Les raisons. Le self-control est une réaction de défense qui permet à la personne de lui donner la sensation d'agir sur les choses et non de les subir. Ce comportement, qui peut être excessif, les rassure. Cela peut sembler surprenant, car ceux qui veulent tout contrôler ont tendance à cacher leurs émotions.
Comment se comporter face à une personne qui veut tout contrôler ?
Faites valoir vos droits.
Abordez entre quatre yeux la personne qui veut tout contrôler pour lui expliquer vos craintes. N'en faites pas une affaire publique.
Gardez la discussion centrée sur la façon dont ce comportement de contrôle vous affecte. N'insultez pas cette personne en lui disant qu'elle est trop autoritaire.
Apprendre à lâcher prise, c'est sortir de l'hyper contrôle. C'est admettre qu'il y a des choses qu'on ne contrôle pas et savoir les reconnaître. Quand je disais avant une compétition « Je vais la gagner », la première réaction des gens était : « T'as pas peur d'échouer ? » Ils se focalisent sur le résultat.
Travailler la confiance et l'estime de soi via des activités ludiques peut également aider la personne psychorigide à lâcher un peu prise. Le but est de reconnecter cette personne à ses émotions et de lui faire comprendre que prendre du plaisir dans la vie est possible.
Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir. Ton ressenti peut t'effrayer pour plusieurs raisons.
On parle de maniaque du contrôle lorsqu'une personne cherche, de manière compulsive, à diriger, à gérer ou à être en charge de quelqu'un ou de quelque chose. Ce type de personnalité peut éprouver des difficultés à laisser les commandes à quelqu'un d'autre.
Le contrôle compulsif peut se résumer à un défaut d'émancipation qui force inconsciemment la personne à toujours vouloir agir de la manière jugée une fois pour toutes « convenable », et non selon ses désirs et ses aspirations (dans le cadre légal bien sûr).
Afin de ne pas être soi-même « dépassés » par ce stress, il est essentiel d'avoir une hygiène mentale et physique anti-stress : apprendre à respirer (ou souffler) manger sainement. pratiquer la méditation.
Cela dit, la gymnastique douce comme le yoga, le Pilates, le tai-chi ou encore le shiatsu sont particulièrement efficaces dans leur rôle d'anxiolytiques naturels. En effet, ces activités concentrent l'attention sur la respiration, permettent de prendre conscience de son corps et aident à se détendre.
La thérapie EMDR peut vous aider à chasser vos pensées obsessionnelles et à redéfinir vos priorités. En combinant des exercices de visualisation et des séries de mouvements oculaires avec l'encadrement de votre praticienne EMDR à Nice, vous parviendrez petit à petit à lâcher prise.
Le lâcher prise consiste à accepter ce qui est, ce qui se présente ici et maintenant. C'est ainsi qu'il est aussi préférable d'accepter ce qui ne peut être changé : accepter la chaleur, la pluie, la douleur, voire la mort, accepter la différence d'autrui, accepter l'imprévu.
Il est obligatoire de suivre un traitement psychiatrique si vous faites des crises incontrôlables. En même temps, vous pouvez bénéficier des techniques efficaces du lâcher prise. Un coach de vie peut rejoindre votre établissement psychiatrique si vous devez rester dans cet endroit pendant quelque temps.
Parlez-lui à haute voix comme cette personne était présente devant vous. Dites-lui ce que vous avez sur le cœur, laissez parler vos émotions, ne les retenez plus : criez, hurlez, riez ou pleurez mais ne gardez absolument aucune émotion en vous.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Le perfectionnisme se développe habituellement dans l'enfance et peut être un mode d'être qui dure toute la vie. Une étude de Gordon montre par exemple que des enfants perfectionnistes de quatre et cinq ans réagissent avec une certaine détresse (anxiété et colère) devant l'échec à une tâche.