Le fait de marcher lentement est la meilleure solution en cas de neige et verglas. Les escaliers sont très dangereux lorsqu'ils sont verglacés. Tenez-vous à la rampe et avancez très doucement pour éviter le risque de chute. Privilégiez les trottoirs déneigés pour tous vos déplacements à pied.
Sur une route en descente, n'utilisez pas les freins. Préférez le frein à moteur qui vous permet de décélérer sans utiliser vos freins ; En cas de dérapage, gardez votre sang-froid autant que possible. Braquez calmement et doucement votre volant dans la direction opposée au dérapage, et débrayez.
Si vous roulez sur une plaque de verglas et que vous dérapez, contre-braquez. Si vos roues arrière dérapent vers la droite, tournez le volant vers la droite. Si vos roues arrière dérapent vers la gauche, tournez le volant vers la gauche. Ne lâchez jamais le volant et ne freinez pas car cela pourrait bloquer vos roues.
En hiver, lorsque le sol est à une température négative et qu'il y a de l'eau sous forme liquide qui le touche (via des précipitations ou une fonte partielle des neiges), alors l'eau se transforme en glace. C'est cette mince couche de glace qui est appelée verglas – d'hiver, car il en existe un d'été.
Elle est due au gel d'une mince couche d'eau laissée sur la chaussée antérieurement par une fine pluie ou par la fonte de neige quand la température était au-dessus du point de congélation.
En cas de neige, de verglas ou de pluie, adaptez votre vitesse à l'état de la route et, en tout état de cause, ne dépassez pas les limitations de vitesse qui sont abaissées lorsque la chaussée est mouillée : 110 km/h sur autoroute (au lieu de 130 km/h), 100 km/h sur les rocades (au lieu de 110 km/h), 80 km/h sur les ...
Évitez tout mouvement brusque. Adoptez une conduite souple, sans à-coup. Si vous devez ralentir, lâcher l'accélérateur, et freinez avec délicatesse. Si vous sentez que « ça part », lâchez le frein et tentez, en douceur, de maintenir le cap en vous éloignant d'un éventuel obstacle.
Freiner bien avant le virage. L'idée, c'est que la neige ayant une adhérence très minime, elle peut "coller" jusqu'à un tout petit nombre de G d'accélération... après ça glisse, patine, chasse du cul, sous-vire, part en vrille... Donc si on a une côte à monter, accélérer doucement mais longtemps à l'avance.
– La mauvaise pression des pneus.
– Des éléments de suspension avant ou arrière avec une rigidité déséquilibrée peuvent causer, dans certains cas, un survirage ou un sous-virage. Faites réviser votre véhicule pour que cela ne se produise pas. – Une mauvaise adhérence des pneus.
Comment rouler sur la neige avec une boîte de vitesse automatique ? Laissez en revanche le mode ESP (correcteur de trajectoire électronique) activé. Si votre véhicule subit une sortie de route, l'ESP vous aidera à récupérer votre trajectoire.
Si le temps est froid, il y a toujours possibilité de rencontrer une portion de route verglacée. Essayez de repérer des signes qui annoncent le verglas. Si vous roulez tranquillement et que vous voyez les voitures devant vous se mettre à zigzaguer, il y a de fortes chances qu'il y ait du verglas sur la chaussée.
Le sel de déneigement classique que l'on utilise pour le salage des routes est composé de chlorure de sodium de classe B. C'est un produit extra-sec.
L'idéal pour les propriétaires et les locataires est d'épandre du sel de déneigement avant les chutes de neige ou juste après la pointe de congélation du soir, lorsque les températures deviennent négatives. La quantité à épandre est un kilo de sel pour une trentaine de mètres carrés.
Dans une descente, vous allez solliciter aussi vos jambes mais pour retenir le caddie qui part tout seul. ATTENTION : il ne faut rester en position débrayée qu'un court instant dans une montée ou une descente. Vous ne devez jamais circuler en roue libre, c'est-à-dire sans vitesse enclenchée, dans une descente.
Utilisez du lave-glace qui peut supporter des températures pouvant aller jusqu'à -40 °C et ayez-en un contenant additionnel dans le coffre de votre voiture. Pneus : Assurez-vous qu'au moins 50 % de la bande de roulement de vos pneus d'hiver est toujours présente pour avoir la conduite hivernale la plus sécuritaire.
Fixez les chaînes sur les roues motrices (à l'avant sur la plupart des véhicules) et retendez-les en cas de léger battement. Attention avec des chaînes la vitesse doit être limitée à 50 km/h maximum. 2) Le B-A BA : Prendre le temps de bien nettoyer son pare-brise et ses vitres. priorité absolue à la visibilité !
Elle tombe souvent entre 0°C et -5°C. Elle contient davantage d'eau liquide ce qui la rend lourde et pâteuse. C'est une neige aux effets dangereux : elle se compacte et adhère à la chaussée, aux câbles électriques, voire aux caténaires de la SNCF.
En montagne, mettre des chaînes à neige
Les chaînes à neige sont autorisées sur les routes enneigées. Elles sont obligatoires sur certains axes routiers en présence du panneau B 26 « équipements spéciaux obligatoires », sauf si la mention « pneus neige admis » est indiquée. Les chaînes modifient la conduite.
Le verglas d'été est, tout comme son homologue hivernal, présent sur les routes dans des conditions bien particulières. Il s'agit d'une pellicule de particules laissées par le passage des véhicules sur la route. Cette pellicule peut s'avérer particulièrement dangereuse car elle diminue la tenue de route.
Il suffit de vous munir d'une pelle à neige et d'un coupe glace (plus difficile à trouver). Si le temps est relativement doux, la cendre favorise la fonte de la neige car elle accumule la chaleur du soleil. Disperser des copeaux de bois auraient un effet antidérapant et favoriserait la fonte de la neige.
Le verglas se forme en hiver lorsque des précipitations tombent d'un nuage évoluant dans une couche d'air dont la température est inférieure à 0°c. Ces précipitations traversent alors une couche d'air plus doux, dont la température est supérieure à 0°, puis terminent leur course sur le sol.
La recette classique d'une pluie verglaçante est une couche d'air chaud au-dessus d'une couche peu profonde d'air froid. Les gouttes de pluie tombent des nuages dans la couche d'air chaud, puis traversent la couche d'air froid où la température se maintient tout près du point de congélation.