Sa production se répartissait en 2021 en 64,7 % d'énergies fossiles (32,0 % de gaz naturel, 29,6 % de charbon et 3,1 % de pétrole), 6,0 % de nucléaire (contre 24,6 % en 2010), 20,4 % d'énergies renouvelables (7,6 % hydraulique, 8,5 % solaire, 3,2 % biomasse et déchets, 0,8 % éolien, 0,3 % géothermie) et 9 % de déchets ...
Elles sont réchauffées par un système, que l'on appelle le kotatsu. Le Kotatsu étant une sorte de table de bois sur lequel on peut trouver une couverture ou un futon. Celui-ci sera chauffé par du charbon ou un chauffage électrique posé en dessous du support en bois.
Gazprom, société d'État russe, a une participation de 50 % plus une action dans le projet Sakhaline 2, Shell (Grande-Bretagne) participant pour 27,5 % moins une action, alors que Mitsui & Co., et Mitsubishi Corporation détiennent respectivement 12,5 % et 10 % des parts. Environ 60 % du GNL produit est fourni au Japon.
Le charbon toujours dominant
65% La part du charbon dans la production électrique de la Chine. Le grand bond économique chinois s'est appuyé sur une source d'énergie dont le pays dispose en grandes quantités, à savoir le charbon.
La production d'électricité est assurée par les centrales nucléaires en grande majorité, ainsi que par les énergies fossiles (charbon, gaz, fioul) et, de plus en plus, par les énergies renouvelables (solaire, éolien, bioénergies).
La Chine et les États-Unis sont les deux pays qui produisent le plus d'électricité d'origine renouvelable en volume dans le monde, avec respectivement 949,2 et 536,9 TWh en 2012.
Sur les trois premiers mois de l'année, 47,1 % de l'électricité en Allemagne a été produite à partir de l'énergie éolienne, solaire ou bien encore hydraulique. Une part en hausse de près de 7 points par rapport au début de l'année 2021. Dans ce total, c'est l'éolien qui tire son épingle du jeu.
2Avec une production de 3,3 millions de barils par jour (BPJ) et une consommation de 5,45 millions de BPJ, la Chine est aujourd'hui le sixième producteur et le deuxième consommateur de pétrole dans le monde.
La Chine est déjà reliée par gazoduc au Turkménistan, au Kazakhstan et à la Birmanie. Elle importe aussi massivement du gaz sous forme liquéfiée (GNL) d'Australie, d'Indonésie, du Qatar et… des Etats-Unis.
Rang 1 : Russie
Plus de 94% de la production de gaz naturel en Russie est contrôlée par Gazprom, une société appartenant au gouvernement russe.
Les principales réserves de gaz naturel
Le pays affichant la réserve la plus importante est la Russie, avec une moyenne de 37,4 milliers de milliards de m3.
Dans le cadre des objectifs énergétiques et climatiques de la France, la consommation d'hydrocarbures a vocation à baisser. La France souhaite également mettre fin progressivement à l'exploration et à l'exploitation des hydrocarbures sur son territoire.
Comme dans beaucoup d'autres pays, le Japon utilise les trois types d'essence suivants : l'essence ordinaire, le super et le gazole.
Une fois transformé en carburant, le pétrole russe pourra être réexporté vers l'Europe, déjouant indirectement les sanctions qui frappent Moscou. En théorie, les Européens n'achèteront bientôt plus de pétrole produit en Russie.
“La Chine et l'Inde ne sont pas les seuls pays à acheter du pétrole russe”, commente Le Temps. La semaine dernière, l'Asie était encore la principale destination des exportations de brut russe, avec 50 % (1,71 million de barils), mais l'Europe en achetait 45 % (1,55 million de barils).
La Chine connaît une importante croissance de ses besoins énergétiques qui s'explique par sa croissance économique et par la modification du mode de vie des Chinois. Bien que ce pays soit l'un des plus grands producteurs mondiaux d'énergie, il ne cesse d'augmenter ses importations pour répondre à ses besoins.
Environ 90 pour cent du gaz consommé annuellement en Allemagne sont importés de la Russie, de la Norvège et des Pays Bas. Le gaz naturel arrive en Allemagne par des gazoducs et est ensuite injecté dans le réseau de transport, puis dans le réseau de distribution.
Les principaux producteurs d'électricité et leader du marché, sont EDF et Engie. A eux deux, ils constituent 95% de la production d'énergie du pays. EDF est le numéro 1 en terme de production d'énergie nucléaire et Engie, également producteur de gaz, domine dans le domaine des énergies renouvelables.
Selon RTE, le Réseau de transport d'électricité français, depuis janvier 2022, la France est majoritairement importatrice avec un solde négatif évalué à 1,5 TWh sur la période du 1er janvier au 31 mai 2022. L'année dernière sur cette même période, la France avait un solde exportateur positif de l'ordre de 15,3 TWh.
Le pays où le courant est le meilleur marché, c'est La Bulgarie (moins de 10 euros les 100 kilowatt heure), devant la Hongrie, Chypre ou Malte, principalement les pays d'Europe centrale et orientale. Si l'on tient compte du pouvoir d'achat, le prix de l'électricité le plus bas est en Finlande et aux Pays Bas.
Il révèle que les exportations nettes totales de la France se sont élevées à 21,5 TWh, la majeure partie de l'électricité étant destinée à l'Italie (7,5 TWh) et à la Grande-Bretagne (6 TWh). Les importations et exportations nettes d'électricité des pays européens.
75% de l'électricité française est produite par les centrales nucléaires. 15% provient des énergies renouvelables, dont 90% d'énergies non fossiles et non émettrices de CO2. Enfin, 10% représente l'énergie thermique (charbon, gaz, fioul) émettrice de CO2.
Pourtant, l'Afrique ne manque pas d'atouts énergétiques. La première source d'électricité est de loin le charbon, qui fournit 65% de la production électrique d'Afrique subsaharienne, suivie de l'hydroélectricité (21%), et loin derrière, du pétrole, du gaz et du nucléaire (environ 4% chacun).
De la même manière, l'Angola, l'Afghanistan, le Burundi, le Cambodge, l'Ethiopie, la Guinée, Haïti, le Libéria, Madagascar, le Népal, l'Ouganda, le Rwanda, la Somalie, ou encore le Togo sont les Etats qui consomment le moins d'énergie par habitant.