Les oestrogènes sont des hormones féminines qui agissent sur beaucoup de tissus de l'organisme féminin. La principale hormone féminine avant la ménopause est l'estradiol qui est produit essentiellement par les ovaires. Les ovaires, au nombre de deux, sont des glandes qui sont situées dans le bassin près de l'utérus.
L'œstrogène est une hormone naturelle, sécrétée par l'ovaire, assurant la formation, le maintien et le fonctionnement des organes génitaux et des seins chez la femme.
Les oestrogènes (dont la forme la plus active est l'œstradiol) et la progestérone sont les deux principales hormones stéroïdes. Elles sont synthétisées pendant la phase folliculaire à partir du cholestérol par les cellules de la thèque interne et les cellules de la granulosa de l'ovaire.
Une prise de poids et l'augmentation des cellules graisseuses (notamment au niveau du ventre et des cuisses)
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
Mais la ménopause n'est pas la seule raison pour laquelle une femme peut avoir un faible taux d'œstrogènes. D'autres causes potentielles de déséquilibre incluent : le syndrome des ovaires polykystiques, l'allaitement, une ablation ovarienne, l'anorexie, et l'exercice intense.
Les carottes. Leur consommation régulière permettrait de réduire le taux d'œstrogène circulant dans le sang. Ce sont les fibres présentes dans les carottes qui se lient aux hormones non utilisés pour qu'ils soient évacués de l'organisme.
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Les œstrogènes sont sécrétés par les ovaires au cours du cycle. "Après les règles, le taux d'œstrogènes commence à augmenter pour épaissir la muqueuse utérine et avant l'ovulation, il devient plus important parce qu'il va participer aussi à la formation de la glaire ovulatoire, rapporte la spécialiste.
Les œstrogènes sont des hormones sexuelles primaires appartenant à la catégorie des stéroïdes. Avec la progestérone naturelle, les œstrogènes sont les substances qui conditionnent le cycle reproductif de la femme.
Les hormones sont fabriquées dans de petits groupes de cellules spécialisées appelés îlots pancréatiques. Cette partie du pancréas qui fabrique des hormones est appelée pancréas endocrine.
Votre taux d'œstrogène est à son niveau le plus bas le premier jour de vos règles ; à partir de ce jour, il commence à augmenter au fur et à mesure du développement des follicules.
Ce qui aide à la ménopause
Œstrogène végétal: le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Le millepertuis: des études établissent l'effet antidépresseur du millepertuis, surtout sous forme d'extrait concentré.
Valeurs normales
Chez la femme pendant la phase folliculaire : entre 0,10 et 0,55 nmol/l, Chez la femme pendant l'ovulation : entre 0,35 et 2,20 nmol/l, Chez la femme ménopausée : entre 0,04 et 0,18 nmol/l. Chez la femme enceinte : de 24.5 à 110 nmol/l.
DHEA : l'hormone de jeunesse pour une belle peau.
Parmi les médicaments sur ordonnance qui peuvent aider à traiter les bouffées de chaleur, on retrouve l'hormonothérapie (œstrogène avec ou sans progestatif) sous forme de pilule, de timbre transdermique ou de gel cutané et la clonidine*.
Ces hormones jouent un rôle différent sur l'organisme et notamment sur les cheveux. Les hormones femelles ou œstrogènes participent à la croissance du cheveu en ralentissant sa pousse et en prolongeant la phase anagène. A l'inverse, les hormones mâles ou androgènes, eux, ont pour action d'accélérer le cycle pilaire.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Essentielle, cette dernière est à la base du développement des organes sexuels tels que les seins et les parties génitales. Son rôle est aussi primordial quant à la régulation du cycle menstruel, au désir sexuel, au métabolisme de régénérescence des os et à l'hydratation de la peau.
La ménopause et la prise de poids sont-elles liées ? Lors de la ménopause, les hormones féminines, les œstrogènes, ne sont plus produites alors que les hormones masculines, la testostérone, le sont toujours, à plus faible dose. Ce changement hormonal provoque une nouvelle répartition des graisses.