Maintenez vos mains en position sur le sternum. La durée de la compression doit être égale à celle du relâchement de la pression de la poitrine. Effectuez 30 compressions thoraciques à une fréquence de 100 par minute, soit environ 2 compressions par seconde.
Poussez vos mains rapidement vers le bas, les bras à la verticale, bien tendus, coudes bloqués, puis laissez-les remonter sans vous appuyez dessus. Vos bras doivent rester à la verticale par rapport au sol, vos mains en contact avec le corps entre chaque compression.
Placez vos mains, l'une sur l'autre, au milieu du thorax. Vos bras doivent être tendus et les épaules positionnées au-dessus de la poitrine de la victime. Comprimez verticalement le sternum en l'enfonçant de 5 à 6 cm. Appuyez avec l'ensemble de votre corps et pas seulement avec vos bras et vos mains.
Puis-je tuer la victime si je masse un cœur qui bat ? Il a été démontré que le risque de blessure grave du fait de compressions thoraciques aux victimes qui ne sont pas en arrêt cardiaque est négligeable.
D'autres traitements peuvent être administrés par les équipes d'urgence lors d'infarctus du myocarde : antalgiques (pour lutter contre la douleur), anticoagulants (fluidifiants du sang), anti-arythmiques (pour régulariser les battements du cœur), par exemple.
Dans la plupart des cas, il est inutile, et même néfaste, de pratiquer le bouche-à-bouche à un patient en arrêt cardiaque. C'est ce que vient de démontrer une étude américaine. Les chances de survie des patients sont en effet passées de 18% à 34% depuis que l'on ne ventile plus les victimes.
Les études montrent que la réalisation continue des compressions thoraciques est essentielle pour la survie et les interrompre pour des insufflations de secours pourrait augmenter le risque de décès.
Le bouche à bouche est une technique du secourisme pour insuffler de l'oxygène à une personne qui est en arrêt cardio-respiratoire. On parle également de ventilation artificielle.
Pratiquer 100 compressions par minute, par séquences de 30.
Pour cela, il faut se placer à genoux à côté de la victime et positionner ses mains l'une sur l'autre. Il faut ensuite appuyer de tout son corps sur son thorax et enfoncer ses mains de 5 à 6 centimètres, en remontant entre chaque compression.
Le LUCAS ne doit être utilisé que dans les situations où des compressions thoraciques sont susceptibles d'aider le patient.
En absence de pouls, le massage cardiaque s'arrête lorsque les secours arrivent et prennent le relais. Le plus souvent, les secours vont pratiquer une défibrillation cardiaque à l'aide d'un défibrillateur.
Il est communément accepté que la persistance d'une asystolie de plus de 20 min en l'absence d'une cause réversible en cours de Réanimation Cardio Pulmonaire Spécialisée (RCPS) constitue un fondement pour arrêter la réanimation dans la majorité des cas.
Si la victime est inconsciente et qu'elle ne respire pas, commencez tout de suite la réanimation cardio-respiratoire ou réanimation cardio-pulmonaire, c'est-à-dire le massage cardiaque en alternance avec la respiration artificielle.
La particularité est qu'il faut commencer par 5 insufflations. En effet, la cause de l'arrêt cardiaque est le manque d'oxygène, il faut donc en apporter à la victime le plus vite possible.
Commencez par allonger votre bébé sur une surface ferme et plate. Placez 2 doigts sur son sternum, juste au dessous de la ligne des mamelons. Effectuez 30 compressions thoraciques rapides en pressant suffisamment (coups fermes) pour que sa poitrine baisse d'environ 4 cm (1,5 pouces). Comptez à haute voix.
La durée de la compression doit être égale à celle du relâchement de la pression de la poitrine. Effectuez 30 compressions thoraciques à une fréquence de 100 par minute, soit environ 2 compressions par seconde. Pratiquez ensuite 2 insufflations par la technique du bouche-à-bouche.
Faites pression sur le menton avec l'index pour abaisser la mâchoire inférieure. Quand vous relâcherez votre pression, la mandibule fera le trajet inverse et la bouche se fermera naturellement.
Quand utiliser un BAVU ? Un BAVU est un instrument utilisé principalement par les secouristes, mais également par le corps médical d'un hôpital. Celui-ci sert surtout à insuffler de l'oxygène à un patient ou une personne en situation d'arrêt cardiaque.
Utilisez-le dès les premiers signes d'une crise. Il est recommandé de s'allonger ou de s'asseoir après l'avoir utilisé. Si vous n'êtes pas soulagé, vous pouvez répétez la dose à toutes les 5 minutes. Si vous n'êtes toujours pas soulagé après 3 doses, rendez-vous à l'urgence d'un hôpital.
Leurs symptômes peuvent comprendre un essoufflement; une pression ou une douleur à la mâchoire, dans le haut du dos, dans la partie inférieure du thorax ou dans la partie supérieure de l'abdomen; des étourdissements ou un évanouissement, ou encore une fatigue extrême.