Même, quand il signifie y compris, est un adverbe : il est invariable. Même eux, ils n'y ont pas pensé. Dans les autres cas, même est un adjectif : il s'accorde. J'ai les mêmes chaussures → ne veut rien dire avec y compris → adjectif → accord → mêmes.
On écrit vous-mêmes avec un s si on s'adresse à plusieurs personnes et vous-même sans s si on vouvoie une seule personne.
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
Pas toujours facile de s'y retrouver, entre ces différents mots très courts qui se prononcent pareil… Il faut se poser les bonnes questions : ce petit mot, est-ce que c'est le verbe avoir ou le verbe être ? Et quel est son sujet : qui « est » ? Si c'est tu , on n'écrit pas tu est , ni tu ai , on écrit tu es .
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres.
Le français est assez clair sur la question : les noms se terminant par « s », « x » ou « z » sont invariables au pluriel. Ça veut dire qu'on ne met pas de « s » à gaz, pas plus qu'à quiz, nez ou voix.
S'il y a une seule personne, même est au singulier : Moi-même, toi-même, soi-même, lui-même, elle-même. S'il y a plusieurs personnes, même est au pluriel : Nous-mêmes, vous-mêmes, eux-mêmes, elles-mêmes.
Vous-même est un terme qui crée une insistance, qui met en valeur le pronom " vous ", qui se rapporte, ici, au pronom de politesse au singulier (au pluriel, " même " prend un s). Exemple : Vous avez vraiment fait cette robe vous-même? Elle est magnifique!
Lorsqu'il suit un pronom personnel, l'adjectif « même » est précédé d'un trait d'union – moi-même, lui-même – et s'accorde au pluriel : nous-mêmes, eux-mêmes. En revanche, si « même » suit immédiatement un nom, on ne met pas de trait d'union. Exemples : « Cette femme est la bonté même », « Ce sont ses paroles mêmes ».
On écrit « quand même » : « quand même » est une locution conjonctive, contraction de « quand bien même ».
Règle. Lorsque l'adjectif singulier se termine par -s ou -x, il ne change pas au pluriel. Lorsque l'adjectif singulier se termine par -eau, on y ajoute un -x au pluriel. Lorsque l'adjectif singulier se termine par -al au singulier, on change généralement la finale pour -aux au pluriel.
Au présent, les verbes des 2e et 3e groupes (ceux qui ne se terminent pas en -er) prennent un -s final à la première personne du singulier (je).
L'adjectif employé avec plusieurs noms coordonnés
Il est au masculin si l'un au moins des termes est au masculin. Mon grand-père et ma grand-mère maternels (grand-père est masculin, donc maternels est au masculin). Sa tante et sa grand-mère maternelles (les deux noms sont féminins donc maternelles est au féminin).
Est-ce qu'on écrit le pluriel de bisou en ajoutant un s ou bien un x ? La réponse est : le mot bisou reçoit un s au pluriel. On écrit des bisous .
Les noms terminés par « z » sont invariables : un nez, des nez.
Plur. : des arcs-en-ciel.
Pour écrire un nom ou un adjectif au pluriel, on ajoute souvent "s" à la fin du mot. Les mots en -eu se terminent par -eux au pluriel sauf : des bleus, ils sont bleus, des émeus, je les ai eus, des lieus (poissons), des pneus, ... . Les noms en -au se terminent plus souvent par -aux au pluriel.
Quand on parle d'une seule chose ou d'une seule personne, c'est le singulier. On peut mettre les petits mots « un », « une », « le » ou « la » devant un nom au singulier. Quand on parle de plusieurs choses ou de plusieurs personnes, c'est le pluriel.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
Est : Le verbe être (es, est). Il peut se conjuguer à l'imparfait : Tu es belle. Tu étais belle.
Le truc, pour s'en assurer, c'est de remplacer on par un autre pronom, elle ou nous, par exemple. "Elle est bien" : pas de son N ; OK. Donc dans "on est bien", on n'ajoute pas de N' après on. En revanche, “Elle n'est pas bien”, on entend le son N, donc en écrivant “on n'est pas bien”, il ne faudra pas oublier le n'.