Le réseau le plus connu est la Fédération 3977. Elle a pour vocation la lutte contre la maltraitance, à travers des missions de conseil, orientation et renseignement pour les familles, grâce à un numéro national unique : le 3977.
• La protection administrative
L'ASE (Aide sociale à l'enfance), en lien avec le service social et la PMI (protection maternelle infantile) mettent alors en place un dispositif de prévention et de suivi avec l'accord des parents.
Parmi les facteurs de risque de maltraitance liés à l'enfant, sont rarement cités : la prématurité (3 %) ; la gémellité (1 %) ; troubles du comportement (6 %) ; échec scolaire (0,5 %). Pour 70 à 80 % des répondants, la maltraitance est associée au niveau socio- économique.
Vous êtes témoin de violences, de cris, de coups ? Appeler le 119 : numéro d'appel national de l'enfance en danger. Ouvert 24h/24, 7/7, gratuit, n'apparaît pas sur la facture téléphonique, l'appel peut-être anonyme.
Symptômes physiques et psychosomatiques :
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.
La maltraitance envers les enfants perturbe le cours normal de leur développement affectif. Les enfants maltraités sont à risque d'une grande variété de problèmes reliés à la santé mentale, y compris la dépression, l'anxiété, l'abus de substances, la criminalité et d'autres formes de comportement affectif mal régulé.
La maltraitance faites aux enfants recouvre de multiples formes : violences physiques, psychologiques, sexuelles, négligences… Elles ont toutes de graves conséquences pour les enfants qui en sont victimes et sont toutes punies par la loi.
Le téléphone "grave danger" est équipé d'un bouton d'alerte qui permet de mettre la victime en contact avec un centre d'assistance disponible 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. La téléassistance est relié aux services de la police nationale et aux unités de la gendarmerie nationale.
Il s'agit donc de toute forme de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques et mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle.
L'objectif premier du BICE est de lutter contre toutes les formes de maltraitance, d'améliorer la protection de l'enfance dans le monde et de promouvoir un climat de bientraitance.
La maltraitance s'entend de toutes les formes de violences physiques ou psychologiques. Qu'il s'agisse de coups, de brimades ou de privation. Un comportement passif, s'il nuit à la personne âgée, est aussi considéré comme de la maltraitance : privation de soins, d'alimentation, abandon dans un lieu quelconque...
Vous avez la possibilité de contacter les services d'urgence. Vous pouvez également contacter les services du département : aide sociale à l'enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).
Chez l'enfant, cela peut se traduire par une modification du comportement habituel, enfant craintif, replié sur lui-même, évitant le regard, un enfant présentant des troubles du sommeil, des cauchemars, des troubles du comportement alimentaire, un enfant agressif ou, au contraire, en recherche de contact, d'affection ...
L'Observatoire Décentralisé d'Action Sociale définit l'enfant maltraité comme une « victime de violence physique, cruauté mentale, abus sexuels, négligences lourdes ayant des conséquences graves sur son développement physique et psychologique».
Qui est concerné ? Les personnes potentiellement victimes de maltraitance sont les personnes les plus fragiles. Outre les enfants et les personnes âgées, la maltraitance touche également les femmes, les handicapés, les malades mentaux, des subalternes ou des groupes sociaux discriminés.
L'important est d'en parler, d'évacuer cette violence que l'on porte". Et, à l'image de Maïwenn, il est possible, peut-être pas toujours de pardonner, mais au moins de comprendre et de se reconstruire, pour vivre sa propre histoire avec ses enfants.
Les circonstances familiales peuvent changer, un divorce, une perte, un traumatisme ou une récession économique, et elles peuvent modifier la disponibilité du parent et affecter leur approche de l'éducation des enfants.
La maltraitance peut prendre plusieurs formes :
Les violences médicamenteuses (abus ou privations de médicaments...) Les violences actives ( privation de liberté ou de soins...) Les violences passives ( la perte de contact humain, l'oubli, les négligences ...)
Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d'une situation de maltraitance d'un enfant, vous devez appeler le 119.
N'hésitez pas à composer le 119 pour en discuter avec des professionnels de l'enfance. Il s'agit d'un numéro gratuit qui permet de signaler un cas de maltraitance.
Soit elle est défaillante dans son rôle de mère car souvent absente, soit elle est présente mais incapable de subvenir aux besoins de son enfant car trop occupée à penser à elle ou emprisonnée dans des addictions (alcool, drogues…).
Elle peut être le fait de membres de la famille, du voisinage ou de professionnels mais aussi de dysfonctionnements organisationnels ou managériaux survenant au sein de l'établissement ou du service. La maltraitance peut être le fait de violences ou de négligences et n'est pas nécessairement volontaire.