Craniotomie. La craniotomie est une chirurgie au cours de laquelle on ouvre le crâne pour enlever une tumeur au cerveau. Le but de l'opération est d'enlever la plus grande partie possible de la tumeur sans détruire de tissu cérébral important ou affecter les fonctions cérébrales.
Une intervention neurochirurgicale peut avoir différents effets secondaires : Des effets liés à l'anesthésie générale : fatigue, difficultés pour parler ou respirer ; Des complications communes à toute intervention chirurgicale : infection de la zone opérée, hématome dans la zone opérée ou entre les méninges.
Lorsque la tumeur cérébrale se situe dans une zone accessible du cerveau, il est possible de pratiquer une intervention chirurgicale. Le but de l'opération est alors de retirer le plus de tissus cancéreux possibles sans toucher le cerveau sain.
La survie médiane sans évolution de ce cancer est d'environ 12,8 mois s'il a été traité par chimiothérapie seulement et elle peut aller jusqu'à 5 ans si on a associé une chimiothérapie à une radiothérapie. La survie médiane varie de 7 à 24 semaines. La survie varie selon l'emplacement de la tumeur primitive.
Le neurochirurgien incise le cuir chevelu après un repérage précis par neuronavigation, le plus souvent sans raser les cheveux. Il découpe une partie de l'os du crâne (volet osseux). L'incision des méninges qui enveloppent le cerveau permet l'accès à la tumeur. L'intervention se fait le plus souvent sous microscope.
On peut employer la chimiothérapie ou la radiothérapie, ou les deux, comme traitement néoadjuvant pour réduire la taille d'une tumeur et la rendre plus facile à enlever lors de la chirurgie. Un traitement adjuvant est un traitement administré après la chirurgie.
Ainsi, elles subissent donc une ablation afin d'être examinées précisément au cours d'un examen au microscope. Si la tumeur est jugée dangereuse, elle sera retirée par exérèse par le chirurgien plasticien. Les tumeurs malignes : ces tumeurs sont qualifiées de cancer de la peau et nécessitent une prise en charge rapide.
L'âge. Bien que les tumeurs cérébrales peuvent survenir à tout âge, les risques augmentent en vieillissant. La majorité des tumeurs sont diagnostiquées chez des personnes de plus de 45 ans. Toutefois, certains types de tumeurs toutefois, comme les médulloblastomes, surviennent presque exclusivement chez les enfants.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer (NCI, 2012). Seule une association avec l'augmentation du risque de maladies cardiovasculaires a été mise en évidence (Kivimäki, 2012).
Le glioblastome est la tumeur la plus agressive de la famille des gliomes. Elle est également appelée Gliome de stade IV.
Le rôle de l'environnement
Ce sont des substances utilisées dans la production de carburants et de produits dérivés du pétrole, ou dans la fabrication des plastiques et des caoutchoucs synthétiques. De plus, la manipulation de certains pesticides ou de substances radioactives semble également être un facteur de risque.
La maladie d'Alzheimer.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
"Si cette personne a trois tumeurs au cerveau, il peut s'agir de métastases. Et s'il s'agit de trois métastases dans le cerveau, on considère qu'il n'est pas très utile d'en enlever une pour en laisser deux… Et la chimiothérapie ne passe pas très bien dans le cerveau mais on a surtout recours à la radiothérapie.
Tumeur bénigne: Une tumeur non maligne ou non cancéreuse. Elle est généralement localisée, s'étend rarement aux autres parties du corps et peut souvent être traitée uniquement par une chirurgie.
Le Pr Dominique Marananchi rappelle que les cancers diagnostiqués lors d'un dépistage sont ceux qui se guérissent le mieux. Les cancers de la prostate, du sein, du testicule, de la thyroïde, et le mélanome ont le meilleur pronostic. La survie à cinq ans est supérieure ou égale à 80%.
Le mot "tumeur" est un terme générique correspondant au développement d'un tissu nouvellement formé au sein d'un tissu normal. La tumeur est provoquée par le dysfonctionnement du développement cellulaire.
Le développement d'une tumeur du cerveau entraîne parfois des maux de tête, qui apparaissent plutôt le matin au réveil et s'accompagnent souvent de nausées, voire de vomissements.
Une tumeur cérébrale est une croissance cellulaire dans le cerveau, qui peut être de nature bénigne (non cancéreuse) ou maligne (cancéreuse). Elle peut être d'origine cérébrale ou avoir envahi le cerveau après s'être développée dans une autre région de l'organisme (métastase).
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Les agents chimiothérapeutiques les plus souvent employés pour traiter les tumeurs au cerveau et à la moelle épinière sont les suivants : témozolomide (Temodal) carmustine. lomustine (CeeNU, CCNU)