La réciproque de la fonction cosinus de base est la fonction arc cosinus qui s'intéresse à la mesure des angles (en radians) du cercle trigonométrique en fonction de l'abscisse des points du cercle. La règle de la fonction arc cosinus de base est f(x)=arccos(x).
On calcule la sécante de l'angle de sommet
La sécante est l'inverse du cosinus. Le cosinus est le quotient de la longueur du côté adjacent par celle de l'hypoténuse, donc la sécante est le quotient de la longueur de l'hypoténuse par celle du côté adjacent.
assogna «Bonjour, Oui, la cosécan ... » Bonjour, Oui, la cosécante est vraiment l'inverse multiplicatif du sinus et la sécante est l'inverse multiplicatif du cosinus .
Dans un triangle rectangle, le cosinus d'un angle, noté « cos », est égal au rapport (quotient) de la longueur du côté adjacent à cet angle sur la longueur de l'hypoténuse.
Il suffit donc de la déterminer par exemple, sur [0,π]. Mais si x ∈ [0,π], on a par définition Arccos (cos(x)) = x. Donc g est l'unique fonction paire, 2π-périodique, telle que si x ∈ [0,π, on ait g(x) = x. Par exemple, Arccos (cos(3π/2)) = π/2, Arccos (cos(5π/3)) = π/3.
Les relations Arcsinus, Arccosinus et Arctangente permettent de calculer la valeur d'un angle aigu d'un triangle rectangle dont on connaît les côtés.
Sin = Opposé / Hypoténuse (S.O.H.) Cos = Adjacent / Hypoténuse (C.A.H.)
Dans un repère cartésien orthonormé du plan, la courbe représentative de la fonction arc sinus est obtenue à partir de la courbe représentative de la restriction de la fonction sinus à l'intervalle [–π/2, π/2] par la réflexion d'axe la droite d'équation y = x.
En géométrie, le calcul du cosinus d'un angle est utilisé en trigonométrie. Il peut servir par exemple à couper un gâteau en plusieurs parts parfaitement égales.
Exemple : Dans un triangle TRI rectangle en R, on connaît IT = 8 et IR = 4. On cherche l'angle de sommet T. IR est le côté opposé au sommet T et IT l'hypoténuse (côté opposé au sommet R). On utilise donc le sinus.
Pour retenir les trois principales fonctions trigonométriques, vous pouvez mémoriser « soh cah toa » pour sinus = opposé sur hypoténuse (soh), cosinus = adjacent sur hypoténuse (cah)et tangente = opposé sur adjacent (toa).
En d'autres mots, il suffit de déplacer la fonction cosx de π2 unité vers la droite pour obtenir la fonction sinx. Ainsi, on en déduit l'égalité suivante. sinx=cos(x−h)sinx=cos(x−π2) ( x − h ) sin ( x − π 2 ) Cette même égalité est utilisée lorsqu'on travaille avec les identités trigonométriques.
Dans un triangle rectangle, on appelle le cosinus d'un angle aigu le quotient de la mesure de la longueur du côté adjacent à cet angle par celle de l'hypoténuse du triangle.
cos 12° 0,978 ; cos 20° 0,94 ; cos 45° 0,707 ; cos 60° = 0,5 cos 90° = 0 ; cos 0° = 1.
Dans le cas d'un triangle rectangle ABC rectangle en B, le cosinus de l'angle A est égal à la longueur du côté adjacent à l'angle A divisée par la longueur de l'hypoténuse, donc cos A = AB/AC.
Les fonctions sinus et cosinus n'ont pas de limite en l'infini.
Trigonométrie Exemples
La valeur exacte de cos(45) est √22 . Le résultat peut être affiché en différentes formes.
Le sinus d'un angle α est noté sin(α) ou simplement sin α. Sinus = côté opposé / hypoténuse. Représentation graphique d'une période de la fonction sinus.
sin -1(x) = 1/sin(x).
Mais la notation sin-1 désigne la fonction réciproque de sin, ie arcsin, de façon générale f -1 est la bijection réciproque d'une bijection.
Le plus simple est de transformer l'équation par une égalité entre deux cosinus en remplaçant le sinus. On utilise pour cela une formule d'angles associés, par exemple sin(y)=cos(π2−y).
Quant au cosinus, c'est tout simplement le sinus du complémentaire (de l'angle) : « co- » vient du latin cum, qui signifie « avec ». La tangente, elle, vient de ce qu'elle mesure une portion d'une tangente au cercle trigono- métrique.
L'astronome et mathématicien indien Aryabhata (476-550), dans son ouvrage Arya-Siddhanta, définit pour la première fois le sinus (moderne) à partir de la relation entre la moitié d'un angle et la moitié d'une corde, tout en définissant également le cosinus, le contre-sinus (ou sinus verse), et l'inverse du sinus.
Donc en sommant ça donne : sin(a)cos(b)=(sin(a+b)+sin(a-b))/2.