Essayez de courir 2 à 3 fois par semaine, à rythme modéré. Si vous n'avez pas l'habitude du jogging, commencez par des petites séances de 15 minutes et augmentez le temps progressivement jusqu'à arriver à 40 – 45 minutes.
Augmentez la durée de votre course de 5 à 10 minutes ou la distance parcourue d'un kilomètre toutes les semaines. Cela peut sembler peu, mais vous constaterez que votre endurance, votre cardio et votre force seront nettement améliorées au bout de quelques mois.
Selon le médecin, une à deux courses de 4 à 9 km par semaine seraient déjà bénéfiques pour la santé. Quant à la durée de ces exercices, inutile de s'astreindre à de longues sessions : 30 minutes suffisent pour se prémunir des risques d'obésité, de diabète, de maladies cardiovasculaires et de certains cancers.
Un chercheur a découvert un moyen facile et surprenant d'économiser l'énergie et d'améliorer l'efficacité de la course à pied : une bande élastique ou « exotendon » à attacher entre les deux pieds. Cette astuce étonnante permet de courir plus vite sans se fatiguer.
Veillez à maintenir un rythme régulier de respiration, en synchronisant vos inspirations et expirations avec votre foulée. Une autre astuce consiste à privilégier une respiration abdominale, en faisant en sorte que votre abdomen se gonfle à l'inspiration et se dégonfle à l'expiration.
Les experts en perte de poids conseillent d'alterner l'effort de courte durée et le repos de 30 secondes. Vous pouvez ainsi, commencer par une course lente de 30 secondes et un repos de 30 secondes pendant 15 minutes. Faites une séance d'échauffement avant de vous lancer.
Le manque de régularité, de motivation, d'assiduité ou de variété dans les séances peuvent aussi vous empêcher de progresser ». Une douleur ou une blessure que vous n'écoutez pas vous éloignera tout aussi sûrement de vos ambitions de courir plus vite.
Dans tous les sports d'endurance, l'essoufflement est un phénomène normal ressenti quand le corps est poussé au-delà de son rythme de croisière. À pied, à vélo ou dans l'eau, les pulsations s'accélèrent afin de fournir aux muscles la quantité d'oxygène suffisante pour tenir la cadence.
En moyenne, il est recommandé de ne pas dépasser 175-180 pulsations/minute (zone d'effort maximale). Vous pouvez d'ailleurs opter pour une montre qui vous indique dans quelle “zone” vous êtes selon votre fréquence cardiaque : zone d'échauffement, de confort, d'effort ou maximale.
Sur une séance de 30 minutes, vous brûlerez ainsi environ 300Kcal dont la moitié en graisses. Et pendant les 24h qui suivent, le travail de récupération interne est lui aussi si intensif que la dépense calorique au repos augmente carrément de 20%.
Courir 20 minutes par jour permet de brûler entre 200 et 500 calories, en fonction du poids et de la composition du corps, de la vitesse de course et de l'inclinaison.
Des exercices de musculation renforceront vos muscles et les rendront plus endurants. Cela signifie également qu'ils vous propulseront avec davantage de puissance. Un entraînement de musculation typique pour les coureurs comprend des fentes, des squats, des donkey kicks, et d'autres exercices.
Un positionnement dit « optimal » se caractérise par les épaules basses et relâchées, les coudes près du corps (angle de flexion de 90 à 115 degrés), les mains en position neutre, près du corps, ainsi qu'une pendule à l'épaule.
Adoptez une cadence de course comprise entre 165 et 180 pas par minute. Laissez vos pieds se poser naturellement au sol, sous ou très légèrement devant vous. Si vous atterrissez avec le pied loin devant vous, vous risquez de courir moins vite et de vous faire mal.
Courir une heure à du 10km/h, c'est à peu près à la portée de tout le monde ; pour certains, on sera en dessous de l'endurance fondamentale et pour d'autres, ce sera un gros effort, mais clairement, ça n'a rien de transcendant.
2. On s'affine sur toute la ligne. En courant à une allure moyenne de 8 km/h, on dépense pratiquement 2 fois plus de calories qu'en marchant (115 kcal pour 30 min de marche à 5 km/h contre 330 kcal pour 30 min de course à 8 km/h).
Les effets du running quotidien en font une pratique généralement peu recommandée. Toutefois, la science montre que courir fréquemment - jusqu'à 5 jours par semaine - est profitable à la fois au corps et à l'esprit.
En course à pied, avoir une bonne technique de respiration te permet d'absorber le maximum d'oxygène possible et d'évacuer le dioxyde de carbone. Cela a différents bienfaits qui se traduisent par une amélioration des performances. Lorsque tu cours, mieux vaut respirer profondément à la fois par le nez et la bouche.
Également appelé HIIT, l'entraînement fractionné de haute intensité est l'activité pour travailler son cardio par excellence. Il s'agit d'alterner des exercices à forte intensité cardiaque avec des phases de récupération. Les intervalles durent entre 30 secondes et 3 minutes, même durée pour la récupération.
Si tu cours en chaussures minimalistes avec une cadence s'approchant de 180 pas par minute et qu'en plus, tu fais peu de bruit lors de l'appui au sol, tu cours probablement bien!
Le footing lent permet à votre corps de récupérer tout en participant à la construction de votre endurance générale. Quelle est la vitesse du footing lent ? Lorsqu'une personne court lentement, elle est capable de discuter sans être essoufflée. Pour ce type de jogging, vous pouvez donc aisément être à deux ou plus.
A haute intensité, on brûle peu de graisses
En courant lentement, disons à une allure qui permet d'entretenir une conversation sans difficulté ni essoufflement, les muscles mobilisent en effet davantage leurs réserves de lipides pour renouveler leur énergie.
Pourquoi courir lentement : les bienfaits et avantages
De plus, lorsque la vitesse n'est plus votre priorité, vous faites davantage attention à votre environnement et pouvez mieux anticiper les obstacles sur la chaussée. Courir lentement développe votre endurance sans trop solliciter vos muscles.