Le triangle de Karpman est un piège qui empoisonne les relations. Développer votre estime personnelle, votre affirmation de soi et privilégier la communication assertive (CNV) sont d'excellents moyens pour sortir du jeu. Et vous éviter de subir des comportements extrêmement désagréables et stressants.
Un autre moyen de s'en sortir est de jouer le « miroir ». Si votre interlocuteur joue la Victime, faites la Victime, s'il joue le Sauveur, faites le Sauveur et s'il joue le Persécuteur, faites le Persécuteur. C'est une bonne façon de bloquer le jeu car vous ne jouez pas le rôle complémentaire.
Le triangle de Karpman fonctionne sur un principe d'interdépendance : un rôle s'affirme et son rôle complémentaire vient lui répondre. La victime se trouve en position de domination, lorsque le persécuteur ou le sauveur sont dominants.
Rester neutre dans ta posture : privilégier l'écoute et faire preuve d'empathie pour mieux comprendre la situation et les ressentis de chacun. Avoir une communication claire sans sous-entendus et éviter les reproches. Laisser de côté ses propres émotions qui nous ferait entrer ou choisir un rôle .
Pourquoi certains deviennent-ils dépendants? Chez certains, le jeu vidéo devient une manière de fuir les difficultés ou d'oublier leurs problèmes. Avec les jeux en ligne, par exemple, on peut rapidement développer des amitiés avec d'autres joueurs. Plus on passe de temps à jouer, plus ces amitiés se renforcent.
Que pouvez-vous faire si vous vivez avec une personne qui se victimise ? Lorsque l'autre personne commence à se plaindre, essayez de changer de sujet ou de vous éloigner. Ainsi, elle verra que ce jeu ne fonctionne plus avec vous et quittera probablement la position d'infériorité.
Le triangle de Karpman, connu également sous le nom de triangle dramatique, est un triangle représentant les relations entre trois rôles d'un jeu psychologique dangereux : le Persécuteur – le Sauveur – la Victime.
Sortir du rôle de la Victime nécessite de faire évoluer ses croyances envers soi. Partant du principe que notre essence même est celle du Créateur, le principe est de commencer à prendre ses responsabilités à propos de ses pensées et de ses actions.
Pour sortir du syndrome du sauveur, un travail sur l'estime de soi et la confiance en soi est primordial. Pour cela, il est important d'aller puiser en vous-même la reconnaissance dont vous avez besoin.
La position du persécuteur (ou bourreau) se représente bien par une attitude attaquante de blâme où tout est la faute de l'autre. Il contrôle, blâme, accuse, critique, est oppressant, en colère, autoritaire, rigide, supérieur, etc. Il rabaisse encore plus la victime.
Le Persécuteur est dans le droit. Souvent, le Persécuteur pense qu'il contrôle très bien la situation et que sans sa présence, tout serait catastrophique. C'est quelqu'un qui est très souvent en colère et se place autoritairement par rapport aux autres.
Une « victime » qui devient « bourreau » à son insu
Parfois, un mécanisme se met en oeuvre qui consiste à non seulement se poser en victime mais aussi, insidieusement, à récupérer de l'intérêt et de l'énergie en culpabilisant les autres, en leur faisant du chantage affectif.
Évitez de les faire souffrir encore plus par un langage inapproprié. Vous pouvez leur dire la vérité, mais soyez compatissant. Leur dire qu'ils se comportent comme des victimes ne les aidera pas. Au contraire, cela les blessera et accentuera leur mentalité de victime.
Cette méthode de « psychologie oculaire » - qui n'a en réalité pas été inventée mais seulement exhumée par la jeune femme - consiste à profiter d'un moment de silence dans une conversation pour former un triangle, en fixant tour à tour l'œil gauche, les lèvres puis l'œil droit de la personne convoitée.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Elle semble être malade plus souvent et s'absente du travail. Elle essaie de masquer ses blessures. Elle trouve des excuses à la dernière minute pour ne pas vous rencontrer ou elle essaie de vous éviter lorsqu'elle vous rencontre dans la rue. Elle semble triste, seule, repliée sur elle-même et craintive.
Les personnes qui se plaignent tout le temps ont surtout besoin d'attention. Ils peuvent être particulièrement irritants, voire franchement agaçants pour leurs proches. Leur tendance à tout voir en noir semble témoigner d'un irréductible pessimisme et leur constant besoin d'attention peut être difficile à gérer.
Quand une personne assume le rôle de victime, parce qu'elle ne peut pas faire face à la situation qui la dérange ou parce qu'elle ne comprend pas le mal qui l'affecte, elle cherche un des deux objectifs : Inhiber l'agresseur, c'est-à-dire que la victime se montre vaincue, en position d'infériorité de conditions.
L'adoption d'un des rôles par l'un des protagonistes entraîne le partenaire à jouer le rôle complémentaire, ce qui provoque l'engrenage dans ce fameux triangle. Un triangle de Karpman induit également une dramatisation des affects qui se jouent au sein de la relation.
Dans son livre Sortir du triangle dramatique, Bernard Raquin explique en quoi consiste le triangle dramatique de Karpman. Le triangle dramatique est un jeu psychologique, c'est-à-dire un scénario pratiqué inconsciemment et qui peut se répéter tout au long de la vie s'il n'est pas conscientisé.
Posez des questions comme « Est-ce à moi que tu lances cette pique? » ou « Que voulais-tu dire en pointant tes pouces vers le sol pendant que je parlais? » Ensuite, si votre Sournois répond en se moquant encore de vous, dites quelque chose comme « On dirait bien que tu te paies ma tête? » Il est important de lui ...
Identifier un comportement hypocrite. Restez calme et ne cédez pas à la colère. Ne laissez pas les actions de cette personne ou ses mots gâcher votre journée ou vous faire perdre le contrôle. Prenez le temps de respirer profondément ou comptez de 1 à 10 pour vous calmer et garder le contrôle.
Emmenez-la faire une activité qui la forcera à ralentir son rythme de vie et lui permettre d'écouter son corps, de retrouver le plaisir des sensations simples. Telles sont les pistes qui pourront aider les personnes qui veulent arrêter de tout contrôler.
Besoin impérieux et irrépressible de consommer la substance ou de jouer (craving) Perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la prise de substance ou au jeu. Beaucoup de temps consacré à la recherche de substances ou au jeu. Augmentation de la tolérance au produit addictif.