Juste avant de toucher le sol, vous devez cabrer l'avion et le faire atterrir sur les trains d'atterrissage principaux. L'angle de cabrage est de 5-7 degrés pour les petits avions. Il est de 15 degrés pour les plus gros avions. Dans un avion de petite taille, vous cabrez entre 5 et 10 pieds.
Un véritable exploit. Après le malaise du pilote de l'appareil, un passager sans aucune expérience de vol a réussi à faire atterrir un petit avion privé dans un aéroport de Floride (sud-est des États-Unis) mardi.
L'atterrissage d'un avion se fait face au vent pour atterrir sur une distance plus courte. L'utilisation des pleins volets (et si installés les becs) permet de réduire la vitesse d'approche. La distance d'atterrissage augmente avec l'altitude et la température.
Ce mercredi, il s'intéresse au progrès annoncé dans le secteur de l'aérien. Des avions autonomes peuvent désormais décoller et atterrir sans pilote. Avec l'innovation du jour, on va réellement se demander s'il y a un pilote dans l'avion.
La portance est une force liée à l'effet du vent sur l'aile qui attire l'avion vers le haut. C'est elle qui permet de faire décoller un avion et de le maintenir dans les airs. À l'inverse, le poids est une force qui attire l'avion au sol.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
Des portes à la piste d'atterrissage
En principe, un avion peut reculer grâce à son propre système de propulsion, mais il consomme alors une quantité importante d'énergie. En outre, cela provoque beaucoup de bruit et d'émission de CO2, ce qui entraînerait une pollution supplémentaire indésirable.
En avion comme à bicyclette, pour tourner, il faut se pencher. En déplaçant ainsi le manche, le pilote agit sur les ailerons qui se trouvent aux extrémités . Ils sont conjugués : lorsque l'un se lève, l'autre se baisse. Quand le pilote pousse le manche à gauche, l'aileron gauche se lève.
Elle dépend, entre autres, de la masse à l'atterrissage, de la température et de la pression atmosphérique. Elle peut être légèrement majorée en cas de vent de face. On peut retenir comme valeur moyenne 140 nœuds (environ 260 km/h).
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
On peut alors voir que les agents disposent de lits simples et ce, juste au-dessus de la partie classe économique de l'avion. En ce qui concerne les pilotes, ils disposent quant à eux de deux lits au-dessus de la classe affaires.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
AVIAT. Personne qui conduit un aéronef; aviateur qui conduit un avion. Pilote d'hélicoptère, de planeur, de dirigeable; premier, second pilote; pilote de l'aviation civile, de guerre; brevet de pilote.
À bord d'un avion commercial, deux pilotes sont généralement aux commandes : le commandant de bord (CDB) et l'officier pilote de ligne (OPL, aussi appelé copilote). Ils forment le personnel navigant technique (PNT). Le CDB, comme son statut l'indique, est le chef du vol.
Celui qui le dirige est appelé pilote ou aviateur.
Comme les voitures, certains avions ont des klaxons. Il ne s'agit bien sûr pas de klaxonner un avion qui refuserait en vol la priorité à droite mais d'avertir le personnel au sol que l'on cherche à le contacter. Le son est similaire à celui d'un klaxon de camion ou de bus.
Grâce aux systèmes électriques d'un avion, la perte d'un moteur n'induit pas la perte de contrôle, et un pilote qui garde son sang-froid peut réussir à faire planer l'appareil en toute sécurité jusqu'au sol.
L'APU est un petit turboréacteur embarqué, situé en général à l'arrière du fuselage, qui permet à l'avion d'être autonome en air lorsqu'il est en escale (compresseur haute pression) et en électricité (génératrice courant alternatif 115 V 400 Hz).
Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.
La turbulence, c'est un mouvement, un remous de l'air. Lorsqu'elle se produit à de très hautes altitudes, elle est souvent due à un phénomène météorologique qui créé des différentiels de pression. Le flux de l'air est modifié et l'avion, qui suit ce dernier, peut, dès lors, connaître quelques perturbations.
Cette pratique est un "water salute" et correspond à une tradition de l'aéronautique. Ce salut est destiné à célébrer un événement particulier, comme par exemple le départ en retraite d'un pilote de ligne de la compagnie.
La fatigue provoque des erreurs humaines
Le corps ayant normalement envie de dormir pendant les heures de noirceur, la fatigue se fait sentir pendant la plupart des vols de nuit. Elle diminue la rapidité de réaction, réduit la concentration et altère les aptitudes à la prise de décision.