Réserver ton siège à l'avance : Au moment de l'achat ou 72 heures à avant le départ, il est possible de choisir son siège dans l'appareil sur le site de la compagnie aérienne. Favoriser les vols nolisés (plutôt que les réguliers): Le surbooking se fait seulement pour les vols réguliers.
On parle de surbooking ou surréservation lorsqu'une compagnie aérienne vend plus de billets que le nombre de places disponibles dans l'avion. Cela permet à la compagnie de remplir l'avion même en cas de désistement de passagers.
Le surbooking, ou surréservation, est une pratique des compagnies aériennes qui consiste à vendre plus de billets que de places disponibles. Vous partez en vacances en avion ? Vous pourriez être concerné par cette pratique et vous voir refuser l'embarquement.
La surréservation est une pratique légale qui peut mener à refuser l'embarquement à certains passagers lorsque le nombre maximum de places disponibles dans l'appareil est atteint. Le règlement européen CE 261/2004 prévoit : “le transporteur aérien effectif peut refuser l'embarquement de passagers contre leur volonté”.
Pour vérifier le statut de votre vol, vous pouvez utiliser des applications de suivi de vol ou vous rendre directement sur le site de l'aéroport/de la compagnie aérienne.
Lors d'un surbooking, ou d'une surréservation, les passagers peuvent prétendre à une compensation. En effet, la Réglementation européenne relative aux droits des passagers aériens prévoit, sous certaines conditions, une indemnité de la part de la compagnie aérienne pouvant aller de 250 € à 600 € par personne.
La plupart des transporteurs aériens s'adonnent à la survente, aussi appelée « surbooking » ou « overbooking ». Leur prétexte est qu'en vendant davantage de billets pour un même vol, ils pourront vendre leurs billets moins chers, ce qui sera profitable pour le voyageur.
Si Air France vous propose un autre vol et que vous êtes contraint à attendre à l'aéroport, la compagnie doit vous prendre en charge. En cas de surbooking, vous pouvez réclamer une indemnisation allant jusqu'à 600 € par personne.
Pour être sûres de remplir au maximum les vols, les compagnies aériennes ont recours au surbooking. En moyenne on l'évalue autour de 5% de places vendues en plus de la capacité maximale d'un vol commercial. En effet, les compagnies savent qu'en moyenne 5% de passagers ne se présentent pas le jour du départ en vacances.
On évalue de même la probabilité que 105 passagers se présentent (106 x 0,9105 x 0,1), etc. En ajoutant les probabilités de présence de 101 à 106 personnes, on obtient un risque de devoir refuser un passager égal à 4 %. Dans ce cas, la compagnie aérienne doit dédommager le passager mais le jeu en vaut la chandelle !
Imaginons un vol dont le coût du billet est de 200 € et qu'en cas de surbooking, la compagnie le dédommage à hauteur de 800 €. Si la compagnie vend 103 billets alors, elle aura empoché 20 600 €. Si seulement 100 personnes ou moins se présentent, c'est bien joué. Elle aura vendu 3 billets en plus, soit un gain de 600 €.
Les billets achetés à l'avance deviennent alors des « options de vol » ; à la date du vol, certains passagers choisiront de s'enregistrer tandis que d'autres céderont leurs sièges en échange d'une compensation versée par la compagnie aérienne.
Sur son site Internet, Air France tient régulièrement un «flash infos», dans lequel la compagnie fait état des prévisions de trafic pour la journée. Il est possible de savoir en temps réel si un avion va décoller ou pas en entrant son numéro de vol dans la rubrique «Actualité des vols».
Pour éviter que les avions décollent ainsi avec des places vides les compagnies aériennes ont décidé de vendre plus de billet qu'il n'y a de place dans leurs avions : c'est ce qu'on appelle la surréservation et ont eu l'idée d'utiliser la loi binomiale pour quantifier le risque pris d'avoir des passagers sans siège qu' ...
Le surbooking provient du “yield management », une stratégie de management apparue aux États-Unis en 1978, permettant à des compagnies aériennes nouvellement créées de proposer des tarifs défiant toute concurrence.
Montant indemnité Air France
L'indemnisation pour un vol annulé ou retardé est de 250€ pour un vol de moins de 1.500km, 400€ pour un vol entre 1.500km et 3.500km ou les vols de plus de 1.500km qui restent intra-communautaire (en Europe) et 600€ pour les vols de plus de 3.500km.
On considère aujourd'hui qu'en moyenne pour qu'un avion soit rentable, il doit voler au minimum 300 heures par an. Or, les chiffres montrent qu'aujourd'hui les avions privés en France ne volent en moyenne que 50 heures chaque année : 6 fois moins que nécessaire !
La reprise du trafic devrait atteindre cet été jusqu'à 95% de son niveau de 2019, selon Eurocontrol, l'organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne. Mais depuis plusieurs semaines, de nombreux vols sont annulés à cause d'un manque d'effectifs.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
Les soubresauts y sont plus atténués qu'ailleurs. Si votre phobie est très avancée et qu'au moindre trou d'air vous redoutez la catastrophe aérienne, alors les sièges du fond de l'avion sont les plus sûrs. Statistiquement, en cas de crash, vous aurez plus de chance de survivre en queue d'avion qu'au milieu ou en tête.
Il arrive parfois qu'un passager aérien en règle se heurte à un refus d'embarquement. Au moment d'entrer dans l'avion, un employé l'empêche de monter en lui affirmant que le vol est complet ou qu'il n'y a pas assez de personnel à bord pour gérer la totalité des passagers. Il s'agit d'un vol surbooké.
S'il est conseillé de se présenter en avance à l'aéroport, c'est d'abord pour anticiper les éventuels retards. Décaler un vol coûte très cher à la compagnie aérienne et fixer l'heure d'arrivée 2h avant le départ officiel permet de réduire considérablement le nombre de « vrais » retardataires.