La formulation neutre privilégie l'utilisation de noms, d'adjectifs et de pronoms qui ne présentent pas d'alternance masculin/féminin tout en ayant un genre grammatical qui leur est propre. Ces mots désignent aussi bien des personnes non binaires que des personnes s'identifiant au genre féminin ou masculin.
Lorsque l'on sait qu'une personne utilise des accords dégenrés, cela se traduit principalement à l'écrit par l'écriture inclusive. Il s'agit de terminaisons combinant celles du masculin et celles du féminin, soit par l'utilisation de mots-valises, soit en utilisant un point, un point médian ou un tiret.
Il s'agit d'un pronom non genré, nouvelle troisième personne du singulier, ni féminin, ni masculin, et qui « vise à désigner une personne quel que soit son genre. ».
Les pronoms démonstratifs « ce », « ça », « ceci » et « cela » sont quasi unanimement considérés comme des formes neutres et dans une moindre mesure comme des formes de genre indifférencié. Il en va de même pour « rien » et « quelque chose ».
Vous devez toujours demander la manière dont une personne souhaite être adressée, et ne jamais supposer. Notez qu'en général, à l'oral, si les formes masculines et féminines d'un mot se prononcent de la même manière, cela devrait également être le cas pour la forme neutre.
L'expression «langage neutre du point de vue du genre» est une expression générique couvrant l'usage d'un langage non-sexiste, inclusif ou équitable du point de vue du genre.
L'utilisation du langage épicène, c'est-à-dire non genré : magnifique (et non belle ou beau), un parent (au lieu de père ou mère).
L'introduction du pronom "iel" dans le dictionnaire Robert en ligne a créé de nombreux débats. Pourtant, le genre neutre existait en latin et existe toujours dans certaines langues modernes. En français, ce genre fait pourtant défaut.
Peu marqué, sans passion, sans originalité, sans éclat. Grammaire. Qui n'est ni du genre masculin, ni du genre féminin.
Le français, comme toutes les langues romanes (espagnol, italien, roumain…), en découle, et il est grammaticalement genré. Mais, à la différence de son ancêtre romain, il n'en possède que deux : les célèbres masculin et féminin. Le neutre a été rendu à César.
Par exemple, le mot enfant est un parfait exemple d'un mot épicène. Cette démarche peut aussi bien porter sur les mots, en féminisant les professions, par exemple autrice, que sur la rédaction, en évitant d'utiliser par exemple uniquement le masculin pluriel pour désigner un collectif.
L'utilisation du point milieu en composant le mot comme suit : racine du mot + suffixe masculin + point milieu + suffixe féminin. On ajoutera un point milieu supplémentaire suivi d'un « s », si l'on veut indiquer le pluriel. Quelques exemples : acteur·rice·s, ingénieur·e·s, ceux·elles, sénior·e·s.
Le pronom le plus couramment associé aux personnes non binaires est « iel » accordé par le biais de l'écriture inclusive. Certaines personnes utilisent « elle » ou « il », d'autres encore alternent différents pronoms, et il existe d'autres pronoms comme « ol » et « ael ».
Le terme "iel" est un pronom personnel neutre qui fait référence à la troisième personne du singulier. Il s'agit d'un néologisme issu de l'écriture inclusive, né d'un mélange de "il" et "elle". On peut également le trouver orthographié "yel" ou "ielle" et il se décline en "iels" dans sa forme plurielle.
Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie. Par extension, il arrive qu'on appelle adelphes les personnes de la communauté à laquelle on appartient, sans faire de distinction de genre.
Pronom complément : ici « elle » et « lui » deviennent « iel » ou « ellui » au singulier et « elles » et « eux » deviennent « iels » et « elleux » au pluriel. Par exemple : c'est avec qu'elleux qu'iels ont discuté hier soir.
Synonyme : désintéressé, impartial, indifférent, objectif. Contraire : inéquitable, partial, subjectif, tendancieux.
Le neutre est un genre qui n'existe pas en français. Le genre d'un nom est reconnaissable à l'article qui se trouve devant. L'article du féminin est die, celui du masculin, c'est der, et pour le neutre, l'article est das.
La neutralité constitue la traduction pratique du principe d'impartialité. Ainsi, les opinions personnelles des juges ne doivent pas interférer avec cette obligation d'impartialité.
Le pronom "iel", contraction de "il" et "elle" a été ajouté en octobre dernier à la version en ligne du dictionnaire Le Robert. Un mot utilisé notamment par les personnes non-binaires qui ne se reconnaissent dans aucun genre, ni masculin ni féminin.
Par convention, sur une prise vue de face, le neutre est à gauche et la phase, à droite.
«Chacun a bien compris que valider le pronom 'iel', c'est valider l'écriture inclusive, parce qu'il faudra qu'on nous explique s'il faut dire: 'iel est beau' ou: 'iel est belle'.
1 - Personne cisgenre
Cette catégorie comprend les personnes dont le genre déclaré correspond à leur sexe à la naissance déclaré. Elle comprend les hommes et les femmes cisgenres (cis).
"Iel", pronom personnel à mi-chemin du masculin "il" et du féminin "elle", est défini dans Le Robert en ligne depuis novembre. L'éditeur a annoncé l'avoir fait entrer dans son édition 2023 du Petit Robert. Au départ, Le Robert précisait sur son site internet "on écrit aussi ielle, ielles".
Le néologisme xénogenre vient du grec xeno (l'autre). Les xénogenrés (ou xenogenders en anglais) sont donc des individus qui s'identifient à un « autre » genre : animal, végétal, objet inanimé ou même « humeur », précisent les réalisateurs du documentaire.