Agissez avec des paroisses locales, des entreprises, des associations et la police pour offrir des formations et des renseignements. Les jeunes gens peuvent être très efficaces pour éduquer leurs pairs à lutter contre la drogue.
Témoin d'un trafic de stupéfiants ou de produits illicites (drogues), il est possible de signaler ces faits auprès d'un policier ou d'un gendarme sur une plateforme dédiée via le tchat, de manière anonyme. Des policiers sont disponibles 24h/24 pour recueillir vos informations, de façon anonyme.
Si vous êtes directement victime d'un trafic de stupéfiants, il est également possible de déposer une plainte auprès du commissariat ou de la gendarmerie. On peut porter plainte contre des personnes désignées, ou contre X lorsque l'on ne connaît pas l'identité du ou des auteurs des faits.
Il est possible de se faire aider pour arrêter la drogue. Il existe des lieux de soins pluridisciplinaires pour être accompagné. Les CSAPA, les centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie sont présents sur tout le territoire français. Il en existe une vingtaine à Paris.
Pour lutter efficacement contre le commerce illégal des biens culturels, il faut qu'il soit considéré comme un crime grave par le grand public. C'est en s'adressant à l'opinion publique par des canaux de communication différents qu'un changement des mentalités sera possible.
Ils ont 14, 15 ou 16 ans et viennent de toute la France. Des dealers novices, de plus en plus jeunes, sont recrutés par des trafiquants de drogue marseillais pour s'acquitter de basses besognes, notamment "faire le chouf", soit guetter l'arrivée des forces de l'ordre.
En France, le cannabis est de loin la substance illicite la plus consommée avec près de 5 millions de personnes (11-64 ans) en ayant consommé dans l'année, suivi de la cocaïne (600 000) et la MDMA/Ecstasy (400 000). Quelle que soit la substance, les hommes sont plus consommateurs que les femmes.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados.
Quelque 1.700 indicateurs de police sont officiellement recensés dans une base de données en France et sont rémunérés 50 euros pour la dénonciation d'un clandestin et 10.000 euros pour celle d'un trafic de drogue, selon un livre à paraître mercredi prochain.
Votre situation personnelle, financière et professionnelle est également prise en considération. L'usage de stupéfiants est un délit puni d'une peine maximale de 1 an d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende.
La quantité de produits stupéfiants retrouvée sur le contrevenant rentrera en ligne de compte dans la possibilité d'avoir recours à une AFD. Elle ne devra pas dépasser un plafond fixé à 10 grammes pour la cocaïne et 100 grammes pour le cannabis.
Sofiane Hambli, né en juin 1975 à Mulhouse, surnommé la chimère, est un trafiquant français de haschich.
Il est possible (et commun) de dissimuler des drogues dans les roues de secours, dans les portières, dans le volant, derrière les boîtes à gants, derrière les postes radios, sous ou dans les sièges, dans le réservoir, sous le capot, dans le liquide lave glace, sous le véhicule…
L'héroïne est la drogue la plus addictive, selon l'étude de David Nutt.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend. Mais le cannabis est beaucoup plus dosé qu'autrefois. Selon son pays d'origine, sa concentration peut être conséquente", alerte-t-elle.
Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres. Les sons, les couleurs et les émotions sont plus intenses.
La cocaïne peut également nuire directement aux reins en réduisant la quantité d'une molécule antioxydante importante appelée glutathion.
Le tableau réalisé associe diversement anxiété, irritabilité, troubles du sommeil, douleurs diffuses, troubles sensoriels, troubles digestifs, hypotension orthostatique, et, dans les formes les plus graves, délire psychotique, hallucinations et crises comitiales.
Quels sont les risques sanitaires associés à la consommation de drogues illicites ? Des risques sanitaires sont associés à la consommation de drogues illicites : dépression respiratoire, intoxication, contamination, surdose, vulnérabilité psychique ou physique...
Sautes d'humeur, excitation, colère, hostilité, dépression. Mensonges et vols à répétition. Refus d'admettre les effets néfastes de la drogue. Refus de voir des amis de longue date ou des personnes qui pourraient remarquer un changement de comportement.
A force d'être en contact permanent avec une personne dépendante, par envie d'aider, par amour, parfois par pitié ou compassion, l'entourage va adopter un certain nombre d'attitudes toujours dirigées dans le même sens: éviter les conséquences négatives ou les atténuer, éviter les conflits, avoir la paix à tout prix.