Les principaux facteurs de risques des cardiopathies et des AVC, sont une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique, le tabagisme et l'usage nocif de l'alcool.
Se protéger contre le risque
Cette méthode de prévention est la plus connue et la plus facile à mettre en œuvre, puisqu'elle implique de fournir : des équipements de protection collective (EPC) ; ou, à défaut, des équipements de protection individuelle (EPI).
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
Du thé vert. Une étude de 2006 a trouvé que la consommation de thé vert est associée à une réduction de la mortalité cardiovasculaire. Chez les femmes, celles qui buvaient plus de cinq tasses de thé vert par jour réduisaient de 31 % leur risque de décès cardiovasculaires.
Pour les personnes cardiaques
Si vous êtes cardiaque, évitez les eaux riches en sodium et préférez les eaux moins salées et minéralisées. Enfin, les troubles du transit et la fatigue s'améliorent avec une eau fortement minéralisée et gazeuse.
L'activité physique est l'une des choses les plus importantes que vous pouvez faire pour avoir une bonne santé cardiaque. Elle peut aider à vivre plus longtemps et à réduire jusqu'à 50 % le risque de mourir d'une maladie du cœur!
THÉ VERT. Les feuilles de thé regorgent d'un certain polyphénol qui possède d'importantes propriétés médicinales et antioxydantes. Il a été démontré qu'elles protègent contre les maladies cardiaques, le cancer, les lésions cellulaires dues au stress oxydatif et qu'elles favorisent la santé du cerveau.
Pour les personnes souffrant de problèmes cardiaque, la banane est souvent une bonne alliée. En effet, 100g de banane apportent 360 mg de potassium soit 18% de l'apport journalier recommandé. Et le potassium est très bon pour le système circulatoire !
Le cœur apprécie tout particulièrement les activités physiques dites d'endurance, dont les trois principales sont la natation, la course et le vélo. Ces sports sont de moyenne intensité : entre 60 et 70 % du maximum que l'on peut fournir.
Bras tendus, les jambes bien ancrées au sol, dans le prolongement du bassin donc un peu écartées, vous pliez, vous dépliez. Vous descendez, vous remontez. 30 fois. 30 flexions à un rythme assez soutenu dans la mesure où il faut que ça soit bouclé en 45 secondes.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
Infarctus du myocarde (IDM)
L'infarctus du myocarde est une nécrose du myocarde se manifestant lorsqu'une ou plusieurs artères coronaires s'obstruent. De ce fait une partie du cœur n'est plus approvisionnée en sang et en oxygène.
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
L'élimination est le processus par lequel on retire le danger du milieu de travail. C'est la manière la plus efficace de prévenir un danger, puisqu'il n'est plus présent. C'est la meilleure méthode de contrôle des dangers et elle devrait être utilisée chaque fois que c'est possible.
Sont classiquement distinguées la prévention primaire qui agit en amont de la maladie (ex : vaccination et action sur les facteurs de risque), la prévention secondaire qui agit à un stade précoce de son évolution (dépistages), et la prévention tertiaire qui agit sur les complications et les risques de récidive.
Il lutte contre l'hypertension artérielle
L'acide ascorbique du citron, également nommé vitamine C, contribue à conserver les parois des vaisseaux sanguins plus souples et plus flexibles, ce qui favorise la réduction du niveau de pression du sang dans les artères.