Le plus souvent, il n'est pas nécessaire d'opérer. Des médicaments antalgiques, des anti-inflammatoires et des myorelaxants permettent de surmonter la crise douloureuse. On peut aussi y associer de la kinésithérapie et des infiltrations. Avec de tels traitements, la hernie disparaît d'elle-même huit fois sur dix.
Traitement non chirurgical
La plupart (80 à 90 %) des sciatiques par hernie discale guérit avec un traitement médical comportant un repos relatif, des anti-inflammatoires (éventuellement des corticoïdes), des décontracturants musculaires, et des antalgiques.
Dans la grande majorité des cas, la hernie discale se traite sans chirurgie. Mais si la douleur résiste aux traitements et rend la vie quotidienne difficile, l'opération est envisagée. Aujourd'hui, il est même possible de se faire opérer en service ambulatoire.
NON, il existe des risques infectieux, des risques de douleurs chroniques, des risques de récidive. 9 fois sur 10, l'histoire naturelle et la prise en charge médicale s'accompagnent d'une guérison dans un délai pouvant aller jusqu'à quelques mois, alors PATIENCE !
Bien sur un certain nombre de patient vont guérir avec le temps, en quelques mois la hernie peut se résorber, leurs douleurs vont progressivement disparaître. Mais ceci est leur choix. Ils préfèrent supporter la douleur qu'ils sont les seuls d'ailleurs à ressentir, plutôt que se faire opérer.
Le principal traitement de la hernie discale consiste à soulager la douleur et l'inflammation à l'aide de médicaments antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol, par exemple) ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l'ibuprofène).
Il est intéressant de recourir à l'ostéopathie en complémentarité de la prise en charge médicale. En effet, la hernie est un signal d'alarme : le disque est trop sollicité par un facteur qui crée des tensions. L'ostéopathie permet de déceler ces tensions et de les diminuer.
La douleur disparait généralement en 4 à 6 semaines après l'intervention dans 90 % des cas.
Les hernies discales qui n'induisent pas de symptôme sont plus fréquentes avec l'âge. Une hernie discale peut toutefois causer une douleur légère à invalidante. Le mouvement intensifie souvent la douleur, et celle-ci est aggravée par la toux, les éternuements, l'effort ou le fait de se pencher en avant.
La première mesure pour soulager une hernie discale consiste à prendre du repos. Pour mettre fin à la douleur, un traitement à base d'analgésiques, d'anti inflammatoires et relaxants musculaires peut être prescrit par le médecin. Lorsque la douleur est insoutenable, le médecin peut injecter les médicaments antidouleur.
"Après une hernie discale, la marche est intéressante. Plus on va avoir une musculature lombaire et abdominale forte, mieux cela sera.
Plantez vos orteils dans le sol et levez votre menton vers l'arrière en direction de votre colonne vertébrale. Étirez vos hanches vers l'avant et penchez-vous lentement en arrière. Respirez profondément et essayez de vous pencher un peu plus à chaque expiration. Après 20 ou 30 secondes, faites le mouvement inverse.
Comment traiter une hernie discale ? En première intention, le traitement repose sur la prise de médicaments antidouleurs et anti-inflammatoires ainsi que le suivi de conseils de posture, accompagnés ou non de physiothérapie. Dans les cas les plus tenaces, une infiltration de corticoïdes peut être proposée.
Pilates pour des muscles profonds solides
La lenteur d'exécution et la justesse du mouvement demandées, font de cette discipline un très bon moyen de bouger lorsqu'on souffre de hernie discale. Vous gagnez de la force musculaire tout en douceur.
Pour traiter la douleur, on prescrit du paracétamol, puis la morphine qui est le niveau supérieur. On utilise également les anti-inflammatoires et les corticoïdes. Les anti-inflammatoires ont pour but d'agir autour du nerf dans la zone enflammée qui comprimait la racine.
Une diminution ou une disparition soudaine de la douleur due à une hernie discale peut être le signe d'une aggravation de la compression du nerf et d'une atteinte des fibres motrices.
Le repos strict n'est plus conseillé et n'accélérera pas votre guérison. 5) Évitez les mouvements de rotation : le disque intervertébral, siège de la hernie, déteste les rotations qui agissent sur lui telle une serpillière qui est essorée. Efforcez-vous de pivoter le corps tout entier, et pas uniquement le tronc.
En cas de hernie discale non traitée, il peut y avoir des complications. En effet, il existe de rares cas où la hernie peut engendrer une paralysie d'une partie des membres inférieurs. Il est donc indispensable de consulter son médecin dès l'apparition des douleurs ou d'une perte sensibilité liée à la hernie discale.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
Le traitement médicamenteux comporte des anti-inflammatoires (voire des corticoïdes), des décontracturants musculaires et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander 6 à 8 semaines pour être efficace. En cas d'inefficacité de ce traitement, des infiltrations lombaires de corticoïdes peuvent être proposées.
La prise en charge initiale est réalisée par le médecin généraliste, le rhumatologue ou le neurologue. Elle passe par la prescription de traitements médicamenteux de kinésithérapie, voire d'infiltrations de manière à faire taire les symptômes le temps que le corps résorbe la hernie.
Faites des mouvements appuyés de va-et-vient de bas en haut pour décontracter les muscles. Appuyez, sans les bouger, le bout des doigts de chaque côté et au plus proche de votre colonne vertébrale. Maintenez ces pressions statiques pendant 3 secondes, puis relâchez 3 secondes. Poursuivez jusqu'à sentir la détente.
Pratiquez une activité physique pour muscler votre dos et vos muscles abdominaux (gymnastique douce, vélo, natation, par exemple). Cette mesure semble être la plus efficace pour éviter les récidives.