La réglisse
La réglisse, et plus particulièrement sa racine, contient un principe actif qui est lui est propre, l'acide glycyrrhizique, qui est soupçonné de faire baisser la testostérone quand il est ingéré en trop grande quantité. Vous allez dire qu'il n'y a pas de souci, que vous ne mangez pas de réglisse ?
Avoir une prédisposition génétique à des taux élevés de testostérone ("testostérone endogène", NDLR) pourrait jouer un rôle dans le développement de problèmes cardiaques majeurs chez les hommes, selon une étude publiée par le BMJ. On parle ici de caillots sanguins, d'insuffisance cardiaque et de crise cardiaque.
Il n'existe pas de traitement pour prévenir ou guérir de ce syndrome, uniquement des traitements contre ses symptômes. Si la patiente ne désire pas ou plus d'enfant, le traitement consiste à mettre les ovaires au repos, pour diminuer leur production d'hormones masculines. Une pilule œstro-progestative est prescrite.
Les symptômes peuvent être une libido diminuée, une baisse de la fertilité, des troubles de l'érection, des troubles du sommeil, des troubles de l'humeur (dépression, colère).
Une étude conclut qu'un traitement à base de testostérone réduit l'obésité chez l'homme. Les experts sont dubitatifs. Un traitement de substitution à la testostérone serait une remarquable aide minceur, assure une étude.
Cerveaux sous testo
Résultat : la testostérone diminue l'activité d'une région du cortex appelée « jonction temporopariétale ». Or, cette zone cérébrale nous permet de nous mettre à la place d'autrui, de se glisser « dans ses souliers ».
Chez l'homme, entre 20 et 45 ans, le résultat normal se trouve habituellement entre 10 et 30 nmol/l (3.0 à 9 ng/mL). Le chiffre normal chez la femme jeune, nettement plus bas, est le plus souvent compris entre 0,50-3 nmol/l (0.2-0.6 ng/ml).
La testostérone est une hormone qui fait partie d'un groupe d'hormones appelées les androgènes. Chez l'homme, elle est principalement fabriquée dans les testicules. Cette hormone est également produite chez la femme (par les ovaires), en quantités beaucoup moindres, et est responsable, chez elle aussi, du désir sexuel.
L'alcool fait baisser la testostérone
Une étude sur 3 semaines (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15166654) a montré qu'en consommant entre 30 et 40g d'alcool par jour, la testostérone a baissé de 6,8% chez l'homme mais aucune baisse chez la femme.
Lait de soja, tofu, miso… on le trouve sous diverses formes. Mais attention, cet aliment pourrait bien avoir des effets néfastes sur notre désir sexuel... Sa forte dose d'œstrogènes d'origine végétale entraine une baisse de la testostérone et donc une diminution de la libido !
La sécrétion anormale d'androgènes peut donc être d'origine surrénalienne ou ovarienne. Parmi les causes surrénaliennes, la plus fréquente est l'hyperplasie congénitale des surrénales, liée au défaut de fonctionnement d'une enzyme nécessaire à la production d'hormones surrénaliennes.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
Sous la forme de racine, la réglisse a une action hormonale, et elle diminue notamment le taux d'androgènes. Une autre étude démontre que la réglisse peut également aider les femmes : 3.5 grammes de réglisse par jour diminuaient les niveaux de testostérone de 32% en un cycle menstruel (4).
Elle est considérée comme l'hormone de la force, de l'énergie et de l'endurance. Elle est naturellement produite par l'organisme à partir du cholestérol stocké dans le foie, et est sécrétée par les gonades (testicules pour les hommes), et dans une moindre mesure, par les glandes surrénales.
Augmentation du gras corporel. Diminution de la libido (désir sexuel) Difficulté à obtenir et à maintenir une érection. Diminution de la croissance de la barbe et des poils.
Car en vieillissant, la testostérone commence à laisser place à la DHT. Cette hormone vient s'installer dans les follicules pileux, provoquant de ce fait une réaction métabolique qui va accélérer la chute des cheveux jusqu'à, selon les cas, épuisement.
Pour les trans-femmes (d' homme à femme) l'hormonothérapie féminisante consiste en : Des anti-androgènes, par comprimés et plus rarement par injections, pour réduire les hormones masculines. De l'estrogène, par comprimés ou timbre (“patch”). De la progestérone, en comprimés, dans certains cas.
L'ortie (Urtica dioica) est également traditionnellement utilisée (tisane, gouttes...) dans les traitements de l'acné. Elle aurait une action anti-androgène comme le houblon, ce qui permettrait de freiner la production de sébum.