Par exemple, les connecteurs de liste, “premièrement, deuxièmement, ensuite, quatrièmement, et finalement” peuvent servir à énumérer aussi bien les points de l'ordre du jour qu'une succession d'arguments. L'effet de liste peut être lui-même argumentatif.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
Pour affirmer que l'on est bien en présence d'un argument, il importe donc... de montrer celui-ci : montrer ses prémisses, sa conclusion et le raisonnement qui les relie. Et pour mener l'enquête qui conduit à identifier un argument, nous suivrons en grande partie la procédure proposée par (Johnson & Blair, 2006: 11).
et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, d'abord, ensuite, enfin, d'une part, d'autre part, non seulement, mais encore ... Permet d'ajouter un argument ou un exemple aux précédents. de même, de la même manière, ainsi que, comme ...
ENUMERATION : D'abord , En premier lieu, Enfin, Ensuite ADDITION : Aussi, De même, De plus, Encore , Et, Egalement LIAISON / RESUME : Bref, D'ailleurs, Donc , Ensuite, En somme, En outre , Or, Par ailleurs, Puis EXPLICATION : Car, C'est-à-dire , En effet, Effectivement, Étant donné que, Puisque ILLUSTRATION / ...
Les plus courants sont l'argument logique, l'argument d'expérience, l'argument de valeur, l'argument d'autorité et l'argument ad hominem.
Les connecteurs argumentatifs montrent la logique d'un raisonnement en reliant ou en opposant des idées.
Nous pouvons donc dire que lorsqu'une opinion repose sur des prémisses, elle devient la conclusion d'un argument. « Pierre est un grand joueur d'échec. De plus, c'est un très bon chercheur. Donc Pierre est intelligent” constitue un argument.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
1. Une introduction : elle consiste en quelques phrases dans lesquelles vous commencez par donner le contexte du sujet puis vous l'introduisez, la plupart du temps sous la forme interrogative. 2. Vous rédigez ensuite le développement en suivant un plan qui montre que vous savez classer vos idées.
Une phrase introductrice exprime clairement l'opinion soutenue. Elle peut être introduite par une expression affirmant l'opinion, par exemple : « selon moi, à mon avis, il me semble évident que… ».
Introduire une idée ou une information nouvelle et de même que, sans compter que, ainsi que ensuite, voire, d'ailleurs, encore, de plus, quant à, non seulement… mais encore, de surcroît, en outre... bien que, quoique, tandis que, alors que, même si...
Pour être irréfutable, un bon argument sera fondé sur des faits indiscutables, des cas concrets, des expériences précises, des données chiffrées. Et surtout, tel un lapin, il ne sortira pas du chapeau. Pas de tour de prestidigitation, rien que du rationnel conduisant votre interlocuteur à la conclusion souhaitée !
– Pour présenter, soutenir ou nuancer son point de vue : « à mon avis », « d'après moi », « j'adhère à l'idée que ». – Pour exprimer sa distance avec ce point de vue : « peut-être », « il semble », « sans doute ».
Qu'est ce qu'un schéma argumentatif en français ? C'est une forme de discours qui vise à convaincre, à persuader, à prouver.
Il s'agit de rédiger dans une langue correcte, un texte argumentatif de 20 à 30 lignes à partir du sujet proposé. La consigne est : étayez ou réfutez. La production comporte trois parties : ➢ L'introduction ; ➢ Le développement ; ➢ La conclusion.
Pour rédiger un paragraphe argumenté, il suffit d'abord de bien lire le sujet, de faire un brouillon, de trouver un plan cohérent, et d'associer des exemples à ses idées pour les justifier. Après cela, on peut passer à la rédaction d'une introduction et d'une conclusion, puis, à la rédaction finale, au propre.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
- Les arguments : ce sont les idées qui prouvent la validité de la thèse soutenue et qui doivent convaincre le destinataire. - Les exemples : ce sont des faits concrets qui illustrent les arguments et permettent de mieux les comprendre. Ils permettent ainsi de mieux convaincre le destinataire.
Règle générale, chacun des éléments commence par la minuscule et se termine par le point-virgule (sauf le dernier, qui prend le point final), quelles que soient sa longueur et sa ponctuation interne — autrement dit, même s'il contient déjà un point.
Chaque élément commence par un mot de même catégorie grammaticale (nom, verbe, déterminant, etc.) et par une minuscule pour suivre la structure normale de la phrase, sauf exception (noms propres, titres d'œuvres, éléments d'une énumération longue, etc.).
On peut repérer une énumération en relevant au moins trois mots, expressions ou groupes de mots qui ont la même catégorie grammaticale ou la même fonction syntaxique dans une même phrase, un même vers ou une même strophe. Ces éléments y sont la plupart du temps juxtaposés ou coordonnés.