Le OU se prononce O, le OU long se prononce OU. Il n'existe pas de son E ou é, il traduira par le son AÏ : Exemple : Le CAIRE s'écrit CAIRO (kéro à la française, prononcé kaïro en arabe.
Il s'écrit "gh" et se prononce comme le "r" classique (celui de Maroc). ع appelé "ayn". Il s'écrit avec un "3".
En arabe contrairement au français, les accents se placent soit au dessus de la lettre c'est le cas pour : fatha, damma et soukouune; et en dessous de la lettre ce qui est le cas du kassra. Pour chaque exemple, nous utiliserons chacune de ces voyelles simple dans un mot.
س (s), ش (C), ه (h), و (w), ي (y).
Chadda : signe diacritique suscrit de l'alphabet arabe "ـّ", servant à faire l'économie d'une consonne géminée. C'est-à-dire quand deux consonnes identiques se suivent, on place la chadda au-dessus d'une des consonnes, tandis que l'autre n'est pas écrite.
Kāf (en arabe كاف, kāf, ou simplement ك) est une lettre de l'alphabet arabe.
L'arabe et l'hébreu, entre autres, s'écrivent pourtant de droite à gauche, mais c'est parce qu'ils ont gardé la tradition des scribes égyptiens.
Les lettres suivantes n'existent pas dans l'alphabet arabe: La Lettre P qui est souvent remplacée par un B par exemple papa est synonyme de baba en arabe. le V est facile à prononcer par tout les arabophones mais en phonétique il est remplacer par la lettre (ف) => F.
L'écriture arabe est la dernière-née des écritures sémitiques occidentales, qui dérivent toutes de l'alphabet inventé par les Phéniciens deux mille ans avant notre ère. Elle n'apparaît, en effet, qu'au VIe siècle dans une dédicace trilingue (grec-syriaque-arabe) datée de 512 et trouvée à Zabad, dans la région d'Alep.
Trois se dit talata (theh-lah-theh) (ثلاثة). Quatre se dit arba'a (ahr-uh-bah-ah) (أربع). Cinq se dit hamsa (hahm-sah) (خمسة).
Les nombres 11 et 12
Dans cette partie, nous allons apprendre les deux nombres arabes onze (أحَدَ عَشَرَ) et douze (اثنا عَشرَ), car ils se ressemblent l'un l'autre à l'exception de la déclinaison.
Sachez que le nombre "vingt" est le plus difficile à retenir et se prononce "hachréne" pour le dialecte marocain et "hichroune" pour la langue arabe.
Cette double voyelle de fin de mot s'appelle en arabe « Tanwine« . Le tanwine permet notamment de définir la détermination des noms. Elle indique s'il s'agit d'un nom défini ou indéfini.
C'est un signe que l'on place au dessus du 'alif : آ pour indiquer qu'il faut le prononcer comme un hamza ayant pour voyelle un "â" long. La dernière voyelle d'un mot varie selon sa fonction dans la phrase. Le tanwîn consiste à prononcer un "n" (sans voyelle) après la voyelle de certains mots indéterminés.
En arabe, cela s'écrira par un symbole appelé Chedda ( ّ ) ce symbole s'inscrit uniquement au dessus de la lettre arabe. Généralement placée en dessous de la voyelle courte, dans le cas de la kasra, la chedda s'écrit au dessus de la lettre et la kasra sous la chedda (et pas en dessous de la lettre arabe).