Éviter les contacts avec une personne particulièrement critique et ignorer la critique en évitant d'y accorder une importance et d'y répondre. Ne pas prendre personnellement une critique demande une bonne connaissance de soi-même.
Tâchez plutôt de vous excuser, et demandez-lui ce qu'elle attend de vous, ou ce qu'elle suggère pour améliorer les choses. Un reproche est toujours l'occasion de mieux se connaître et de s'améliorer." Attention toutefois, toute réflexion n'est pas bonne à prendre ! Certaines critiques sont stériles.
"Si le reproche est formulé par une quelconque personne, on passe vite au-dessus. En revanche, s'il est formulé par une personne qu'on estime, qu'on aime, là, il est beaucoup plus dur à accepter", explique Jean-François Marmion, psychologue, et invité de On est fait pour s'entendre.
Trouve des distractions. Lorsque quelqu'un parle dans ton dos, il peut être difficile de te concentrer à l'école ou bien sur ton lieu de travail. Oriente ton énergie vers des activités positives pour te distraire au lieu de te concentrer sur la négativité générée par les commentaires.
Anne-Laure Buffet utilise le mot d'emprisonneur pour désigner les bourreaux, auteurs de violence psychologique (ces emprisonneurs peuvent être des hommes ou des femmes, de tout âge et de toute classe sociale).
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
Méthode 2 sur 3: Ignorer la provocation. Faites comme si vous n'entendez pas. L'une des stratégies pour faire face aux provocations consiste à faire semblant de ne pas entendre ce que les brutes disent, afin de pouvoir transformer cela en blague.
Il n'est pas en sécurité et a une faible estime de soi : une personne qui n'est pas en sécurité ou qui se sent inférieure critique souvent l'autre comme un moyen d'améliorer sa perception de lui-même. Il projette ses peurs, ses faiblesses et ses échecs sur les autres.
Ce que vous pouvez répondre, c'est un “Je suis peut-être susceptible, mais je n'accepte pas ce genre de remarque condescendante”. Vous avez le droit de fixer vos limites et de ne pas accepter qu'on vous rabaisse. Le plus important, c'est toujours que votre réponse soit en accord avec votre langage non verbal.
Soyez détendu et riez. Les piques sont censées vous énerver alors restez de marbre, en apparence. Lorsqu'une personne vous blesse, essayez de faire comme si ses paroles ne vous ont pas atteintes, quoi qu'elle ait pu dire. Riez et laissez couler.
Le critiqueur. Le critiqueur ne rate aucune occasion de vous juger ouvertement, de vous rabaisser ou de relever vos plus infimes imperfections.
4 – Communiquer après des reproches dans le couple
Surtout, quand il y a des reproches dans le couple, il faut communiquer ! Pas dans les cris ou la colère, mais même si c'est maladroit, même si on parle vite, qu'on dit un peu n'importe quoi, il faut dire ces choses. Exprime-toi. Ça, c'est vraiment la clé.
Enfin, les narcissiques qui se pensent supérieurs et n'acceptent pas qu'on porte un jugement sur eux. » Dans tous les cas de figure, les conséquences peuvent être lourdes. La psychologue estime ainsi qu'un paranoïaque touché à vif peut se sentir en danger, voire devenir violent.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Conseil n°1 : Bannissez les réponses réflexes
Les réponses réflexes comme « rien de spécial et toi ? » ou « comme d'habitude » coupent court à l'échange. Votre interlocuteur vous prend au dépourvu, retournez la question par un « ça me fait plaisir de te retrouver, mais toi d'abord, quoi de neuf ? ».
Différents facteurs peuvent en être la cause, mais un dénominateur est souvent commun : notre réaction face à cela. Peut-être avons-nous tendance à prendre tout ce qui arrive trop à cœur, comme des attaques sur notre propre personne, sans mettre de la distance et analyser le problème.
Bon à savoir : le pervers narcissiqueUn pervers narcissique est une personne qui souffre d'un trouble de la personnalité. Celle-ci a une mauvaise image d'elle-même et tente de la changer en dévalorisant et en rabaissant les autres, le plus souvent des proches.
La personnalité sadique est un trouble de la personnalité qui se caractérise par un ensemble de comportements destinés à faire souffrir autrui ou à le dominer. Il est difficile de traiter un tel comportement.
On peut appeler cette personne mafioso, dictateur. Un calomniateur. Merci Karim Derouich. Je ne pense pas qu'il y ai une seule réponse à cette question et mon ami Gogole me renvoi vers Quora quand je lui demande…