Par exemple, les connecteurs de liste, “premièrement, deuxièmement, ensuite, quatrièmement, et finalement” peuvent servir à énumérer aussi bien les points de l'ordre du jour qu'une succession d'arguments. L'effet de liste peut être lui-même argumentatif.
Voici quelques mots qui peuvent m'aider : Pour introduire le premier argument : Tout d'abord - En premier lieu - Pour commencer... Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps...
Un argument est une preuve avancée par l'auteur pour montrer la validité de sa thèse. Les plus courants sont l'argument logique, l'argument d'expérience, l'argument de valeur, l'argument d'autorité et l'argument ad hominem.
Nous pouvons donc dire que lorsqu'une opinion repose sur des prémisses, elle devient la conclusion d'un argument. « Pierre est un grand joueur d'échec. De plus, c'est un très bon chercheur. Donc Pierre est intelligent” constitue un argument.
L'intention affirmée de l'auteur
Dans les cas les plus simples, l'auteur affirme d'une manière ou d'une autre qu'il a l'intention de persuader son public, de soutenir une idée, ou au contraire de s'y opposer. Il est alors très probable que le texte contiendra des arguments.
Selon Adam (1992), le schéma argumentatif intègre des macro-propositions constituant une thèse première et ses arguments ainsi qu'une chaîne d'arguments contradictoires et une conclusion ou nouvelle thèse.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, d'abord, ensuite, enfin, d'une part, d'autre part, non seulement, mais encore ... Permet d'ajouter un argument ou un exemple aux précédents. de même, de la même manière, ainsi que, comme ...
Elle doit amener le sujet, l'analyser et le problématiser. Elle peut en outre annoncer le plan ou du moins les lignes directrices de la réflexion à venir et énoncer les enjeux du sujet. Ainsi l'introduction ne saurait être élaborée qu'après un important travail de réflexion (fait au brouillon).
ENUMERATION : D'abord , En premier lieu, Enfin, Ensuite ADDITION : Aussi, De même, De plus, Encore , Et, Egalement LIAISON / RESUME : Bref, D'ailleurs, Donc , Ensuite, En somme, En outre , Or, Par ailleurs, Puis EXPLICATION : Car, C'est-à-dire , En effet, Effectivement, Étant donné que, Puisque ILLUSTRATION / ...
Introduire une idée ou une information nouvelle et de même que, sans compter que, ainsi que ensuite, voire, d'ailleurs, encore, de plus, quant à, non seulement… mais encore, de surcroît, en outre... bien que, quoique, tandis que, alors que, même si...
Exemple : « personnellement », « en ce qui me concerne », « pour ma part », « quant à moi », « selon moi », etc.
Il s'agit de rédiger dans une langue correcte, un texte argumentatif de 20 à 30 lignes à partir du sujet proposé. La consigne est : étayez ou réfutez. La production comporte trois parties : ➢ L'introduction ; ➢ Le développement ; ➢ La conclusion.
Un paragraphe argumentatif se propose toujours d'offrir une thèse dont il s'agit de démontrer et d'éprouver la justesse. Ce paragraphe, on le verra, servira de fondement pour élaborer aussi bien une sous-partie qu'une partie entière de n'importe quel développement qu'il s'agisse là du commentaire ou de la dissertation.
Avant de débattre une question, il faut tout d'abord développer un bon argument. Un bon argument dépend de la logique, la persuasion et des évidences. Comprend des statistiques, des graphiques, des images, des tableaux, des citations et des faits qui appuient la position.
Une argumentation est jugée bonne ou mauvaise selon que les prémisses sont acceptables (logiquement ou consensuellement) et qu'elles sont jugées suffisantes pour soutenir la conclusion.
La structure d'une interaction ou d'un texte argumentatif correspond à l'ordonnancement des informations, des arguments, des concessions et des réfutations dans un événement discursif particulier.
L'exemple permet d'illustrer une thèse ou un argument d'une thèse. À l'inverse de l'argument qui a une portée générale, l'exemple expose toujours un cas particulier. L'exemple vient illustrer la pertinence de l'argument à travers un cas concret, dans une application vérifiable.
II Le champ de l'argumentation :
Argumenter c'est raisonner, proposer une opinion à d'autres en leur donnant de bonnes raisons d'y adhérer, Argumenter n'est pas convaincre à tout prix, ce qui suppose une rupture avec la manipulation au sens où celle-ci n'est pas regardante sur les moyens de persuader.
Une bonne accroche doit introduire non seulement le sujet, mais aussi le problème soulevé par ce sujet. Elle peut suggérer une première réponse au sujet : soit sous forme d'un exemple pouvant être réfuté immédiatement en émettant un doute, soit en utilisant une citation pertinente liée au sujet.