Plusieurs astuces au quotidien peuvent vous permettre de retrouver un bon sommeil, et d'augmenter votre temps de sommeil profond : ne pas passer trop de temps devant un écran avant de dormir (téléphone, tablette, ordinateur,etc). La lumière bleue qu'ils génèrent empêche la sécrétion de mélatonine.
Les symptômes du manque de sommeil profond
De nombreux facteurs de la vie quotidienne peuvent entraver la qualité de notre sommeil. On pense bien sûr au stress ou au surmenage, à l'exposition à la lumière bleue des écrans, ou encore à une activité physique trop intense avant le coucher.
En moyenne, chez l'adulte, cette phase représente 15 % à 25 % du sommeil total. Pour une nuit de 7 heures, vous devriez donc profiter d'environ 1 h 45 de sommeil profond et de 2 heures pour une nuit de 8 heures. N'étant pas tous égaux face au sommeil, il n'y a pas de durée idéale et véridique à tout âge.
Le sommeil lent profond, qui se caractérise par une activité cérébrale lente, est plus réparateur et survient que dans les deux à trois premiers cycles de sommeil soit avant 2 heures du matin pour un coucher avant minuit.
L'hormone de croissance est sécrétée. Le foie, les muscles et le cerveau refont leurs réserves d'énergie. Quel sommeil est le plus réparateur ? C'est pendant la phase de sommeil lent profond que l'organisme récupère le plus de la fatigue physique accumulée tout au long de la journée.
En premier lieu, le sommeil profond permet de récupérer de la fatigue physique et psychologique accumulée durant la journée. À ce moment précis, le cerveau stocke l'énergie nécessaire pour être dans de bonnes conditions le lendemain. Il est donc important d'avoir un sommeil profond suffisamment long pour être en forme.
Si votre manque de sommeil est relié à une carence en magnésium, nous vous conseillons vivement de vous tourner vers le Magnésium 150 mg - 30 ampoules buvables, ou le Magnésium 60 comprimés 360 mg. Ils ont un effet bénéfique sur le sommeil, le stress et la fatigue.
Le plus souvent, cette forme d'asthénie est due à une dépression, à des troubles anxieux, à une phase dépressive d'un trouble bipolaire ou à des troubles du comportement alimentaire (anorexie mentale plus particulièrement).
Avoir un sommeil léger, profond dépend souvent du « seuil d'éveil ». Ce seuil fait référence à l'intensité requise pour qu'un stimulus réveille le dormeur. Les personnes ayant tendance à avoir un sommeil peu profond ont souvent un seuil bas : un stimulus de faible peut alors les réveiller.
Se réveiller fatigué(e) n'est pas grave si c'est ponctuel et si vous pouvez l'expliquer : journées fatigantes, stress, mauvaise hygiène de vie. En revanche, si cette fatigue matinale est quasi permanente, il faut penser à une dépression ou encore à une maladie sous-jacente.
Un manque de sommeil chronique conduit à la production d'hormones et de molécules qui augmentent le risque cardiaque mais aussi d'autres risques, comme l'hypertension artérielle et le cholestérol, le diabète et l'obésité.
L'importance d'un sommeil réparateur au quotidien. Le sommeil est dit « réparateur » quand il permet de mettre votre cerveau au repos, lors d'une phase d'activité cérébrale lente. Pour atteindre ce stade, il vous faudra dormir suffisamment longtemps sans être interrompu pour atteindre le stade du sommeil profond.
Le sommeil lent profond correspond à la période de récupération physique et métabolique de notre organisme et de notre cerveau. Il s'agit du Stade 3 (N3) : environ 15 à 25 % du temps de sommeil total chez l'adulte. C'est la phase de sommeil qui permet la plus grande récupération physiologique pour l'organisme.
L'enquête a été menée par téléphone auprès de 12 637 personnes de 18 à 75 ans. Le temps moyen de sommeil par 24 heures est de 6 h 55 en 2017, 6 h 57 pour les hommes et 6 h 53 pour les femmes.
Pour la plupart d'entre nous, la durée idéale de la sieste est de 10 à 20 minutes, de préférence entre 12 h et 15 h. Si possible, buvez une boisson contenant de la caféine tout de suite avant.
Quelles conséquences sur la santé ? Qu'en ressort-il ? Il faudrait idéalement se coucher tôt, mais pas trop... Dormir avant 22h augmenterait de 24% le risque de maladies cardiaques, contre 12% pour les personnes allant au lit entre 23h et minuit.
On entend parfois dire que le sommeil avant minuit est plus réparateur. Ou encore certains disent aussi que le sommeil avant minuit compterait double. Malgré un fond de vérité intéressant, bonne nouvelle pour les couche-tard invétérés : ce n'est pas le cas.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, l'heure du coucher peut jouer un rôle sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, aller au lit entre 22h et 23h serait associé à un risque plus faible de développer une maladie cardiaque, et ce par rapport à ceux qui se couchent plus tôt, ou plus tard.
Pour bien dormir, il faut s'exposer à la lumière en journée, mais aussi favoriser une ambiance tamisée en soirée, et dormir dans le noir le plus complet la nuit. La moindre source de lumière artificielle dans la chambre peut avoir des conséquences sur la qualité et la durée de notre sommeil.