400 à 420°C : température de recuisson d'un cristal au plomb. 700°C : température du réchauffage du verre pour la trempe thermique. 700°C : température de ramollissement d'un verre sodocalcique pour 70% de silice. 820°C : température de ramollissement d'un verre borosilicate pour 80% de silice.
Il est possible de faire fondre du verre dans le HotPot dans un simple four à micro-ondes. Cette technique est connue sous le nom de 'fusing'. Avec le HotPot, la technique est à la portée de tout le monde car il n'est plus nécessaire de posséder un four spécial, un four à micro-ondes suffit.
Pour fabriquer du verre, il faut mélanger du sable avec deux produits chimiques : de la soude et de la chaux que l'on chauffe à 1 600 °C, ce qui est très chaud ! Le mélange devient alors du verre liquide qui est versé dans un moule. En refroidissant, il prend sa forme définitive, transparente et solide.
Il se compose d'un élément vitrifiant la silice, mélangé à des produits “fondants” (carbonate et sulfate de soude) et à des stabilisants (calcaire ou carbonate de chaux). Il s'obtient à une température de fusion de 1500°C.
Jusqu'à ce qu'elle se fissure et que le verre éclate ! « Des rugosités, des microfissures ou des impuretés peuvent aussi fragiliser le matériau » précise la scientifique. « Un verre fin aura moins tendance à éclater parce que la chaleur se propage partout plus rapidement.
Récupérez les chutes de baguettes de verre, munissez vous d'une pince coupe verre à disque et du moulin à café. Voici le résultat de cette manipulation perilleuse. Déposez les morceaux de baguettes dans le bol, afin que l'engrenage puisse broyer le verre.
Le fusing, mot anglais employé pour désigner le verre fusionné, est une technique de travail du verre déjà utilisée il y a plus de 3000 ans. La technique du fusing consiste à superposer à froid plusieurs couches de verre, pour ensuite les faire fusionner dans un four à haute température.
Le verre ne fond pas... C'est un liquide. En réalité en fonction de la composition du verre, surtout de son taux de fer, on observe toute une gamme de température d'amolissement, température à laquelle la pente de la courbe de viscosité/T° change.
® Le recyclage du verre permet aussi de faire des économies. En réutilisant le verre collecté dans la nature, on économise de l'énergie (car il fond plus facilement dans le four verrier) et on prélève moins de matières premières dans la nature. Il permet d'éviter le rejet de CO2.
Pour le verre, la lumière visible n'est pas assez énergétique, et les électrons ne peuvent pas les absorber. La lumière traverse donc le verre, sans être absorbée. Pour le bois ou le plastique opaque, le photon disparaît : la lumière visible est absorbée et les électrons sont excités.
La fabrication de la pâte de verre
La pâte de verre commence par la mise en place à froid de verres en poudre, concassé ou broyé dans un moule réfractaire qui va être chauffé à 800 °C. Il est également possible de procéder à la technique de fonte à la cire perdue.
Pour transférer une image sur du verre, recouvrez l'image que vous voulez transférer avec un ruban adhésif d'emballage. Faites tremper l'image dans de l'eau chaude, mais pas brulante, puis retirez le papier et apposez l'image sur votre objet en verre.
N'importe quel chalumeau oxygène propane conviendra.
Faites chauffer le four.
La première phase ayant pour but de faire chauffer le verre, la température ne devra pas excéder 260 °C. Vous pouvez même opter pour une température plus basse pour que la chauffe soit plus progressive.
Commencez par entourer votre bouteille de verre (vide) avec votre ficelle en coton, à l'endroit ou vous souhaitez faire la découpe et faites un noeud. Retirez la ficelle de votre bouteille en prenant soin de maintenir le noeud accroché et trempez-la dans l'alcool à brûler.
Aussi appelé sable de quartz, le sable siliceux est l'ingrédient de base de la fabrication de verre. Le verre ne contenant pas d'impuretés en fer est utilisé pour faire des objets en verre transparent. En effet, les particules de fer donnent au verre une teinte verdâtre.
Le verre s'obtient avec du sable amené à son point de fusion, soit 1 300 °C. Le verrier se saisit d'une certaine quantité du mélange en fusion pour l'étirer et le façonner. Il travaille la matière au chalumeau ou, beaucoup plus rarement, à la main.
«Prends 60 volumes de sable, 180 volumes de cendre, 5 volumes de craie – et tu obtiens du verre». La fabrication du verre est aussi simple que ça, si on suit la recette provenant de la bibliothèque de tablettes d'argile du roi Assurbanipal autour de 650 avant J.C. La liste des ingrédients est en fait toujours valable.
La fusion a lieu aux alentours de 1500°C et l'affinage aux environs de 1400°C.
Quand on verse de l'eau chaude, la couche intérieure du verre, celle qui est en contact avec le contenu, va absorber la chaleur. Lorsqu'un matériau absorbe de l'eau chaude, il se dilate et le verre n'y fait pas exception.
La principale cause est que les extrémités du verre ont été abîmées lors de la coupe du panneau précédant la trempe ou qu'elles ont été entaillées ou ébréchées lors de l'emballage, de la manutention ou de l'installation sur place. Il se peut que ce type de dommages ne soit pas facilement visible.
Le verre est un matériau dit fragile. Soumis à une contrainte mécanique, par exemple une compression ou une flexion, il se déforme d'abord élastiquement, c'est-à-dire qu'il retrouve sa forme initiale lorsque la contrainte cesse d'être appliquée.