Vous pouvez donc tenter des traitements naturels de première intention pour faire mûrir le kyste, calmer l'inflammation, et favoriser l'éjection naturelle du pus. Pour cela, vous pouvez : Appliquer une compresse d'eau chaude pendant 10 minutes, 3 fois par jour si le kyste est rouge et commence à être inflammé.
L'exérèse du kyste pilonidal
Dans tous les cas, lorsque le kyste pilonidal s'infecte, cela nécessite une intervention chirurgicale et souvent en urgence. Les médecins incisent d'abord le kyste afin d'en faire sortir le pus. Puis au bloc opératoire, ils retirent la totalité du kyste infecté.
L'argile verte aide à « faire mûrir » le kyste et à attirer le sébum vers l'extérieur. On peut ajouter de la teinture-mère d'oignon, aux propriétés antiseptiques. Mélangez une cuillère à soupe de teinture-mère d'oignon à 3 bouchons d'eau et versez sur quelques morceaux d'argile verte.
Depuis peu, le CHU Tivoli innove grâce au traitement par sonde laser du kyste pilonidal. Celui-ci consiste à faire passer une petite sonde le long du trajet du kyste. L'extrémité de cette sonde est équipée d'un laser qui vient bruler la paroi du kyste.
Le kyste sébacé peut se résorber spontanément. Mais souvent la personne qui présente un kyste sébacé est tentée de le percer. “Dans ce cas, il faut se désinfecter les mains avant, appliquer de l'alcool sur la zone à percer avant d'appuyer sur le kyste à l'aide de deux compresses stériles.
Elle se pratique en anesthésie locale. Le kyste sacrococcygien en période calme (non infecté) doit être excisé (enlevé) ainsi que ses trajets en surface avec le site de la cicatrice sur la fesse, si un abcès s'est déjà manifesté et a été drainé (par incision ou spontanément).
Le bon geste pour bien percer un bouton : avec une aiguille
Commencez par vous laver les mains, désinfectez une aiguille fine et percez délicatement votre bouton (ou utilisez l'aiguille pour décoller délicatement la peau qui recouvre le pus).
L'infection du kyste va entraîner la formation d'un abcès aigu et douloureux, libérant du pus et pouvant devenir insomniant. Le kyste pilonidal peut aussi être chronique. Les douleurs sont moins intenses que pour la forme aiguë, mais des démangeaisons peuvent être ressenties par la personne infectée.
Dans la phase aiguë du kyste lorsque l'inflammation se fait sentir, il est possible d'administrer des antibiotiques. Mais pour soulager vraiment la douleur occasionnée, le chirurgien pratiquera une incision sous anesthésie locale, pour arrêter la progression de l'infection dans les tissus avoisinants.
L'infection d'un kyste pilonidal est un événement en général aigu, qui peut très vite devenir extrêmement douloureux. Le traitement est l'évacuation en urgence du pus sous pression dans deux buts : soulager quasi immédiatement la douleur et arrêter la progression de l'infection dans les tissus avoisinants.
Le kyste ne possède pas de paroi propre et dès lors qu'il se met en activité, il va s'infecter. Ce kyste sous-cutané peut aboutir à un abcès aigu et le pus produit va faire qu'il sera très douloureux. Ce dernier finit par s'écouler par de petits orifices visibles et fait disparaître la douleur.
L'argile verte est un remède naturel souvent plébiscité. Elle est particulièrement utile dans la prise en charge du kyste synovial. En effet, cette terre riche en silicates possède des propriétés absorbantes et elle permet de drainer les liquides et certaines toxines hors du corps.
un durcissement de la peau au niveau de la zone infectée ; l'apparition de pus au niveau du kyste ; la constatation de sang au niveau du kyste ; de la fièvre.
il est impossible de dormir sur le dos et difficile de s'asseoir dans les premiers temps post-opératoires : un coussin à décharge peut être recommandé ; le patient doit cesser toute pratique sportive pendant au minimum six semaines.
Exérèse d'un kyste pilonidal : Chirurgie qui consiste à enlever la cavité et son contenu. Il est possible que le chirurgien place dans votre plaie une mèche (petite bande de coton ou de toile). Cette mèche permet aux liquides, qui pourraient s'accumuler dans votre plaie, de s'écouler à l'extérieur.
Il est aussi possible d'appliquer du froid sur le kyste, cela a pour effet d'alléger la douleur et de diminuer le gonflement. Pensez à appliquer des glaçons sur la partie douloureuse. Vous pouvez même le faire plusieurs fois par jour.
Les cas de récidive sont liés soit à un traitement insuffisant, auquel cas une deuxième séance peut se discuter, soit à l'apparition d'un nouveau kyste pilonidal en l'absence de dépilation.
Le kyste épidermique ou épidermoïde
"Formés à partir des cellules épidermiques, ce sont les kystes cutanés les plus fréquents", décrit le dermatologue. Ils sont situés dans le derme, sous l'épiderme, sont bénins mais doivent néanmoins subir un examen par un dermatologue.
Le traitement d'un kyste pilonidal implique l'incision et le drainage de la zone concernée. Des antibiotiques par voie orale ne sont généralement pas nécessaires car il s'agit d'une infection localisée.
Kyste de la peau
Si le kyste crève et s'infecte, il peut devenir enflé et douloureux, prendre une apparence rougeâtre et devenir sensible au toucher. Le kyste a une croissance lente.
Les kystes douloureux peuvent être soulagés avec de la glace appliquée directement sur les poignets. Des médicaments tels que l'acétaminophène (Tylénol®) ou l'ibuprofène (Advil®, Motrin®) peuvent également soulager la douleur.
Le traitement est toujours chirurgical. L'intervention la plus pratiquée est l'excision ouverte qui consiste à réaliser l'excision complète du sinus pilonidal et des trajets fistuleux en se limitant strictement aux tissus malades. La plaie est ensuite laissée en cicatrisation dirigée.
Lorsque le kyste est infecté, divers symptômes peuvent être associés : Érythème (ou rougeur) et chaleur au niveau de la zone concernée ; Douleur ; Pus pouvant être extrait par pression.
Ainsi, les adénomes sont parfois cancéreux mais dans la grande majorité des cas, ils sont bénins. Parmi eux, on classe les polypes du colon, les adénomes du canal biliaire, et les adénomes hépatiques ; Fibromes se développent sur les tissus connectifs ou fibreux et surtout sur ou autour de l'utérus.