Multiplier des grands chiffres de tête
Prenons l'exemple de 97 x 96. 100 – 97 = 3 et 100 – 96 = 4. Ensuite, vous additionnez ces 2 résultats, donc 4+3 = 7. Vous retirez 7 à 100 pour obtenir les 2 premiers chiffes du résultat final, soit 100 – 7 = 93.
Pour multiplier par 4, vous pouvez multiplier par 2 puis multiplier ce nouveau résultat par 2. Par exemple, 36 x 4 = 36 x 2 x 2 = 72 x 2 = 144. Pour multiplier par 10, c'est très simple, surtout quand cela concerne un nombre entier, il suffit de rajouter un zéro derrière le dernier chiffre comme dans 128 x 10 = 1280.
1. On place d'abord les deux nombres l'un sous l'autre. 2. On prend le chiffre des unités du nombre du bas et on le multiplie avec tous les chiffres du nombre du haut en commençant par la droite.
Pour effectuer une multiplication dont le multiplicateur comporte plusieurs chiffres : On multiplie chaque chiffre du multiplicateur par tous les chiffres du multiplicande (en haut), de droite à gauche, sans oublier les retenues.
Il est basé sur un système numérique quinaire (à base de cinq). Grâce à l'outil, l'enfant apprend l'addition, la soustraction, la multiplication et la division de façon beaucoup plus complète. Dans un deuxième temps, quand les enfants maîtrisent le boulier, on l'enlève.
Avec de «petits nombres», le recours au calcul mental est plus simple et plus rapide. L'élève peut ainsi explorer dans un temps assez bref différentes voies permettant de résoudre le problème. Cette phase de tâtonnement, utilisant le calcul mental, peut être déterminante pour trouver la (ou les) procédures de réussite.
On multiplie par dix le nombre des doigts repliés sur les deux mains : (4 + 2) x 10 = 60, et on ajoute à ce résultat le produit des doigts levés d'une main par les doigts levés de l'autre : 1 x 3 = 3. On aboutit à 60 + 3 = 63.
Quand les cellules sont complètement développées, c'est le meilleur moment pour apprendre le Calcul mental. Donc, il est suggéré que le meilleur âge pour commencer à apprendre soit entre les âges de 4 à 12 ans.
Le calcul mental automatisé sollicite des connaissances que l'on a acquises progressivement et mémorisées. Il permet de donner un résultat sans réfléchir. Le calcul automatisé est un outil au service du réfléchi. Pratiqué régulièrement, le calcul réfléchi permet d'étendre les compétences du calcul automatisé.
Pour multiplier entre eux deux nombres entiers a et b, on multiplie a par chaque chiffre de b et on écrit ces produits intermédiaires en biais les uns au-dessous des autres. Ensuite, on additionne ces produits intermédiaires.
La méthode Trachtenberg est une méthode de calcul mental inventée par Jacow Trachtenberg dans le but de garder un esprit sain lors de son emprisonnement dans un camp de concentration pendant 7 ans. Cette méthode permet d'effectuer rapidement des multiplications complexes en les décomposant en calculs plus simples.
La dyscalculie, ou « difficulté à calculer », est un trouble spécifique du développement (tel que la dyslexie, dyspraxie…) qui correspond, donc, à un trouble dans les apprentissages numériques, sans atteinte organique ni troubles envahissants du développement et sans déficience mentale.
Divisibilité par 3
Un nombre est divisible par 3 uniquement si la somme de ses chiffres est divisible par 3. Par exemple, pour 13456, il suffit d'additionner tous les chiffres et l'on obtient la somme de 19 puis on recommence et cela donne 1+9 soit 10 et encore une fois 1+0 =1.
Avec les doigts de vos deux mains, vous pouvez calculer toute la table de 9. Mettez vos mains devant vous, les doigts tendus. Comptez maintenant le nombre que vous voulez multiplier par 9 de gauche à droite sur vos doigts, en commençant par le pouce de votre main gauche. Il suffit de plier le doigt correspondant.
Pour utiliser un boulier Montessori, il suffit de placer les perles sur les rangées en fonction du nombre que vous souhaitez représenter. Par exemple, pour représenter le nombre 12, vous placez une perle rouge sur la rangée des dizaines et deux perles bleues sur la rangée des unités.
Un boulier se décompose en dix rangées de dix boules qui représentent chacune une unité, soit un total de cent unités. Cette disposition permet de bien mettre en avant les dizaines et ainsi de faciliter les calculs.
Les barres verticales retenant les compteurs déterminent la valeur de place des nombres représentés par les compteurs. Du côté droit à gauche, il y a un endroit, des dizaines, des centaines, et ainsi de suite. Dans certains abacus japonais, les nombres décimaux sont inclus.
648 est multiple de 24. 648 est multiple de 27. 648 est multiple de 36.
sur les ordinateurs munis de Microsoft Windows ayant un pavé numérique, il est obtenu en maintenant la touche Alt et en saisissant sur le pavé numérique le code 158 ou 0215 ; sur un clavier bépo, il est obtenu en maintenant la touche compose et en appuyant sur la touche « * » (« 0 » en majuscule).
Pour multiplier un nombre par 2,5, 25, 250, etc., on le multiplie par 10, 100, 1 000, etc., et l'on prend le quart du résultat. On peut aussi diviser le nombre par 4 et multiplier le résultat par 10, 100, 1 000, etc. Exemple : 84 x 2,5. 840 : 4 = 210.