisive a distingué les hominidés, dont nous sommes issus, des autres primates.
En fait, quand il signifie « les uns avec les autres », le mot ensemble est invariable, c'est un adverbe. Le seul cas où ce mot peut prendre un s , c'est quand il est employé comme nom masculin pour désigner un groupe d'éléments qui forment un tout : des ensembles de documents .
La réponse simple. On écrit « tous les deux ».
Le participe passé s'accorde toujours avec son sujet quand l'auxiliaire est "être". Le participe passé employé avec l'auxiliaire "avoir" ne s'accorde jamais avec son sujet. Il s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) si celui-ci est placé avant le verbe.
L'adjectif s'accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auquel il se rapporte, qu'il soit adjectif épithète ou adjectif attribut. Cet accord marque la cohésion du groupe. La chemise verte contient les factures (l'adjectif épithète verte est au féminin singulier comme le nom chemise).
Ceux qui sont formés de plusieurs mots ne s'accordent pas : bleu ciel, rouge sang, arc-en-ciel… Ceux qui sont formés avec le nom d'une chose restent invariables : abricot, paille… sauf quelques exceptions : fauve, rose, mauve, châtain…
Un œuf : [ɶf], le groupe œu- se prononce comme eu dans neuf ; des œufs : [ø], le mot se prononce comme eu dans peu. On écrit : des blancs, des jaunes d'œufs; un œuf au plat ou sur le plat. Débarrasser un œuf dur de sa coquille se dit écaler un œuf.
Le pluriel œufs se prononce [ø].
« De même, os au pluriel se prononce [o] comme le mot eau. En ancien français, on avait tendance à ne pas prononcer la consonne finale d'un mot lorsqu'elle était suivie du -s du pluriel.
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.
Ils n'ont pas de lien avec le verbe. Le, la, les, l' placés devant le verbe sont des pronoms personnels, compléments d'objet directs du verbe. Ils ne concernent pas l'accord verbe-sujet. Exemple : Leur mère les gouvernait par la douceur (Balzac) / L'air le grisait, les fleurs l'attendrissaient.
debout adv. Qui est en station verticale, sur ses pieds (par opposition à couché, assis, agenouillé, accroupi, etc.).
Accord avec le sujet : règle générale
En règle générale, le verbe s'accorde avec son sujet. On peut le repérer en posant la question : "Qui est-ce qui ?" ou "Qu'est-ce qui ?". Dans le cas où il y a plusieurs sujets, on considère qu'il s'agit d'un pluriel.