Reste que, pour exprimer son hilarité, «ha ha» n'est pas la seule réaction possible. «Hi hi» est tout à fait français aussi, «hé hé» fonctionne aussi, mais plutôt «pour marquer une sorte d'adhésion gourmande, de complicité, parfois railleuse ou ironique», note joliment l'Académie.
Avec la forme « ah », dont le h est toujours muet (il était peut-être à l'origine un signe d'allongement de la voyelle), est généralement préférée quand l'exclamation est immédiatement suivie d'une autre interjection, d'un adverbe exclamatif, d'un mot court, d'une brève locution : — Ah bon !
Selon Antidote, ha aurait le même rôle que ah en plus restrictif. Quant au Larousse, il nous explique que ha n'est utilisé que pour le rire et peut être remplacé par ah, qui est beaucoup plus large. Ailleurs, on nous dit que ha exprime la surprise et la douleur (comme le déclare Antidote), mais aussi le soulagement.
Eh oui est une locution interjective que l'on emploie, souvent après un temps de réflexion, lorsque l'on admet quelque chose à regret, ou pour faire un aveu difficile ou étonnant. Ainsi, en 1940, Gide écrit dans son Journal : « Eh oui !
Onomatopée. (Bande dessinée) Cri d'horreur ou d'effroi, en particulier lors d'une chute.
Cri de joie - Whouaaah! Hip hip hip hourra! Youpi!, Youpee!, Yéééééh!
Interjection qui exprime le dépit, la colère, la frustration, la déception. Argh !
Variante de mm , marque l'appréciation positive. Hmm, comme c'est bon !
est introduite au moyen de pousser un cri de douleur ou de crier de douleur : Et Pierre poussa un cri de douleur : « Aïe ! » Et il cria de douleur : « Aïe ! »
Interjection exprimant l'étonnement.
Locution interjective
Fréquent dans le langage parlé pour marquer l'étonnement, l'incrédulité, etc.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
Processus permettant la création de mots dont le signifiant est étroitement lié à la perception acoustique des sons émis par des êtres animés ou des objets. 2. Unité lexicale formée par ce processus. (Des mots tels que coucou, froufrou, craquer, miaou, clac, etc., ont une origine onomatopéique.)
Un smac est l'onomatopée de une bise, un bisou ou un baiser. Faire un smac. En anglais, le smac se dit muah. Muah, Mauh, Mwa, Mwah est l'onomatopée de kiss (bisou au singulier).
Bruit d'un soupir de fatigue, de soulagement, de bonheur, d'agacement, etc.
kof…, toussé-je.
hum {interj.} hum! {interj.} huh!
L'interjection est un mot ou une locution qui exprime un sentiment avec vivacité. Grammaticalement, elle n'a aucun rôle. L'interjection est suivie d'un point d'exclamation (parfois d'un point d'interrogation). Le mot qui suit ce point d'exclamation ne prend pas obligatoirement la majuscule.
Déduire quelque chose de quelque chose, l'en tirer comme une conséquence ; conclure : De ces témoignages on ne peut arguer que l'accusé est coupable. 2. Alléguer quelque chose, l'avancer en tant qu'argument ; prétexter : Il demanda un interprète, arguant qu'il ignorait la langue.
Si l'émotion est observée du point de vue externe, ne vous contentez pas de décrire l'expression du personnage concerné. L'émotion se traduit aussi par sa gestuelle, sa posture, ses tics, sa voix (ton, inflexion, débit) …
- pffff : soupir (plus il y a de f plus le soupir est profond), ou les bras m'en tombent, dans le sens de "c'est pas possible de voir ça.."
En français, on rencontre deux prononciations différentes pour waouh . On peut dire soit [ wau ] en deux syllabes (un peu comme on prononce le milieu du mot caoutchouc ), soit [ waw ] en une seule syllabe (comme le milieu du mot cacahouète , juste avant -ète ), prononciation plus proche de l'anglais.
Le mot se n'a qu'un seul usage dans la langue française : il s'agit d'un pronom personnel réfléchi. Il est systématiquement employé devant un verbe à sa forme pronominale. En sa qualité de pronom réfléchi, il renvoie au sujet du verbe, qui est forcément au troisième rang personnel du singulier ou du pluriel.