La meilleure façon de réduire votre risque de cancer de la cavité buccale est d'éviter toutes les formes de tabac, dont la cigarette, le cigare, la pipe, le tabac à mâcher, le tabac à priser et la fumée secondaire. Si vous fumez, demandez de l'aide pour renoncer au tabac.
Le diagnostic du cancer de la langue débute habituellement par une consultation motivée par une douleur buccale, une plaie linguale qui ne cicatrise pas (ulcère), un bouton ou une masse anormale sur la langue, des difficultés d'élocution et/ou de déglutition, ou encore une hypersalivation.
Pronostic et taux de survie du cancer de la langue
Dans ce cas, son taux de survie à 5 ans est de 78 % environ. Dans la plupart des cas, un cancer qui ne récidive pas après 5 ans est définitivement guéri. Toutefois, les récidives tardives existent, et peuvent même survenir plus de 10 ans après la fin du traitement.
Les symptômes des cancers de la partie mobile de la langue
De légers picotements accrus par les aliments acides ou épicés ; Une lésion de la langue découverte par le patient lui-même ou le dentiste. Souvent, ces lésions sont confondues avec les aphtes ; La découverte d'un ganglion cervical.
Toute douleur persistante à la langue doit faire l'objet d'une consultation médicale. Même chose pour les éventuelles lésions qui peuvent s'y développer. Si elles sont négligées, elles peuvent dégénérer en cancer de la bouche. Il est donc important d'être vigilant.
L'âge moyen du diagnostic est de 55 ans pour les hommes et de 60 ans pour les femmes. Consommation de cigarettes (plus de 30 cigarettes par jour), de cigares, pipe, consommation de cannabis, de marijuana…
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Le cancer de la cavité buccale est rare chez l'enfant et le jeune adulte. Le risque d'apparition augmente avec l'âge et est plus élevé chez les personnes de plus de 45 ans. Plus d'hommes que de femmes sont atteints du cancer de la cavité buccale, et il affecte plus souvent les hommes d'origine africaine.
En principe, un oto-rhino-laryngologiste est l'interlocuteur principal pour les maladies de la langue et il peut également initier le traitement correspondant en cas de cancer de la langue.
La survie varie selon le stade du cancer de la cavité buccale. En général, plus on diagnostique et on traite le cancer de la cavité buccale à un stade précoce, meilleur est le pronostic. Il existe des traitements efficaces contre le cancer de la cavité buccale et il répond souvent bien au traitement.
sensation persistante de "nez bouché", d'un seul côté ; plaie des lèvres ou de la langue qui ne guérit pas ; difficulté pour avaler (dysphagie) ; enrouement se prolongeant au-delà de deux semaines.
Le dentiste peut détecter le cancer de la bouche dès ses débuts, en effectuant un examen clinique lors de la visite de routine. Cet examen sans douleur est simple, ne prend que quelques minutes et ne requiert aucun appareil sophistiqué.
Il existe donc deux types de cancer de la langue : ceux qui se situent sur la partie mobile, très visibles et faciles à détecter, et ceux qui se situent à la base de la langue. Les premiers représentent 85 % des cas (en grande majorité des hommes).
La gêne sur la langue, qui comprend des douleurs et des sensations de brûlure, peut souvent être due à : Irritation due à certains aliments, notamment ceux qui sont acides (par exemple, l'ananas) Irritation due à certains ingrédients contenus dans les dentifrices, les bains de bouche, les bonbons ou les chewing-gums.
Le cancer lui-même n'est pas contagieux, mais certains virus et bactéries susceptibles d'augmenter le risque de cancer le sont. Ces virus et bactéries peuvent se transmettre d'une personne à l'autre à l'occasion d'un baiser, d'un contact physique, d'une relation sexuelle ou du partage d'un repas.
C'est un cancer qui est peu douloureux au début de l'évolution, et donc diagnostiqué tardivement (la durée moyenne de diagnostic est de 5 mois). Au début, vous pouvez ressentir une simple gêne comme une douleur récurrente, une gêne à la mastication, à l'articulation des mots.
Si le cancer de la cavité buccale se propage, il peut le faire aux parties du corps qui suivent : autres parties de la bouche; muscles entourant la bouche; ganglions lymphatiques du cou (ganglions cervicaux);
des signes respiratoires, comme une toux, un essoufflement ou une sensation d'oppression dans la poitrine ; des maux de tête, des courbatures, une fatigue inhabituelle ; une perte brutale de l'odorat (sans obstruction nasale), une disparition totale du goût ; une diarrhée.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
Langue blanche due au stress
Par exemple, le stress influe sur la quantité et la qualité de salive et donc sur les bactéries présentes sur la langue. Un dérèglement peut donc amener un changement de coloration de la langue.
Une langue en bonne santé doit être rose pâle, humide et légèrement rugueuse.
Si votre langue est sensible et prédisposée aux lésions, évitez les aliments blessants. Adoptez une bonne hygiène bucco-dentaire au quotidien et utilisez de l'eau chaude salée ou un bain de bouche pour favoriser la guérison et protéger l'équilibre naturel de votre flore buccale.