On utilise la base verr- pour conjuguer voir au futur et au conditionnel : je verrai , tu verras , on verra ; je verrais , tu verrais , il verrait .
« verrais » et « verrai » sont des futurs de l'indicatif (la forme de verrais » est la même que celle du conditionnel, et c'est tout. La raison en est l'origine du mode conditionnel). Verrai est le futur du système présent et « verrais » le futur du système passé.
Si le mot peut être remplacé par « et même », le « e » est de rigueur, et on écrit « voire ». Sinon, on écrit « voir » : L'ordinateur change nos habitudes, voire les bouleverse. = L'ordinateur change nos habitudes, et même les bouleverse.
La réponse simple. On écrit « je vois » ou « je voie » selon le contexte.
La phrase infinitive est une phrase à construction particulière formée à partir d'un verbe à l'infinitif et est donc dépourvue de sujet et de prédicat.
Pour trouver l'infinitif d'un verbe, on met la phrase au futur proche (aller + verbe à l'infinitif). Ex : Zoé joue au foot. -› Zoé va jouer au foot. On en déduit que jouer est l'infinitif du verbe conjugué joue.
Les verbes terminés par « ir » ou « ïr » du troisième groupe sont ceux ne se terminant pas par -issant au participe présent. Acquérir, bouillir, courir, cueillir, dormir, faillir, fuir, mentir, mourir, ouïr, ouvrir, partir, sortir, tressaillir, venir, etc.
Au passé simple, voir se conjugue avec la base v- et des terminaisons en i . Ça donne : je vis , tu vis , il vit ( elle vit , on vit ), nous vîmes , vous vîtes , elles virent ( ils virent ).
Les terminaisons du présent sont : pour les verbes du 1er groupe : -e, -es, -e, -ons, -ez, -ent ; Exemple : j'aime, tu aimes, il aime. pour les verbes du 2e groupe : -is, -is, -it, -issons, -issez, -issent ; Exemple : il finit, ils finissent. pour les verbes du 3e groupe : -s, -s, -t, -ons, -ez, -ent.
Le futur simple se forme différemment. On ajoute les terminaisons -ai, -as, -a, -ons, -ez et -ont à l'infinitif. Parler : je parlerai, tu parleras, il/elle/on parlera, nous parlerons, vous parlerez, ils/elles parleront.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée.
Le verbe falloir, au présent il faut, est un verbe impersonnel. Le pronom il ne renvoie à aucune personne, il sert seulement à indiquer la personne grammaticale du verbe.
Infinitif ou non ? Pour savoir quand mettre le verbe à l'infinitif dans une phrase, il faut retenir ces deux petites règles : Quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif. Exemple : je vais partir.
L'expression impersonnelle "il faut" indique que quelque chose est nécessaire / doit être fait. Le verbe qui suit est à l'infinitif. Ex: Il faut manger trois fois par jour. Il faut apprendre à lire et à écrire.
Il ne faut pas dire "Il faut qu'on se voye". Mais il ne faut pas non plus écrire "Il faut qu'on se voit". On écrira : "Il faut qu'on se voie" (3e personne, au subjonctif présent). (Dictionnaire des difficultés Bescherelle.)
Exemple : ''Il faut que je voie le directeur avant demain.'' Dans le bout de phrase « il faut que je voie », la subordonnée complétive « que je voie le directeur » est introduite par un verbe qui impose l'emploi du subjonctif : "faut".
Pourquoi n'écrit-on pas « au vue de »
Dans la locution : au vu de, vu est un nom masculin, il ne prend pas de e final.
A l'intérieur d'un mot : on écrit è quand cette lettre est suivie d'une syllabe avec un e muet, dans les autres cas on écrit é.
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
Il faut écrire : Comment écrit-on ce mot ? Lorsqu'il y a inversion du sujet, comme ici, et que le verbe se termine par un « t », on n'en met pas un autre entre lui et le pronom sujet : on écrit donc « écrit-on » et non « écrit-t-on ».
Rappelons donc que l'on doit écrire je savais que je viendrais et non je savais que je viendrai puisque l'on dit il savait qu'il viendrait et non il savait qu'il viendra.