Voici quelques comportements à bannir dès que vous franchissez le sol canadien. Première règle à respecter : évitez de fumer ou de boire de l'alcool dans un lieu public comme dans la rue, à la terrasse d'un restaurant ou d'un café ou encore dans un parc.
Beer, Cidre, du vin, fromage, bougies.. the list goes on. Cela peut ne pas être vrai pour les Canadiens seulement, mais vous remarquerez bientôt que il n'y a rien de mieux que d'acheter local et artisanal(et) des choses! tasse à café blanche sur une table, tasse à café blanche sur une table, Montreal, et Vancouver.
Exclamation d'étonnement, de surprise ou aussi de mécontentement.
On peut « être en tabarnak, en ostie, en criss ou en calice ». Dans tous les cas, on est en colère, en furie. On dit qu'on est en tabarnak après quelqu'un lorsqu'on est en colère contre quelqu'un.
Pour ne pas faire mauvaise impression, ne parlez pas fort dans les lieux publics si un sujet ou un service vous tracasse. Il ne faut pas non plus cracher ou fumer en public ou jeter des déchets au sol. Les Canadiens sont très respectueux de l'environnement. Ces faits, ils les prennent comme des insultes.
Comportement. Les canadiens sont fiers de leur identité propre, de leur culture et n'aiment pas être confondus avec les américains. Au Canada, les rapports entre les gens sont souvent moins formels que chez nous et plus décontractés.
Les Québécois supportent peu les incursions dans leur intimité, et il est mal vu de leur poser des questions personnelles (par exemple « où avez-vous acheté votre casserole ? »), car ce qui est pour nous un signe de politesse leur paraît le début de la drague ou d'une psychanalyse.
En gros, les Québécois trouvent les hommes français simultanément machos, galants, romantiques et volages. Ils ont moins d'idées préconçues sur les Françaises, sauf qu'ils sont déçus qu'elles ne ressemblent pas plus à Amélie Poulain.
“Les Québécois s'expriment en français mais sont davantage liés à la culture anglo-saxonne. Considérez que vous êtes chez des Britanniques qui s'expriment en français ! Au point même que certains Québécois se sentent plus chez eux à Londres qu'à Paris. Cela peut sembler paradoxal, et pourtant…”.
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
Allo ! = salut, hello !
Un schmoutz, par exemple, désigne un «bisou» alsacien, un «bec» canadien.
Le revenu mensuel moyen par habitant au Canada s'élève à 3 872 $, soit 46 460 $ par habitant et par an.
2/ Tout est trop loin et voyager coûte cher !
Mine de rien, les distances en Amérique du Nord n'ont rien de comparable avec l'Europe, pour se rendre à la « grande » ville la plus proche depuis Montréal, c'est à dire Ottawa ou Québec, ça prend quand même un bon 2.5 / 3 heures de voiture.
Réveillon avec ma tr... Pour l'ensemble des dépenses, les Canadiens peuvent compter sur un salaire brut moyen de 4 248 dollar canadien par mois et par habitant. On estime ainsi leur revenu annuel brut à 50 970 dollar. Ce nombre n'a eu de cesse d'augmenter ces dernières années.
La négociation est plus directe : À Montréal ou au Québec, votre interlocuteur aura tendance à vouloir savoir exactement en quoi travailler avec vous lui offre un avantage. Il vous demandera une présentation courte, directe et précise, avant de vraiment briser la glace et sympathiser.
Nature et grands espaces: la qualité de vie au Québec est aussi dans la géographie. Fidèles à leurs ancêtres les coureurs des bois, les Québécois ont un rapport particulier avec l'espace et la nature. L'immensité des paysages est impressionnante pour beaucoup de nouveaux arrivants en provenance d'Europe.
Les canadiens sont très attachés à leurs traditions. L'une des traditions canadiennes les plus connues est « la tire ». Après chaque hiver, le sirop d'érable, symbole du pays, est récupéré et chauffé. Au bout de quelques instants, il est étalé dans de la neige et récupéré figé en filaments ou sur un petit bâtonnet.
Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
L'originalité linguistique du sacre au Québec
En troisième lieu, il faut signaler la multiplication des euphémismes. En effet, à partir d'une quinzaine de mots religieux (dont les principaux sont : Christ, Vierge, hostie, calice, tabernacle, ciboire, calvaire, sacrement, baptême), plus de 2000 mots ont été recensés.