Pour éviter l'apparition des crises convulsives, il faut traiter la fièvre. Si la température est inférieure à 38,5, on ne fait rien (dans la fourchette de température comprise entre 38°C et 38,5°C, la fièvre reste un élément favorable de défense contre les infections).
Pratiquer une Injection intra rectale de VALIUM, 1mg/kilo, au moyen d'une seringue et d'une canule rectale. Répéter l'injection de VALIUM, à la même dose, 15 minutes après si la crise perdure. Observer l'enfant à la fin de la crise : réactivité, mobilité…
Chez les nourrissons plus âgés et les enfants, la cause des convulsions peut être inconnue. Les convulsions fébriles. La plupart des convulsions fébriles sont inoffensives et sont causées par une fièvre due à une infection... en apprendre davantage sont assez fréquentes chez les jeunes enfants.
Les symptômes des convulsions fébriles
Des spasmes (contractions) musculaires symétriques qui secouent tout le corps; Une agitation involontaire des membres, de façon saccadée et symétrique; Une perte de conscience ou une courte absence; Un regard fixe ou des yeux révulsés.
Vérifier sa respiration en penchant votre tête au-dessus de la sienne pour sentir son souffle sur votre joue. Si la victime respire, l'allonger en position latérale de sécurité, à savoir son corps sur le côté, en croisant la jambe du dessus (position de premiers secours).
Pour prévenir les convulsions fébriles, il faut vérifier la température de votre enfant avec un thermomètre et selon la méthode appropriée pour son âge. La prise de tem- pérature rectale étant généralement la plus appropriée.
L'état de mal épileptique convulsif est le trouble convulsif le plus grave et est considéré comme une urgence médicale, car la convulsion ne s'arrête pas. Les décharges électriques se produisent dans tout le cerveau, provoquant une crise tonico-clonique généralisée.
La convulsion désigne l'apparition involontaire et brutale de spasme musculaire sur l'ensemble du corps. Dans ce dernier cas, on parle de crise convulsive. Elle traduit une souffrance du système nerveux (cerveau ou moelle épinière) et s'accompagne d'une perte de connaissance.
Le diagnostic peut être clinique et repose sur des résultats de neuroimagerie, d'examens de laboratoire et d'EEG (électro-encéphalographie) pour les crises d'apparition récente ou sur des taux d'antiépileptiques pour des troubles épileptiques déjà diagnostiqués.
La convulsion fébrile est souvent due à une montée brusque de la température du corps, qui est causée par une infection virale relativement banale, comme la roséole ou une infection des voies respiratoires. Pour cette raison, un enfant qui fait déjà 40 °C souffrira rarement d'une convulsion fébrile.
Les spasmes infantiles sont un type de crises d'épilepsie débutant durant la première année de vie et plus spécifiquement entre 3 et 8 mois. Ceux-ci sont caractérisés par un repli des bras, des jambes et du cou. Ils sont le type de spasme le plus commun.
La convulsion désigne l'apparition involontaire et brutale de spasme musculaire sur l'ensemble du corps. Dans ce dernier cas, on parle de crise convulsive. Elle traduit une souffrance du système nerveux (cerveau ou moelle épinière) et s'accompagne d'une perte de connaissance.
Typiquement, lors d'une crise convulsive, l'enfant devient pâle, se raidit, ses yeux se révulsent puis il présente des secousses musculaires qui peuvent concerner les quatre membres et le visage ou être plus localisées ; ces secousses durent quelques secondes à quelques minutes, le plus souvent moins de cinq minutes.
Que faire en cas de crise convulsive ? En cas de crise convulsive, il faut laisser se dérouler la crise. Pendant la durée des convulsions, ne touchez pas la victime et écartez ce qui pourrait la blesser. Par exemple, éloignez une table basse, éloignez les témoins, protégez avec des coussins ou des couvertures.
Cependant, cette crise ne cause pas de mal à l'enfant.
Mettez une débarbouillette froide sur son front pour raccourcir la durée du spasme. Évitez de le secouer, de l'asperger d'eau ou de lui mettre quelque chose dans la bouche.
Après un traumatisme, une chute ou un choc. Énervement, tonicité excessive: le bébé se raidit et se cambre régulièrement, il n'est pas à l'aise dans les bras ou dans le lit.
Massez délicatement son ventre, dans le sens des aiguilles d'une montre. Prenez le dans vos bras, son ventre reposant sur votre avant-bras. Marchez avec bébé contre vous, dans les bras ou en écharpe de portage. Parlez-lui, rassurez-le, caressez-le : bébé a besoin qu'on s'occupe de lui.
Si votre bébé ne fait toujours pas de rot, n'insistez pas davantage. Il est fort probable que votre bébé a avalé très peu d'air pendant son boire, donc il n'a pas besoin de faire un rot.
Les causes des spasmes du nourrisson
Les raisons des spasmes du sommeil des bébés sont actuellement inconnues. Donc, si vous êtes inquiet à ce sujet, n'hésitez pas à faire part de vos doutes lors de votre visite chez votre pédiatre. On pense qu'ils sont d'origine génétique.
Habituellement, les spasmes infantiles surviennent chez le nourrisson souffrant de troubles cérébraux et d'anomalies du développement graves qui, souvent, ont déjà été identifiées; la sclérose tubéreuse de Bourneville (tuberous sclerosis complex) est une cause fréquente.
À sa naissance, les muscles du bébé ne sont pas assez développés pour maintenir sa tête droite. Comme sa nuque est fragile, il est primordial de bien soutenir la tête et le cou du bébé lorsqu'on le soulève.
Le réflexe de Moro d'un nourrisson se déclenche parfois pendant son sommeil et peut le réveiller. L'une des façons d'empêcher cela est de l'emmailloter. Si ce réflexe perdure au-delà du 4e mois, parlez-en à votre professionnel de santé qui vérifiera qu'il ne s'agit pas d'un retard de développement.
Lorsqu'un bébé se balance d'avant en arrière, cela peut signifier différentes choses. Cela peut être le signe que votre enfant se sent vraiment d'humeur à jouer ou peut indiquer qu'il essaie de gagner suffisamment de force dans les jambes et les bras pour ramper efficacement là où il le souhaite.
« Il faut voir un médecin en urgence, quand le nourrisson à une fréquence respiratoire (une inspiration + une expiration) supérieure à soixante par minute ou s'il a des difficultés à respirer, avec par exemple un battement des ailes du nez ou le thorax qui se creuse quand il respire », décrit le docteur Bertrand ...
2. Il arque le dos. C'est souvent une manifestation de colère. Mais s'il le fait pendant un boire et que cela s'accompagne de signes d'inconfort (pleurs, tortillements, régurgitation, etc.), bébé a peut-être des reflux gastro-oesophagiens.