On (n')a qu'une vie.
En effet, le n' sert à indiquer la négation, comme pour les autres personnes de la conjugaison. Si la phrase est affirmative, il ne faut donc pas mettre de n'. On a le temps d'aller se promener avant le dîner. Si la phrase est négative, il faut mettre le n'.
Quand on n' précède un verbe, il y a toujours une deuxième négation qui suit (rien, pas, jamais...) ou que pour exprimer une restriction (ne...que). Quand le pronom indéfini on se trouve devant un verbe qui commence par une voyelle, remplace-le par le pronom il pour savoir si tu dois écrire la négation n'.
Il est aussi préférable de dire lorsque l'on. On le lit 78 fois dans le Trésor de la langue française alors que lorsqu'on n'y figure pas. » Si on est suivi d'une voyelle, on préfèrera que l'on : Je viens d'apprendre que l'on avait cambriolé la pharmacie.
a) Quand on est suivi d'un mot commençant par l, pour éviter une allitération (répétition d'une même consonne). On se cultive quand l'on lit beaucoup. On se cultive quand on lit beaucoup. Cela demeure vrai dans les cas présentant un hiatus.
Pronom indéfini
Ce “on” est très souvent utilisé dans les proverbes ou maximes. Pour vérifier qu'il s'agit d'un pronom indéfini, remplacez “on” par “quelqu'un”, “tout le monde” ou “l'homme”.
C'est donc un pronom clitique d'un type spécial, qui déclenche des accords de troisième personne du singulier (on vient), mais qui a comme forme d'emphase une personne nous, réputée « première personne du pluriel » (nous venons).
Pas de doute, on écrit toujours « qu'il ait » ou « qu'elle ait ». La forme conjuguée du verbe avoir « aie » existe, mais correspond ou bien au mode subjonctif à la première personne du singulier du subjonctif (« que j'aie »), ou bien au mode impératif à la deuxième personne du singulier (« aie ! »).
Le pronom on vient du nom latin homo « homme ». Étant à l'origine un nom, on l'employait avec le déterminant défini l' (forme élidée de le). L'on avait déjà un sens indéfini et signifiait « l'homme en général, les hommes ».
On écrit sans t le pronom indéfini on. Il occupe toujours la place de sujet. Si on vous en parle, faites-le moi savoir. On peut s'assurer que l'on a affaire au pronom quand on peut le remplacer par un autre pronom.
Il suffit de remplacer votre conjugaison aux personnes du singulier par "nous" pour entre "ons" (futur) ou "ions". Si en remplaçant par nous "ions" sonne bien alors utilisez le conditionnel. Je mangerai du chocolat demain soir (on ne peut pas dire "nous mangerions du chocolat demain soir").
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée. Les journalistes l'utilisent souvent.
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
On n'en a pas. On n'y va pas. CombineRemplacez on par je pour bien entendre le n' : On n'a pas de chance → je n'ai pas de chance → on entend le n → on n'a.
Qu'en penses-tu? => Que penses-tu de cela? On écrit quant lorsqu'on peut le remplacer par en ce qui me concerne. Quant à moi, je reste là !
Donc dans "on est bien", on n'ajoute pas de N' après on. En revanche, “Elle n'est pas bien”, on entend le son N, donc en écrivant “on n'est pas bien”, il ne faudra pas oublier le n'.
Étymologiquement, nous l'avons vu, « on » est masculin singulier. Le participe passé du verbe dont il est sujet s'accorde donc au masculin singulier. Ainsi, le talk-show de Laurent Ruquier diffusé tous les samedis soir sur France 2 s'intitule On n'est pas couché.
L'Académie précise par ailleurs, qu'il est préférable, selon le bon usage, d'éviter le redoublement du pronom, à l'oral, comme à l'écrit. On dira ainsi «nous sommes arrivés ou on est arrivés à l'heure» plutôt que «nous, on est arrivés à l'heure».
On personnel
Quand on a la valeur d'un pronom personnel (on représente des personnes particulières, il peut être remplacé par je, tu, nous, vous), les accords peuvent se faire au masculin ou au féminin et au singulier ou au pluriel selon le genre et le nombre des personnes désignées par on.
Le subjonctif passé est utilisé pour exprimer l'antériorité c'est-à-dire pour parler d'une action qui se passe avant une autre. Paul est triste que Julie soit partie.
Les terminaisons du subjonctif présent
Au présent du subjonctif, tous les verbes (sauf avoir et être) ont les mêmes terminaisons : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Voie, avec un "e" à la fin. Eh oui ! Écrire voit, avec un "t" final, revient à conjuguer le verbe au présent de l'indicatif. Pour ne plus vous tromper, remplacez le verbe par un autre dont la forme diffère, à l'oreille, entre l'indicatif et le subjonctif.
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable, exprimant l'idée d'animé humain et fonctionnant toujours comme sujet. Il est dérivé du latin homo, homme. On a employé autrefois, dans un sens absolu et indéterminé, les formes hom, hum, hons, um, om, on, etc.
Règle. L'accord du verbe conjugué avec le pronom on comme sujet se fait toujours à la 3e personne du singulier. Le pronom on a la même valeur qu'un il, il commande donc un accord à la 3e personne du singulier. On en parle, mais on n'en sait pas plus.