On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Il faut dire : « C'est moi qui l'ai fait. » C'est moi qui = je (1re personne du singulier). Vous accorderez donc le verbe avoir avec « je ». De même, vous écrirez, « c'est toi qui l'as fait » (= tu), « c'est nous qui l'avons fait », etc.
Le verbe s'accorde normalement avec son sujet, pour le trouver on pose la question « Qui est-ce qui a(s) raison ? » : toi. On accorde donc à la deuxième personne du singulier : C'est toi qui as raison.
« Qui » = « le gendarme » : on conjugue donc « brûler » à la 3e personne du singulier, comme si le sujet de « brûler » était « le gendarme ». Ce n'est pas moi qui ai brûlé la maison. « Qui » = « moi », pronom personnel de la 1re personne du singulier : on conjugue donc « brûler » à la 1re personne du singulier.
La forme « C'est toi qui fais » ou « c'est toi qui fait » ? Tout d'abord, pour vous éviter bien des erreurs, sachez que la forme exacte est « c'est toi qui fais ». Tous les verbes placés derrière le pronom relatif « qui » s'accordent en genre et en nombre avec son antécédent.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
Il faut écrire : Ils se sont fait renvoyer pour insubordination. Immédiatement suivi d'un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable : ici, « faits » est suivi de « renvoyer ». Il ne s'accorde donc pas et on écrit « ils se sont fait renvoyer ».
Parmi les erreurs courantes : "moi qui ais", "moi qui ait" ou pire (car on emploie le verbe être au lieu d'avoir !) "moi qui es", "moi qui est". Or, la seule orthographe valable est "moi qui ai".
« Qui » reprend un mot qui le précède, le pronom personnel « moi ». On dit que « moi » est l'antécédent de « qui ». Dans ce cas, le verbe doit s'accorder avec l'antécédent.
Faux. Il faut écrire : Toi qui es le plus âgé, dis-nous ce qu'il convient de faire. Le verbe « être » doit ici être conjugué à la deuxième (et non à la troisième) personne du singulier, son sujet, le pronom relatif « qui », reprenant le pronom « toi » (et non « lui »).
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu.
On peut dire "Je me suis dit" et "Je me suis dite", "Gisèle s'est dit" et "Gisèle s'est dite", mais pas dans les mêmes cas, et c'est sans doute pourquoi elle ne sait plus sur quel pied danser. Si vous êtes un homme, pas de souci, vous dites "Je me suis dit" dans tous les cas. Mais, au féminin, ça se complique.
Attention de ne pas confondre ces différents mots qui se prononcent de la même façon ! Quand le mot dit est employé avec l'auxiliaire avoir , il faut lui mettre un t . On n'écrit pas tu m'as dis .
Lorsque le verbe est utilisé avec le pronom relatif qui comme sujet, le verbe s'accorde avec l'antécédent (c'est-à-dire l'élément remplacé) du pronom relatif. Ce sont ces filles qui étaient parties avant la cloche.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Au subjonctif présent, les terminaisons sont régulières, ce sont les mêmes pour tous les verbes (à quelques exceptions près). Au singulier, ces terminaisons sont -e , -es , -e . Pour le verbe faire , ça donne : que je fasse , que tu fasses , qu'il fasse . C'est la raison pour laquelle on écrit tu me fasses avec un s .
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
«Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend !