Pour les Grecs (de Grèce vivant au Liban), qui utilisèrent les premiers le nom de Phénicie, le territoire s'étendait sur la zone côtière comprise entre le mont Casius au nord et Haïfa au sud.
Dans l'Antiquité, le Liban, pays du Proche-Orient tourné vers la mer, s'appelait la Phénicie. Ses habitants étaient de très habiles commerçants et aussi des marins, fondateurs de grands ports comme celui de Tyr.
Le Liban (en arabe : لبنان / lubnān), en forme longue la République libanaise (en arabe : الجمهورية اللبنانية / al-jumhūriyya al-lubnāniyya), est un État du Proche-Orient.
Bien que le Liban ait obtenu, officiellement, son indépendance de la France, il y a de cela 77 ans, il n'en demeure pas moins que le pays du cèdre souffre, toujours, de tiraillements générés par cette époque, s'agissant de scissions et de divisions sectaires et confessionnelles, dans un pays qui est victime, depuis ...
Beyrouth, mille fois détruite, mille fois construite, renaît toujours de ses cendres, de ses décombres, malgré les guerres, les attentats et les incendies, et pour cette raison on lui a attribué le surnom de « La ville qui ne meurt pas ».
-C., Beyrouth se développe surtout à partir de l'époque séleucide. Nommée Berytus après la conquête romaine à l'époque d'Auguste, elle devient un centre commercial et culturel célèbre pour son école de droit au iiie siècle.
Le nom du Liban (en arabe Loubnân) vient d'un mot araméen signifiant «la montagne Blanche», c'est-à-dire celui de sa chaîne de montagnes toujours enneigées: les monts Liban, désignés aussi par l'expression la Montagne. La capitale, Beyrouth, compte plus d'un million d'habitants.
Même si le Liban a connu temporairement, pendant des périodes de domination, des peuplements minoritaires européens ou ottomans, tous les Libanais sont arabes, à l'exception des Libanais arméniens ayant réussi à fuir le génocide turc. Enfin, Le Liban est un pays très homogène sur le plan linguistique.
Les musulmans du Liban représentent plus de la moitié de la population du pays. C'est le pays du Proche et Moyen-Orient où ils constituent la proportion la moins importante après l'État d'Israël. Les musulmans représenteraient 54 % de la population totale du Liban, où 40,5 % sont chrétiens et 5,5 % druzes.
La France soutient la stabilité, l'unité, l'indépendance et la souveraineté du Liban. La France est particulièrement attentive au renforcement des institutions de l'État libanais afin d'assoir l'autorité de celui-ci sur l'ensemble du territoire libanais.
Les débuts de la République libanaise
Le premier haut commissaire du gouvernement français chargé de l'exécution de ce mandat est le général Gouraud qui proclame la création de l'état du "Grand Liban" le 1er septembre 1920 .
Le Liban "est colonisé par l'Iran à travers le Hezbollah", selon un politologue. Il y a un an, plus de 200 Libanais étaient tués dans les violentes explosions du port de Beyrouth. Depuis, le pays traverse une crise politique sans précédent et n'a plus de gouvernement.
Continue reading, les femmes libanaises sont connues pour leur beauté, leur coquetterie et leur apparente liberté. Au Moyen-Orient, l'image du Liban est celle d'un pays aux nombreux contrastes, où les minijupes et les voiles se côtoient sur la Corniche de Beyrouth.
Le Liban est né officiellement en 1920 et est devenu indépendant en 1943. C'est en 1919, dans la négociation des traités de paix, que s'est joué son sort.
La langue arabe levantine est partagée entre les Libanais, les Syriens, les Palestiniens, les Druzes, les Alawites et les Juifs. L'arabe classique, ou littéraire, appelé aussi l'arabe moderne standard, demeure la langue officielle du Liban dans la constitution libanaise et dans les textes de loi du Liban.
Le 28 avril 1920, la France est officiellement investie par la Société des Nations d'un « mandat pour la Syrie et le Liban » (en fait un protectorat). Elle va transformer ces anciennes provinces ottomanes en deux Républiques laïques... non sans officialiser le communautarisme religieux.
1La population du Liban se partage entre deux grandes communautés : chrétienne (maronites, grecs orthodoxes, grecs catholiques, protestants, syriaques, jacobites...) et musulmane (sunnites, shî'ites et druzes2). Les habitants historiques de la montagne sont les druzes, les maronites et les shî'ites.
Première langue « étrangère » en usage au Liban, le français est à la fois langue de culture, d'enseignement et de communication. 45 % de la population libanaise est entièrement ou partiellement francophone et 55 % des Libanais ignorent totalement cette langue.
L'arabe classique est la langue officielle du Liban, mais la langue la plus parlée dans le pays est l'arabe libanais, avec ses diverses influences. Dans le pays, 96% de la population parle arabe. Le français quant à lui, fut une langue officielle du Liban avant d'être effacée de la constitution.
Le Liban traverse une profonde crise sociale et humanitaire, amplifiée par l'explosion du 4 août 2020.
Le cèdre, symbole du Liban, est considéré comme un arbre sacré, il est mentionné dans les trois grandes religions monothéistes (Islam, judaïsme et christianisme).
La répartition géographique des Libanais se caractérise par une forte concentration dans l'agglomération parisienne et dans le sud-est de la France (carte 1), conformément à la répartition générale des étrangers.
D'abord, des différends sur la division des pouvoirs politiques opposent la majorité musulmane à la minorité chrétienne. Ensuite, la détérioration de l'économie accentue le sentiment d'inégalité qui alimente le radicalisme chez les musulmans.
Israël a « sécurisé » sa frontière nord, d'une part avec l'annexion du plateau du Golan, conquis en 1967, et d'autre part avec l'occupation du Liban sud jusqu'en mai 2000.
Les principales institutions du Liban furent créées et financées par la France jusqu'à l'indépendance du Liban en 1943. A la fin de la 1ere guerre mondiale, en 1920, la France et l'Angleterre se sont partagés les territoires du Moyen Orient qui appartenaient à l'Empire ottoman. La France a obtenu le Liban et la Syrie.