On écrit « vive » au singulier quand on utilise la formule d'encouragement, d'appréciation ou d'acclamation », « vive les mariés ! » par exemple. Il est invariable lorsqu'il est utilisé comme interjection. Il précède toujours son sujet.
Les deux orthographes sont admises, mais vive est le plus souvent considéré aujourd'hui comme une interjection invariable : vive les vacances !
La bonne réponse était : les deux ! On peut écrire « vive les mariés » ou « vivent les mariés » !
RE: Demande de traduction
Je souhaiterais savoir comment on dit "Vive les mariés" en Breton. "Bevet an dud nevez !"
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
BISOU BIZ- MAÑ, dim. -ig fam. EVN BIHAN m. parf.
Ainsi, l'orthographe à préférer est la suivante: «Vive les vacances!» Même si, la forme au pluriel est correcte.
Vive, subjonctif du verbe vivre, peut introduire des exclamations exprimant l'enthousiasme. Le plus souvent, vive est invariable car on considère qu'il a perdu sa valeur de verbe.
“Vives les mariés ! Nous sommes heureux d'avoir été présents lors de votre union et vous souhaitons tout plein d'amour et de bonheur pour cette nouvelle page de votre couple.” “Nous sommes fiers de vous avoir accompagnés pour votre mariage et d'avoir partagé cet instant si précieux et intense de votre vie.
« Je vous souhaite une vie d'amour et de bonheur. » « Le jour de votre mariage viendra et repartira, mais que votre amour grandisse à jamais. » « Meilleurs vœux pour ce merveilleux voyage, alors que vous construisez votre nouvelle vie ensemble. » « Que les années à venir soient remplies d'une joie durable. »
“Nous vous souhaitons une vie aussi belle que ce mariage. Nous vous adressons nos meilleurs vœux de bonheur et toutes nos félicitations pour ce magnifique mariage.” “Que vos cœurs soient remplis de joie, de bonheur et d'amour pour toujours. Toutes nos félicitations pour votre mariage.”
VIF, VIVE, adj. et subst. masc. a) Qui est en vie; vivant.
Très ardent, emporté. Très intense; aigu. Qui se meut avec facilité. Qui dépeint bien et exprime les choses d'une manière vivante, colorée, imagée et originale.
interj. Cri poussé par les sentinelles, pour reconnaître un isolé ou... qui-vive n.m. inv. Sur le qui-vive, sur ses gardes dans l'attente d'une attaque.
Le mot vacances au pluriel désigne la période où on cesse les activités quotidiennes pour prendre une pause. Dans ce cas, l'orthographe « bonnes vacances » est alors employée quand on souhaite à quelqu'un de passer une agréable période de pause ou congé.
Le nombre (singulier/pluriel) de l'attribut n'importe pas. Dans le premier cas, « les vacances » est « complément du présentatif » ; et « c'est » équivaut à « ceci est ». Dans le second cas, « les vacances » est « attribut du sujet neutre » ; et « c'est » équivaut à « il est », « il y a ».
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
a = a est le verbe avoir conjugué à la troisième personne de singulier. Donc, voici un truc si vous pouvez remplacer -a- par -avait- dans votre phrase et que la phrase conserve son sens et bien c'est ce type de a qu'il faut. à = à est pour montrer quelque chose comme par exemple : Je vais à la montagne.
"Ou" (sans accent) est conjonction de coordination. Il ne faut pas le confondre avec "où" (avec accent) qui est adverbe ou pronom. On écrit toujours "ou" (sans accent) quand il peut être remplacé par "ou bien".
Étymologie. Du moyen breton mam.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.