Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Pour résumer voici quelques alternatives à la punition :
comprendre sa colère, être empathique et lui proposer une alternative pour l'exprimer. L'inciter à chercher des solutions pour régler un conflit. Verbaliser les émotions qu'il traverse. Utiliser les conséquences logiques pour réagir à un comportement ou une ...
En rendant un service. Permettre à l'enfant de faire amende honorable en payant sa dette peut s'avérer intelligent... Par exemple, en lui faisant accomplir une tâche qui lui demandera un effort physique : tondre la pelouse, faire la vaisselle, nettoyer les vitres, passer l'aspirateur, etc.
Se centrer sur l'enfant et ce qui se passe en lui
Quand on se met à leur place, qu'on prend conscience de ce qui se passe en eux, de leurs propres besoins non satisfaits, on peut mieux comprendre leur comportement et y apporter une réponse adéquate.
La punition est improductive sur le long terme
À cause du sentiment de rébellion qu'elle entraîne, la punition peut créer du ressentiment de l'enfant pour l'adulte. Elle peut également altérer sur le long terme la confiance en lui de l'enfant, se sentant incompris.
Le punir ne fera que renforcer son mauvais comportement, et là encore, on entre dans un cercle vicieux ! Si au contraire on écoute et on reconnaît sa souffrance, qu'on lui redonne confiance, qu'on reconnaît sa part de responsabilité dans la situation, alors son comportement pourra s'améliorer de manière durable…
Pour avoir de l'autorité auprès de ses collègues, il doit donner du sens à leurs travaux. Pourquoi et comment, demandez-vous ? En donnant du sens au travail de chacun, il a la possibilité de les motiver. La bonne manière de s'y prendre, c'est de relier chaque tâche à un grand projet ou une grande œuvre.
La bonne punition est celle que le parent peut soutenir car il la sent juste, adaptée à l'âge de l'enfant et à l'importance de sa transgression. L'enfant, même s'il proteste, la ressent toujours justifiée. Les parents se reprochent souvent leur énervement. Ce n'est pas grave.
Au lieu de dire « tu es agressif », vous pouvez essayer de dire quelque chose comme « je me sens blessée quand tu me parles comme ça ». Il n'y a pas de mal à dire de temps en temps clairement ce que vous ressentez.
Le but de la punition n'est pas de rétablir un équilibre, une égalité ou un ordre juste, mais de réactiver une autorité, que ce soit celle du roi, celle des lois ou même celle des parents. La punition est alors nécessaire, non pas pour rendre justice mais dans la constitution d'une relation d'autorité.
Seconde règle : la sanction doit être proportionnelle à la faute. Pour une petite bêtise, priver l'enfant de sa console de jeu pour un après-midi est bien suffisant par exemple.
Elles ont des répercussions néfastes sur le cerveau des enfants, et altèrent le fonctionnement des circuits qui participent à la compréhension du langage. Ces atteintes peuvent être à l'origine de somatisations, de dépressions, ou encore de troubles anxieux à l'âge adulte.
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
En France aujourd'hui, frapper un adulte, c'est puni par la loi, frapper un animal, c'est de la torture, mais frapper son enfant au sein de son foyer, ça serait de l'éducation. C'est tout sauf de l'éducation. Les enfants ne doivent pas recevoir de coups, quels qu'ils soient.
Quelle punition donner à un enfant ? Pour Didier Pleux, " la sanction la plus judicieuse est celle qui a un lien avec le passage à l'acte. " Autrement dit, priver un enfant de télévision parce qu'il a mal parlé à sa sœur n'a aucun sens !
Pas avant 1 an et demi ou 2 ans. Avant cet âge, un tout-petit ne fait pas de bêtises consciemment donc le punir n'a pas de sens. Il faut lui laisser le temps de prendre conscience qu'il est un individu à part entière ce qui arrive vers18 mois avec la période du non. C'est le moment de poser des limites.
Un exemple de renforcement positif serait de féliciter un enfant chaque fois qu'il prend son petit déjeuner. Un exemple de renforcement négatif serait de lui enlever les tâches qu'il n'aime pas chaque fois qu'il finit ses devoirs. Répétés dans le temps, la probabilité d'obtenir les comportements souhaités augmente.
La définition du renforcement négatif est la suivante : l'apparition d'un comportement est immédiatement suivie par le retrait d'un stimulus ou d'un événement désagréable, aversif, ce qui augmente la probabilité d'apparition du comportement.